Bonjour à toutes et tous, de la calle du vaisseau jusqu’au nid de pie !

Merci à Oniris pour la publication de ma nouvelle Brisebonbon et surtout pour sa correction, je sais, je sais, c’est pas du gâteau.
Merci aux commentateurs, chaleureux et aux lecteurs, nombreux, de ce petit bout de texte sans prétention.

@ Neojamin : bien vu pour le but, bien loin du « transcendantal » et merci beaucoup pour le « … bon moment de lecture! »

@ Asrya : haaaargh ! le doigt en plein ou ça fait mal : le « narrateur extérieur » ! J’ai d’abord pensé que cela allait trop ressembler à l’ « Orange », d’où un narrateur extérieur, puis je me suis aperçu de l’erreur… mais j’ai eu la flemme de recommencer… Je plaide coupable !
Pour le « discours de la mère », vous avez de la chance de trouver cela « étrange »…
En tous cas, votre « Au plaisir de vous lire à nouveau » me va droit au cœur…

@ In-flight : merci pour ce bon décorticage, j’avoue être très sensible à la douleur des enfants. Ou plutôt, au mal fait à l’innocence, l’âge n’entrant pas seulement en ligne de compte. D’où la dédicace au texte de Louis. D’autre part, Brice existe, je l’ai rencontré dans le métro. Juste que je ne sais pas si il s’appelle vraiment Brice et qu’il n’a pas léché la barre.
Bonbon-brisé est excellent, je n’y avais pas pensé, merci.

@Coquillette : haha, désolé point d’allusion (voulue) aux antibios. Mais j’avoue, le message (si message il y a, bien sûr ;=) est trouble. La distinction entre bien et mal n’est pas évidente (ça c’est voulu ;=). En même temps, c’est aussi le cas dans la vraie vie. Pourquoi ce pôvre Brisebonbon aurait-il plus de droit à la vie que ce pôvre SARM ? Ne peut-on avoir une mère indifférente et en même temps, gober un truc pas très net ? Haaaa, ces gosses, infernaux !
Bon, sinon, je dois encore devoir changer de taille de pompes sous vos compliments… Mais en fait, j’adore changer de pompes ;=)

@ Mauron : bonjour et bienvenue ! Il me semble que vous êtes nouveau, par ici, et que j’ai droit à votre premier commentaire. Pour le rapport entre humains et microbes, j’ai comme référence Matrix. Avec ce méchant IA qui, les doigts dans les narines de Néo, l’élu (tiens ?), explique que nous sommes aussi bêtes que des virus, pour détruire le monde qui nous nourrit… A partir de là, pourquoi pas un discours philosophe entre entités microbiennes ?
Sinon, votre « canule thermométrique » m’a fait mourir de rire ! En échange, une blagounette Nulienne : Quelle différence entre un thermomètre anal et un thermomètre bucal ? … Ben le goût, pardi… Merci pour votre commentaire.

@ Bidis : « … pour moi, tous les gosses sont d’irrésistibles casse-pieds sans nul besoin de circonstances exceptionnelles… » m’enfin Bidis, veux tu te retrouver au ban de la société pour un tel aveu ! ;=)))) « Je n’aime déjà pas trop qu’on fasse parler des animaux… » et en plus tu veux me ruiner Wall Disney, Pixar et cie ! mais t’as mangé du lion aujourd’hui ! ;=) Bon, sérieusement, désolé de t’avoir déçu, mais comme dit plus haut, c’est juste une nouvelle sans prétention et un poil bâclée. Avec « bien » je m’en sors pas si mal. Puis me reste le « grâce au talent de Pepito, je lisais avec le cœur serré » ça, ça remonte mon moral au beau fixe !
Merci beaucoup pour la sincérité de ton commentaire.

