Bonjour, tout d’abord un grand merci à ceux, quel que soit leur ressenti qui ont pris le temps de se pencher sur cette petite chanson dénuée pour l’instant de musique. Une petite majorité aura apprécié, d’autres se seront abstenus ne goûtant pas à l’humour (ou prétendu tel) ou aimant trop les bêtes pour leur voir infliger pareil traitement, fut-ce en chanson. Vous noterez cependant que j’ai accordé une mort rapide à l’animal.

Pour ma défense je possède un petit Canichon, sans doute un croisement bichon/caniche, une petite chienne abandonnée sur le bord de la route à laquelle nous avons proposé un foyer… qu’elle s’empressa d’accepter. Elle se nomme Pépette et est adorable.*

Loin de moi au départ toute idée de polémique, plus loin encore celle de faire l’unanimité. Il y a en fond la caricature du chien/roi qui finit par prendre plus de place que le conjoint (il se peut que ce soit mérité). Une simple satire sociale… par le petit bout de la lorgnette.

Merci Myndie, Robot, Tizief et Pimpette, le plaisir de vous amuser, de quelques instants de détente fut partagé ; c’est fait pour et tant pis pour la « bien-pensance ».

Marc, Yves et Gaston… pas trop désolé que vous ne goutiez pas ce genre d’humour, ce n’est qu’une forme sur le (vrai) fond. Je n’avais pas la naïveté de croire à une adhésion totale sans non plus prétendre avoir pris un gros risque. C’est juste un point dans l’éventail des possibles du texte de chanson (pas un point de détail heing). Merci de votre passage et de votre honnêteté, c’est ce qui fait que j’apprécie Oniris car je déteste par-dessus tout la complaisance.

Jaseph et Curwood avez su passer entre les mailles du second degré. Jaseph… je serais cependant plus nuancé que vous, au volant on voit surtout les mauvais conducteurs et dans une manif les casseurs mais c’est vrai que les animaux prenne parfois une place démesurée… faute à qui ? Curwood… vous avez tout compris est savez le dire.
Merci à vous deux.

Papipoete et Wall-e, merci de souligner implicitement la « scénarisation » c’est souvent par le détail que le crédit et l’adhésion à une histoire se fait.

Hananke, et Alexandre, à une autre fois ! J’aime aussi les bêtes (voir l’introduction) mais je m’entête à leur préférer les humains (et ce n’est pas toujours facile j’en conviens). merci à vous deux

Funambule, c'est au lecteur de te remercier pour ces paroles jubilatoires qui n'attendent que d'être mises en musique.

Merci à vous funambule. Je sais que le texte était du second degré, c'est pour ça que j'ai apprécié. Vous avez sauvé un chien d'une mort certaine et c'est magnifique.

Bien à vous,

Wall-E

Ceux qui n'aime pas les animaux n'aiment pas les hommes. Ceux qui n'aiment pas l'humour n'aiment pas la vie.
Phrases toutes faites mais si on y réfléchit bien...


Chez moi, il y avait un poisson rouge mais je l'ai libéré quand j'ai compris qu'il s'ennuyait dans son aquarium. Maintenant il vit sa vie avec les perches du bassin d'agrément du jardin d'enfants. Mais j'ai conservé d'autres animaux ! j'ai les moineaux et les mésanges qui se disputent la boustifaille sur mon balcon, les lézards aussi qui vont revenir aux premières chaleurs pointer leur queue amovible sur les dalles et une jacasse qui harcèle les pigeons. Des araignées dans les coffres des volets roulants et des escargots qui pondent dans mes dépôts de compost. Au printemps j'espère voir revenir les chauves-souris dans les joints de dilatation du bâtiment
Il y a bien sûr les chiens qui promènent leurs maîtres et les chats à l'affut des oiseaux, il y a aussi des campagnols roux qui rodent parfois autour des molochs derrière l'immeuble et ça c'est moins gracieux. J'entends crier les gamins, les femmes qui râlent après les mômes, les maris qui rouspètent sur leurs femmes. Les voisins qui hurlent sur mon dos. J'adore la faune sauvage des villes et pour rien au monde je quitterais mon quartier.

salut Jean
Que pense Pépète de ton histoire?
Fais-lui une caresse pour moi
Et une grosse bise à Carole
Gaston

Bonsoir funambule...

Pour ma défense je possède un petit Canichon, sans doute un croisement bichon/caniche, une petite chienne abandonnée sur le bord de la route à laquelle nous avons proposé un foyer… qu’elle s’empressa d’accepter. Elle se nomme Pépette et est adorable.*



J'ai la même, recueillie dans les mêmes conditions voilà sept ans...
Ma Pépette s'appelle Maya et depuis qu'elle a compris que cette histoire était à prendre avec beaucoup de recul elle a retrouvé le sourire et vous prie d'excuser son colocataire qui ne fait pas toujours preuve de beaucoup d'humour...
Mea culpa !

Arff, arff, j'ai moi aussi une gamine tricolore, avec une petite gueule qui vous ferez faire le tour de la région pour lui dégoter une chtite croquette, un cavalier King Charles ! On les aime ces boules de poil à la truffe frémissante et je m'en voudrais de leur faire du mal. Mais parfois, les maîtres devraient passer leur permis de conducteur de chien avant de pouvoir en adopter un. J'ai fait ça à l'armée, à cette drôle d'époque où ça se faisait encore, conducteur de chien, et j'ai beaucoup appris sur le comportement des supers Woua-Woua, les chiens de guerre, et énormément sur celui de leurs maîtres, bien trop souvent immatures, et plus bêtes que leurs pauvres souffre-douleurs. J'ai adoré cette chanson néanmoins. On peut rire de tout, comme disait le regretté ( en tous cas par moi) Pierre Desprosges, mais pas avec tout le monde.
A bientôt

Merci à tous pour ce temps annexe à nouveau consacré à +++ Scooter+++. Veuillez déposer les fleurs à l'entrée de la niche, le reste de la cérémonie se déroulera dans la plus stricte intimité.

Pour apaiser les esprits, je me suis fendu de quelques alexandrins

On les voit ces toutous, fiers de leur maladresse,
Poursuivre la baballe et japper pour des riens.
On les voit, pomponnés, au bras de leur maîtresse
Ou léchant le bourgeois et veillant sur ses biens.

On les voit, sans honneur, mendier la caresse
Ou courir, furibards, aux basques des chrétiens.
Ils ornent les trottoirs, l’anus en allégresse…
Je n’en fais pas secret, je déteste les chiens !

Une poésie apaisante qui restera dans les anales