Avec un retard certain, dont je ne sais si je peux décemment m’excuser (encombrements sur les routes), j’aimerais remercier chacun des intervenants, lecteurs, correcteurs (ô combien !) et nombreux commentateurs qui ont lu ce texte.

Sur la note hexadécimale, je pense qu’il y a peut-être eu une surinterprétation de ma démarche qui était, je crois, relativement banale : faire un alexandrin en hexa (où les vers finissant par E sont masculins !). Je ne suis pas sûr d’y être arrivé, mais du moins aurais-je essayé.

Je passerais sur le film Star Wars qui n’est pas le sujet, bien que j’aie suivi les quatre émissions des Nouveaux chemins de la connaissance (France culture) qu’Adèle Van Reeth lui avait consacré. Le sujet c’est le rapport entre humains et robots.
L’idée de R2-D2 m’est venue de Philae (le petit robot coincé sur l’astéroïde 67 P/TG, un peu comme un Petit Prince) dont j’avais lu dans la presse une étude sur l’incroyable empathie du public à son égard. J’ai fait le rapprochement, c’est tout. Ensuite, le personnage étant déjà campé, et l’histoire découlant, je loupais une fable (les histoires d’amour n’ont pas de morale), mais je pouvais toujours laisser imaginer ce que seraient celles du futur, avec des robots à la place d’animaux (hélas disparus !).

Dans mes recherches, je suis tombé sur cette phrase : Le danger viendra lorsqu’on croira que les sentiments qu’on éprouve pour les robots sont réciproques ! Et, cherchant de quels sentiments pouvaient déjà se prévaloir les robots, je suis tombé sur ça :
http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20140807.OBS5844/oubliez-la-fontaine-voici-l-algorithme-moss-generateur-de-fables.html

Voilà où l'hexa mène.

Franchement, j’espère avoir fait mieux.

Merci (collégial) encore, à vous trop nombreux pour que je puisse vous citer.

Bonjour, Gemini,

J'ai fait votre connaissance par le biais d'un autre fil. Impressionné par la qualité de vos vers, j'ai eu la curiosité de chercher d'autres traces de vous et je parviens ici.

Je ne peux m'empêcher de laisser une autre pièce à ranger dans votre dossier. Je la trouve très touchante, même s'il ne s'agit que de fiction au sujet de la peur qu'éprouve un ordinateur à l'idée de sa propre mort. Sans doute la possédiez-vous déjà.

Désolé, je n'ai pas trouvé la version française, que d'ailleurs je trouve meilleure.