Remerciements à ceux qui ont permis la publication, aux lecteurs et commentateurs.
Bien sûr il s'agit d'une perte personnelle que je n'expliciterai pas plus l'objet du poème étant avant tout la douleur de l'absence.
Un peu de clarté sur les quatre vers qui ont dérouté quelques lecteurs:
Manque au souvenir
quand revient la nuit
son temps ralenti
où plonge l'oubli.
En prose j'aurais écrit:
Quand revient la nuit le temps ralenti ou plonge l'oubli manque au souvenir.
C'est le temps ralenti qui manque au souvenir.
Je souhaitais exprimer que dans ces circonstances l'insomnie empêche d'échapper au souvenir douloureux, qu'ils affluent alors que manque ce temps ralenti de l'endormissement progressif qui nous fait plonger dans l'oubli du sommeil.

Je vais revoir la disposition de ces vers et mettre souvenirs au pluriel.
Manque n'est donc pas rattaché aux 2 vers précédent :
"Les papillons bleus
du chemisier blanc"
qui représentent une réminiscence, un flash de la mémoire.
Au travers des commentaires ressortent bien tous les sentiments que j'ai souhaité exprimer:
Vos adjectifs et vos ressenti différents et vos sentiments sont tous les miens.
Voilà ce que je tenais à vous dire à propos de ce texte qui plus que d'autres me tenaient à coeur.
A tous un grand merci.

Merci encore à tous ceux qui ont laissés des commentaires sur ce poème avant et depuis sa publication jusqu'à ce jour. Je ne pensais pas qu'il recevrait des coms 15 jours après sa parution. Je suis donc bien heureux qu'il ait été apprécié.