@ Bigornette : vous avez tout bien raison, « pas de message hygiéniste » et la « pique à l'anthropocentrisme » me va à ravir, mais surtout « … Pepito s'amuse bien quand il écrit. » ha oui, ça c’est bien vrai ça alors ! ;=)
Plus sérieusement (j’adore la faire celle-là !), vos différences « d’échelle, de temporalité, d’enjeu et d’intelligence» m’ont scotché. J’en avais pas vu la moitié, mais il faut bien reconnaitre (à part la dernière) qu’elles sont sous-jacentes (fleurissent en mars). Par contre raconter partout que je suis un auteur sadique, me voilà dans de beaux draps ! Mais pire, tout se passait bien et il a fallu, comme Asrya, que vous fassiez allusion à ce maudit narrateur extérieur, grrrr !!! Heureusement « la forme qui colle au fond » rattrape tout !
« et faire dire au microbe : "Nous sommes les Staphylococcus Aureus Résistant à la Méticilline !" ? » haha, comment voulez-vous qu’un microbe (dont on supporte déjà mal le langage) puisse connaitre sa propre dénomination humine ? C’est une autre grosse erreur de ce texte et comme personne ne l’avait relevée… ;=)
Merci beaucoup Bigornette pour vos commentaires, aussi détaillés que sympathiques ! ;=))

@ Shepard : décidément mon narrateur extérieur n’a pas la cote, à juste titre je dois le reconnaitre. Pour le choix des SARM, en fait c’est les premiers que j’ai trouvé sur Wiki. L’Ebola ou autres du même genre auraient fait basculer un peu trop le texte.
Le « stérile » n’est pas celui des hôpitaux, mais plutôt par opposition à une bouche d’enfant, gorgé de bonne nourriture… pour microbes.
Le but de la fin est effectivement de faire « grimacer », content si j’y suis arrivé ;=)
Merci pour votre commentaire.

@ Alvinabec : très joli résumé ! Vous avez raison, on ne peut rien attraper en léchouillant la barre d’un métro, la faune locale s’étant déjà auto détruite. Mais, bon, le dire aurait cassé un poil mon effet dramatique et l’effet est toujours saisissant. ;=(
Merci pour votre commentaire, en attendant de vous lire à nouveau.

C'est vrai Pépito, les microbes, incapables d'omniscience, ne peuvent connaître leur dénomination 'SARM'. Une erreur impardonnable !

... Enfin, ça ira pour cette fois !

A votre prochain texte =)

Ah oui, c'est vrai. Totalement. Du coup, les SARM, ça donne au moins ce petit côté mystérieux, menaçant et invasif qui leur colle si bien.

A++

Shepard, Bigornette, haha, obligé de me cafter moi-même ! ;=)

@ Louis : Haaaa, les images de Louis, une pure merveille ! « droite verticale tangente au cercle » « déstabilisation du monde » « Maman peut se faire envelopper d’un regard, se faire prendre, se faire enlever… » « La barre verticale, en miroir déformant, au lieu d’assurer la sécurité contient les germes d’un danger. » je ne suis pas sûr de les avoir consciemment écrites, mais comme rien ne m’arrête, je les adoptent sans remords et les fait miennes. ;=)

« La religion serait une maladie, nous dit Pepito. » Haha, Louis, dire que l’on me reproche souvent d’être un « mangeur de curés patenté »… je vois que j’ai encore du pain sur la planche. Créer une religion messianique à la recherche de la langue promïse… mon rêve ! Si j’ai écrit ça, c’est inconsciemment, mais si, mais non !

Pour la troisième personne de Brisebonbon, l’idée d’une est séduisante : utiliser le « il » pour n’avoir pas acquis la conscience de soi même… Mais, là, je dois confesser que ce n’est pas voulu. Par contre, je garde l’idée pour plus tard

Un grand merci, Louis, pour le soin énorme apporté à vos analyses. Elles m’ont sauvé du suicide (littéraire s’entend ;=) après Joseph. Mais, pour être honnête, je ne suis pas sûr que Brisebonbon en méritait autant.

Pepito