Un grand merci aux lecteurs et surtout aux commentateurs de ce poème qui date d'une époque pas si lointaine où ma vie sentimentale était un peu...compliquée. Je l'ai voulu simple (le poème) le plus proche possible du langage parlé puisqu'il s'adressait à une personne bien précise. Je suis sensible aux témoignages de satisfaction que vous m'avez prodigués avec beaucoup de générosité et d'indulgence.
Je désire juste apporter quelques précisions à propos des remarques qui m'ont été faîtes pour expliciter des choix ou reconnaître des négligences

Pour le titre, j'ai délibérément choisi cette formulation, ambiguë, pour créer un effet de surprise, comme l'ont bien senti Alexandre et Corbivan. J'ai bien sûr pensé au « bois de trousse-chemise » et à certain bois de ma jeunesse tourangelle, qu'on nommait le »bois des cocus ». Inutile de préciser pourquoi. Il m'a plu de contrarier la sagacité du lecteur potentiel.

Alexandre, je touve que « n'avoir plus aucune envie » est plus fort dans l'idée et la formulation que « avoir une ultime envie ». C'est ce qui m'a poussé à garder ce vers en l'état.

Hananké, vous êtes étonné par le mot « risible » qui vous semble inapproprié. En fait, je l'ai utilisé pour mettre en relief la vanité (on pourrait aller jusqu'au ridicule) des « amours-toujours » dont on sait bien qu'ils ne sont pas la règle générale. De mon point de vue, les seules histoires d'amour qui ne finissent pas sont celles qui n'ont jamais commencé.

Le vers 16 adopte cette tournure familière, et peu élégante, toujours par souci de simplicité. J'ai hésité et fini par le garder en l'état.

Merci Arielle d'avoir relevé cette répétition de « fil » qui m'est passé inaperçue. On a beau lire et relire, il y a toujours quelque chose qui vous échappe. La correction en est aisée.

Quoi qu'il en soit, je remercie de tout cœur Iloa, Bipol, Marie Ange, Lala, Hananké,Vincendix, Arielle, Francis, Alexandre,Jaseh, Pizzicato, Papipoète, Wall-E, Léni, Antinoos, Troupi, Angélina, Luciole et Corbivan de s'être un instant posés sur cette modeste branche et d'y avoir goûté du plaisir.

J'ajouterai que je suis désolé, pris par d'autres soucis, de n'être guère présent sur le site. J'espère y être plus actif prochainement.

Bien amicalement.

C.

Bien cher Arthur,

Je veux très chaleureusement vous remercier pour votre passage sur mon texte « Le bois des amours » et pour le commentaire hautement pertinent que vous lui avez attribué avec cette absence de rancœur qui caractérise les esprits élevés. Bien sûr quelqu'un de mal intentionné y dénoterait une évidente inculture (cf Wikipédia pour le bois de rose) et une absence totale de compréhension et de sens poétique (bois d'acajou... ça s'appelle une image en termes de procédés poétiques). Rassurez-vous, je n'en crois rien et trouve même que vous avez fait, depuis vos premiers écrits, des progrès en terme d'intelligibilité de votre expression, si on excepte, bien sûr, les fautes basiques de conjugaison que Widget vous a déjà signalées.
J'espère de tout cœur que vos acidités gastriques se sont apaisées et que vous serez capable de comprendre toute l'ironie de cette mise au point dont je vous adresse copie par MP, pour être sûr que vous aurez le plaisir d'en prendre connaissance.

[Modéré, propos méprisants.]

Bien cordialement à vous.
C.

Citation :

Bjr Curwwod,

C'est marrant ça. Je me souviens qu'après avoir critiqué l'un de vos textes et mis la notation correspondante à mon ressenti, vous vous étiez empressé de me rendre la pareille en mettant un commentaire négatif sur l'un de mes poèmes. (J'ai effacé ce poème depuis, quel dommage...)

Mais je suppose que chez vous, esprit élevé s'il en est, il ne s'agissait bien évidemment pas de rancœur mais d'un ressenti sincère. Je n'en doute pas un seul instant.

Quant au caractère méprisant de votre intervention, je ne vais même pas commenter, c'est inutile.

Bien cordialement.

Bien cher Pouet,
Vous me voyez ravi de vous voir intervenir sur un sujet qui ne vous regarde pas. Mais cela va me permettre de vous dire en face que je me souviens fort bien de l'indigence lamentable du commentaire en question "ce poème a 150 ans" sur le texte Dames blanches. Il va sans dire que c'est très constructif et furieusement pédagogique (le texte en question est toujours consultable)... Quant à mon commentaire sur votre texte, (rassurez vous, je ne vous déteste pas -vous m'êtes parfaitement indifférent), il n'exprimait que mon ressenti, à savoir qu'il avait été écrit avec une pioche. D'ailleurs, vous ne deviez pas en être bien satisfait pour l'avoir déjà effacè...
Bien cordialement à vous.
C.

Très cher Curwwod,

C'est avec un réel plaisir que je discute avec vous car pour ma part vous ne m'êtes pas indifférent. Mon prochain, un être humain et poète de surcroît ne saurait m'être indifférent.
Ce sera toutefois ma dernière intervention car toutes les bonnes choses ont une fin et je risque de m'attacher, sentimental comme je suis.

Alors oui je me doute bien que malgré votre esprit élevé, votre sincérité et votre respect de l'autre, vous n'alliez pas me confier vous être abaissé à la vengeance. Vous m'avez bien évidemment gratifié, et ce malgré l'indifférence que vous me portez, d'un commentaire sincère et sans arrière-pensée. J'en suis pleinement convaincu, n'en doutez pas un seul instant très cher Curwwod.

Ensuite oui, votre poème "Dames Blanches" semble dater de 150 ans. 200 peut-être? Veuillez excuser mon indigence lamentable, je ne fais que donner mon avis, certes il ne fait pas honneur à votre grandeur indéniable mais bon, je fais ce que je peux.

Quant à mon poème écrit avec une pioche, je vous remercie pour le compliment. Il est vrai qu'une pioche creuse, mon poème était donc profond, je suppose que c'est cela que vous vouliez dire? Rassurez-moi je ne me méprends pas sur vos intentions?

Voilà merci à vous pour cet échange constructif, sincère et chaleureux, ne changez rien, je vous souhaite un très bon après-midi et soyez heureux mon très cher Curwwod.

Très très cordialement à vous.

Cher Pouet,
Je vous remercie pour cette déclaration d'amour dictée par une conscience aigue du bien pensé. Vous aurez bientôt l'occasion de mettre en pratique votre grande tendresse pour l'espèce humaine et l'homo poéticus en particulier à propos d'une prochaine publication qui m'a été annoncée. En attendant je vous signale que la pioche n'est d'autre qu'une image signifiant élégance et légèreté, pas forcément profondeur : ça dépend de la dureté du terrain.
Enfin cessons ce jeu stérile auquel il ne me semble pas vous avoir convié. Brisons là donc. Sachez simplement que moi-aussi je vous aime!

C.

Currwood. Je vous ai envoyé un message privé avec du doute, mais maintenant je n'en n'ai plus c'est bien du mépris (dont vous m'avez déjà généreusement gratifié sur mon texte) et j'en prends note.

Au revoir