Le pire est que je ne suis pas bercé en littérature, je préfère Giono en images, pour les deux autres c’est mystère, en réalité tout cela est très autobiographique, l’idée de continuer le récit en occultant la poésie (en fait c’est elle qui est à l’origine du texte) est une bonne option, tant l’écriture était agréable

En revanche pour Zola je suis tombé dans le voreux vers 12 ans, assez curieusement c’est la scène ou Mr Hennebaut découvre l’adultère alors que la foule misérable passe dans ces terres aplanies de misères qui me reste de multiples lectures

J’aime beaucoup ce bon gré mal gré au bout de ses rêves, c’est très exactement l’image que je me refais en me remémorant d’anciennes réalités…

Qui laisse par derrière… j’aime bien cette tournée inversée d’une inversion (pour les linguistes ça doit avoir un nom ?)

merci a vous pour ces commentaires éclairés et éclairants

relisez donc ceux qui évoquent la route il y a une espèce de cohérence dans le désabusé

Méaban