Merci aux membres du Comité d’Edition d’avoir choisi mon menu copieux.
Merci Iloa, soyez rassurée, la cuisine de « Marie » n’est pas son seul attrait, d’ailleurs je l’écris dans le dernier quatrain.
Merci Marie-Ange, je craignais que ce texte soit indigeste et je suis heureux de partager ces bons petits plats avec vous. (Je profite de cette réponse pour vous féliciter, vous commentez très souvent, même sur des textes « anciens », un bel exemple)
Merci Fredo, ma fantaisie culinaire avait les deux objectifs que vous citez, faire saliver et amuser. A vrai dire, je suis plutôt gourmet que gourmand, je préfère la qualité à la quantité.
Merci Hananke, je respecte votre jugement mais je retiens surtout votre appréciation favorable.
Merci Papipoete, évidement la reconnaissance du ventre passe par un échange équitable, suis-je assez reconnaissant ? Seule « Marie » pourrait le dire…
Merci Lulu, la cuisine peut être l’une des composantes de l’Amour, le « bien manger » est un plaisir incontournable de l’être humain.
Merci Robot, j’ai saupoudré le menu d’un pincée d’érotisme en effet, pour pimenter le compliment.
Merci Alexandre, quelques grumeaux de hiatus dans la sauce, je vais me corriger, du moins faire mon possible.
Merci Cristale, je redoutais un peu le jugement féminin et je fais amende honorable en proposant, dans le vers final, d’être le marmiton de mon cordon-bleu.
Merci Pizzicato, non, pas d’ambiguïté pour les pieds de porc, les petons de « Marie » sont à croquer.
Merci Pieds-enVERS et bon appétit, le bien vivre ne peut se passer du bien manger.
Merci Luciole, je sais que vous êtes un peu « chiche » dans vos appréciations sur les poèmes et rien que votre intervention me satisfait.
Merci Sofi, l’un de mes buts était d’amuser, j’estime qu’il est atteint.
Merci Pouet, « qui se lit bien », c’est ce que je m’efforce de faire habituellement. Autrement, j’ai écrit une autre version nettement plus hard mais elle n’a pas sa place ici.
Merci aussi à tous les lectrices et lecteurs qui n’ont pas commenté, plus de 160 sur ce texte.

Deux quatrains de ma seconde version, les moins hard.

Que j’aime ta cuisine ô ma douce Marie,
Quand je défais le nœud de ton blanc tablier,
Ton corps est un caviar, suprême gâterie,
Je suis toute la nuit, ton omble chevalier.
…………………………………………………………………………..
De tes seins honorés jusqu’à la forêt noire,
Je découvre des lieux qui me rendent baba,
Paris-Brest et retour, entre fromage et poire,
Je deviens pote au feu pour ta pêche melba.

Ah quel dommage que nous n'ayons pu savourer dans son intégralité cette version bis qui me semble infiniment plus inventive que la première !
Je suis très gourmande, je ne crache sur aucun de vos plats mais Marie me parait encore plus appétissante au lit qu'à table

d'accord avec Arielle ; ces 2 quatrains sont si succulents ! Vous auriez vraiment dû les mettre au menu ! j'en reste sur ma faim...

La version "X" doit être fort intéressante à en juger par cet avant goût.

Bonjour Vincendix

Cette seconde version nous met l'eau à la bouche.

Nettement supérieur à l'ensemble proposé.

Dommage que nous n'ayons que deux quatrains.

Mais oui, Vincent, fallait oser ! Propose donc cette version sous un autre titre, je suis sûr qu'elle fera un tabac...

Vous n'allez tout de même pas nous priver de dessert.L'idée de savourer cette seconde version est bien alléchante. ..

Merci Ananas, vous trouvez « ma cuisine » un peu indigeste mais vous voudriez qu’elle soit plus pimentée, c’est un peu paradoxal.

J’attends vos œuvres avec impatience qui, je n’en doute pas quand je lis vos (excellents) commentaires sur ce texte et sur d’autres, seront de haut niveau.
Vincent

Je pense que la seconde version ne passerait pas telle qu'elle est actuellement, il faudrait que je la modifie, je vais y réfléchir, merci de votre intérêt et de vos bons conseils.
Vincent

Citation :

Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais j'ai toujours eu du mal avec cette façon de penser. Comme quoi il faudrait écrire des chef-d’œuvres pour avoir le droit de critiquer un texte. Je ne sais pas moi, il faut être un grand réalisateur pour juger un film? Un grand chef cuisinier pour avoir le droit de critiquer un plat? Bref cela me laisse toujours perplexe, d'autant que je ne sais pas si je vous apprends quelque chose ou pas Vincendix mais il y a des oniriens sans texte publié mais qui pourtant commentent... ô horreur!