Bonjour à toutes et tous !

Merci à Oniris pour m’avoir permis de vous présenter ce texte. Merci à toutes celles et ceux qui ont lu ces quelques tranches de brie.

Chères commentatrices, chers commentateurs :

@ Mauron : « le mot "maman" semble désigner un enfant » haha, garnement, t’adresserais-tu à ta Maman avec un autre mot (rond) ? Pour la structure générale nous sommes effectivement peu habitués à lire des tronçons à la suite, sans lien direct. Pense à un journal ouvert au hasard, même le style change en fonction de l’âge, de l’émotion du jour ou de l’état d’ébriété du narrateur.
Un grand merci pour « le jeu complexe et subtil, tragique et comique à la fois » . ;=)

@ Jano : certaines « Mémés aiment la castagnes » d’autres c’est Zorro, c’est la vie.
Merci d’avoir trouvé mon incipit « fameux »

@ Myndie : pour un « certain B », je donne ma langue au chat ?? Pour le père maladroit avec les enfants, je n’ai pas eu à forcer mon imagination… ;=) Pour le lien entre les morcifs, ben c’est le narrateur, tout simplement. Le troisième morceau raisonne avec l’actualité, effectivement, de là à dire que c’est le hasard… pas sûr. Pour le «regard sensible » fallait pas cafter et ma réputation alors ?! ;=)
Merci beaucoup pour ton gentil commentaire et pour avoir comparé mon incipit à une pépite ;=)

@ Vincendix : « un résumé de la conception ! » tss, tss, voyeur va ! Je penserai à l’application d’un traitement thermique sur les Pepitos, l’idée me semble bonne. Sinon, Tlemcen, pas Alger mais pas loin.
Merci d’avoir apprécié la « tomme » (crochu ?)

@ Vendularge : la vie est ainsi faite, il manque parfois des maillons. ;=)
Merci pour ce sympathique commentaire.

@ Blacksad : les tranches de brie c’est un peu comme les BD de Chat des année 50, il y a le Tomme 2 parce que le Tomme 1. ;=)
Merci beaucoup pour ce dithyrambique commentaire.

@ Carbona : hello ! pour la troisième partie, j’ai choisi un style neutre, enfantin même. L’idée était de ménager la surprise et de donner cette impression que les enfants semblent parfais traverser un jeu vidéo. Du pas réel… mais bon ;=)
Pour la virgule manquante, elle a clignoté une bonne dizaine de fois avant de disparaitre… effectivement, il fallait la laisser ;=)
Merci pour le commentaire.

@ Louis : haaaargh ! ta décomposition de la partie Zorro, ta description de ma Grand-Mère, m’ont fait piquer les yeux, je l’avoue. Tu as lu exactement ce qu’il en était. L’amour de Mémé pour un premier mari, caché, par affection pour le second. La seule question que je me pose toujours : en avait-elle elle-même conscience ?
T’imagines que le sergent Garcia est sorti à l’insu de mon plein grès. J’ai failli ajouter qu’il soulevait sa coiffe pour s’éponger le front, sans me rendre compte de la ressemblance (merci à Coquillette ! ;=). Cela fait le lien entre la partie un et trois. Le lien, explosif, entre la deux et la trois était bien conscient celui-là. L’instant zéro/l’instant Zorro : haha, une pure merveille ! ;=)
Un énorme merci à toi Louis, je n’oublierai pas ta description de Mémé de sitôt.

Don Diego de Pepito.

Hello Don Diego!

Mais j'ai aussi comparé ton incipit à un tweet de pitpit, ça le fait non?

Désolée d'être si hermétique! Zut alors ce "B" était justement un clin d'œil et je pensais bien que tu aurais saisi l'allusion à ce bon vieux Bérurier, dit Béru, dit le Gravos...Tu as raison, rien à voir avec ton texte mais c'est juste que la formule m'est venue tout naturellement, juste histoire de me rappeler que je pense souvent à San A en te lisant. Un clin d'œil, je te dis!

A tchao Pepito!

Myndie, Harrgh ! Moi rater Bérurier, la honnnte ! ;=)

Coucou Bidis, content que ce petit texte t'ais plu. Pour l'imagination, je me suis pas foulé, suffisait de piocher, faciiile... ;=)

Un grand merci pour ton commentaire.

Coucou Coline,

Merci pour la Mémé de compète ! ;=)
Pipo et Elastoc, connaissais pas, harrrgh ! je sens que je rate keke chose.
"C'est gentil tout ça" ?! T'aimes pas les bouchers, c'est ça ? Ou alors c'est genre : "Toi qui voulais voyager, te voilà z'éparpillé..." bien que je doute que le boucher se soit appelé Morales. ;=)

Merci pour ton comm sur mon coulant (et odoriférant) camembert ! ;=)

Hello Raoul, je suis toujours flatté quand un « pur » poésie fait un saut sur une de mes nouvelles. Quand en plus le texte est apprécié dans ses détails… ouhaaa ! ;=)
De plus, celui là, je l’aime beaucoup, donc double merci pour votre commentaire.
Pour les aérations par trop aérées, l’idée est de s’adapter à la lecture sur ordi… mais il est vrai que là on frise le courant d’air.

Un grand merci pour le « chouette lecture »

Bonjour Epitete, content que les deux premiers textes vous aient plu. Touchante ma Mémé, non ? ;=)

Le troisième texte raconte un épisode des « évènements » d’Algérie dans les années 60. « Evènements » car officiellement il n’y a pas eu de guerre. Le ton est délibérément froid pour ne pas se laisser subjuguer par les émotions. C’est une sorte d’analyse des horreurs ordinaires dans de tels cas. Continuer à vivre ou mourir ne dépend que de son « taux » de chance. Que vous soyez bon, mauvais, ou un peu des deux, n’a rien à voir dans l’affaire.

L’idée est de faire le parallèle avec des événements récents, de se rendre compte qu’au fond, rien n’a changé.

Merci beaucoup d’avoir réveillé ce texte auquel je tiens beaucoup.

Pépito

Ah d'accord, je dois avouer que je me posais la question du contexte du dernier texte. Je crois bien que je vais le relire alors, et d'ailleurs je compte lire vos autres productions.