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1 Utilisateur(s) anonymes
Une histoire de pas |
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Visiteur
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"Merci à tous ceux qui ont permis la publication de ce texte.
Quelques mots en préambule : parmi mes textes déjà écrits, pourquoi avoir choisi celui-là ? D'abord parce que je voulais proposer un texte qui n'ait jamais été publié ailleurs (blogs ou autres). Ensuite, car je voulais me cantonner à un sujet qui ne soit pas autobiographique. Il en résulte "ça" ... Un texte que j'avais moi-même mis au rebut ! Pour ce qui est des commentaires : ils sont tout à fait, et malheureusement à l'image de ce qu'objectivement j'attendais. J'aurais dû écouter un ami à qui j'ai présenté la "chose", et qui a lâché un "moyen-moyen". Voire moins ! Donaldo75 : On démarre sur des phrases longues". Ce défaut m'est apparu, mais trop tard.Il y a une autre phrase trop longue : celle où il est question du chat famélique. "Thème incertain, vide..." J'en conviens. Mais mon dessein n'a jamais été d'écrire une épopée ! Ce que j'ai voulu raconter ? Juste un moment futile mais douloureux, et quelques réflexions émanant du du personnage. carbona : En effet, rien n'interdit de trouver le personnage pathétique, d'autant qu'il est présenté ridiculement. Et le dédain de Sandrine le souligne. Je retiens et j'accepte : "superficiel" hersen a noté l'incompatibilité entre une prévoyante par excès et un rêveur. Merci ! Quelques faiblesses aussi :" barrer / ce n'était pas qu'une histoire de chaussures..." Choisir la catégorie Réflexion / Dissertation ? Je n'aurais pas osé seulement y penser ! En y travaillant un peu plus, peut-être, avec un développement sur la conception de vie de chacun des personnages. Mais je suis délibérément restée dans le superficiel, en croyant être dans le registre humoristique. Raté ! AlexC : préoccupations triviales, expériences banales... c'est bien le moins que l'on puisse dire, quand il est question de pieds et de chaussures ! Pas d'action, peu d'émotions... C'est juste ! ameliano : acceptable mais insuffisant. C'est objectivement ce que j'aurais dit si j'avais eu à commenter ce texte. Elena : Vous avez l'air de savoir de quoi je parle, quant au mal de pieds ! Hélas, vous n'avez pas trouvé de cohérence dans le récit à partir de l'évocation de Sandrine. Je reconnais que j'aurais dû construire quelque chose de plus cohérent,développer une intention. Au lieu de quoi je n'ai fait que reprendre les pensées qui se présentent à l'esprit du "marcheur". D'où le côté superficiel. Blacksad : Le texte n'est pas palpitant. J'en conviens. En revanche, je vous assure que la difficulté à marcher est plausible. Il faut avoir vécu cela, pour le croire. Voyez Elena... elle compatit en connaissance de cause ! lala : Votre analyse détaillée est précieuse. J'en prends note et vous en remercie. aldénor : Comme beaucoup, vous avez trouvé que l'histoire de la rupture s'intégrait mal au récit. Donc j'ai été maladroite. Comme je voudrais arrêter de battre ma coulpe qui n'en peut mai, je relèverai qu'à peu près tout le monde s'accorde pour dire que l'écriture est propre, à quelques maladresses près.. Ouf ! L'honneur est à demi-sauf. Mes sincères remerciements à ceux qui ont pris la peine de me lire et de me commenter. J'essaierai de faire mieux la prochaine fois...
Contribution du : 15/10/2015 09:47
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Re : Une histoire de pas |
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Organiris
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03/05/2015 18:24 De Algarve
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Responsables Edition C.A. ASBL Onirateurs Onimodérateurs Équipe de publication Organiris Correcteurs Primé concours Comité Editorial Groupe de Lecture Membres Oniris Post(s):
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Bonjour Pivoine,
En fait, votre nouvelle m'a interpelée car une histoire de chaussures, ce n'est pas si fréquent...et mon fils est bottier. Donc, inutile de vous dire que parler chaussures, c'est devenu une habitude ! Enfin, je devrais dire " souliers ", mon fils insiste toujours là-dessus. Mais il est intéressant de mettre en parallèle votre nouvelle et tout ce qu'un bottier peut définir d'une personne à partir des chaussures qu'elle porte ou de celles qu'elle convoite. Et aussi la répercussion sur le corps tout entier qu'ont les chaussures. On peut donc à loisir étendre le champ des répercussions aussi loin qu'on veut, n'est-ce pas ? Cela explique peut-être pourquoi il m'a été facile d'entrer dans l'histoire. Et franchement, elle mériterait d'être retravaillée plutôt qu'abandonnée.
Contribution du : 15/10/2015 15:14
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Re : Une histoire de pas |
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Visiteur
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qui n'en peut mai,
lire qui n'en peut mais (je crois...) Bonjour Hersen et merci pour votre petite visite ici. Chaussures ? Souliers ? Je vais me renseigner pour connaitre la différence. Quant à reprendre la nouvelle... je vais plutôt essayer d'écrire autre chose, tout en tenant compte des conseils qui m'ont été prodigués sur la forme. Bonne journée !
Contribution du : 16/10/2015 09:00
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Re : Une histoire de pas |
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Visiteur
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Bonjour Pivoine,
Merci pour vos explications. Je trouve extrêment sympathique les auteurs qui s'adonnent à ce rituel. Pour tout vous dire, en fait de mal aux pieds pour moi, il s’agit simplement du mal que j’ai à trouver la bonne chaussure. C’est le côté "entrave" qui m’insupporte et me fait souvent marcher de guingois. J'imite souvent notre Yannick Noah national, vos savez. ^^ Je pensais votre héros atteint du même "trouble". Bonne chance pour la suite. E.
Contribution du : 16/10/2015 15:37
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