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1 Utilisateur(s) anonymes
Remerciements pour mon poème "Le bouquet" |
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Expert Onirien
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23/06/2011 17:15 Groupe :
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Merci pour vos commentaires sous ce poème…
Papipoete – Merci. Oui, la « joliesse » et le côté « mièvre » que relève un autre commentateur sont voulus. Décidément, je ne comprendrais jamais la critique qui vise à dézinguer un auteur pour le ton de son écriture. Je ne la pratique pas considérant que c’est à l’auteur de savoir quel ton adopter pour écrire son poème et que c’est là, sa première liberté. Oui, c’est la dernière rime de l’ultime tercet et la répartition des rimes qui empêchent la parution en classique (j’avais envoyé le poème dans la catégorie néo-classique). Miguel - « A quoi se rattache le vers 4 ! » - C’est pourtant simple. Que ce bouquet… ne coûte pas plus que de trouver son sillage embaumant. Il faut être de très mauvaise foi pour ne pas comprendre un tel vers. Oui, les deux rimes finales empêchent la parution en néo-classique (de même, dois-je le souligner que la répartition des rimes du sonnet qui ne reprend pas l’une des formes traditionnelles). La « mièvrerie » du ton est voulue. Elle est choisie. Fouillez dans la poésie classique du 19e siècle vous y trouverez quantité de sonnets comme celui-ci (chez Amélie Gex, Albert Samain, Paul Verlaine, Armand d’Artois, Théodore De Banville, etc.. je pourrais en citer maints autres. Claudius Marcel Popelin… était sans doute le chantre de ces sonnets « simples », mais pas « simplistes » et révéré par José-Maria De Hérédia qui lui dédiera deux des sonnets de son recueil « Les Trophées ». C’est dommage de ne pas vous en apercevoir. Si désormais, pour écrire sur Oniris il faut adopter un ton ad-oc, je vais fuir… Mais, enfin qui a dit qu’il fallait pour être poète adopter un style d’écriture adoubé par le lectorat. A force de vouloir décider à la place des auteurs on fini par lisser méthodiquement et uniformément tout ce qui fait l’individualité de chaque plume. C’est dommage ! Hananke - Merci pour le compliment. Je ne sais pas ce qui te gêne dans le vers 4, il me paraît parfaitement correct. Ce n’est pas le premier prix que je reçois dans un concours, sans doute pas le dernier et toujours via des jurys professionnels et différents (poètes maintes fois publiés, éditeurs, professeurs de littérature...). Nous dirons donc que les jurys se trompent, et que les membres d’Oniris sont dans le vrai. Lulu - Merci. Qui parle ? C’est pourtant simple. Celui qui écrit. Le ton de ce sonnet et pourtant simple à comprendre et maintes fois utilisé en poésie. Comment peut-on ne pas comprendre que c’est l’auteur qui s’exprime ? Je vous cite : « De fait, j’ai imaginé quelqu’un d’alité et d’un peu autoritaire… ». Mais, pas du tout ! Aucune intimation dans mon propos. Le choix du « vous » et au contraire un « vous » de politesse, il y a quelque chose de l’ordre de la supplique dans ce sonnet. Le rythme lent des vers le montre pourtant bien. Et voici encore une fois, le ton de l’écriture qui se trouve jugé. Quelle vilaine manie de vouloir à toute force choisir à la place d’un auteur les mots, le ton et le style qu’il s’est lui-même choisi. C’est selon moi, une critique irrecevable qui ne peut entrer en ligne de compte dans une critique. Un choix que je n’ai jamais pris et que je perçois souvent dans les critiques sur Oniris. Encore une fois, je trouve cela dommage. Laissez-donc les auteurs vivre leur poésie selon leur humeur et arrêtez de vouloir leur imposer votre vision d’un sujet. C’est pénible et fort peu juste en matière de critique. Je récolte avec vous ce « un peu » simplement pour avoir cueilli des fleurs dans un poème… Je préfère aussi voir les fleurs dans un champ que de les cueillir, mais, ici ce n’était qu’un texte poétique. Sourire. Antinoos - Merci de ne pas relever de faute au 4e vers. Quand même !!!!!! Si la phrase n’avait rien voulu dire, je gage que le jury m’aurait de suite retoqué et que le prix (à une marche du Grand Prix, synonyme de parution d’un recueil à compte d’éditeur – Celui-ci a été attribué à une poétesse allemande de la région de Munich) ne m’aurait pas été attribué. « Préférer les fleurs sauvages aux fleurs coupées… » Oh merci encore d’avoir compris le sens de mon propos. Iloa - Merci ! Oui, des mots simples, mais, sans être simpliste… Alexandre - Merci pour « l’honnête sonnet contemporain ». Je trouve aussi que le 1er tercet est assez réussi, merci de le relever. Vincendix - Merci. Oui, la nature se retrouve souvent sous ma plume (mais, pas seulement). Oui, une rose dans un bouquet champêtre peut-être joli. Cristale - Je vous cite : « Je suis sortie du périphérique du quotidien pour entrer dans votre poésie avec l’impression de quitter l’oppression de la ville et sa société de consommation pour découvrir l’espace, l’air, les couleurs, les senteurs de la campagne… » Voilà, c’était précisément l’objectif de ce sonnet. Damy - « … la tendresse humble et naturelle » : oui, c’était bien de cela dont il s’agissait. Un sonnet en forme de supplique où l’auteur part dans la Nature en quête de la simplicité des choses et des instants, loin de la cohue des villes et l’animosité des hommes. Marie-Ange - Merci. Francis - Merci. Oui, c’était bien de cela qu’il s’agissait. Certains s’en sont immédiatement aperçus, quand d’autres sont passés totalement à côté du propos de ce sonnet.
Contribution du : 03/01/2016 16:00
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