Tout d’abord, je lève le voile sur la particularité que comporte ce texte comme je l’ai signalé dans le forum. J’ai utilisé les consonances des rimes d’un extrait de l’Illusion Comique de Corneille, les deux premiers vers étant :
Aimables souvenirs de mes chers délices,
Qu’on va bientôt changer en d’infâmes supplices…

Merci au membres du CE d’avoir sélectionné ma fantaisie Alicienne
Merci StayinOliv, je suis bien d’accord, j’aurais dû trouver mieux pour le dernier vers mais il m’arrive de bloquer sur la conclusion, je l’ai modifiée plusieurs fois sans trouver la bonne.
Merci Lulu, « cette virago » peut s’appliquer à quelques femmes actuelles, plutôt avides de plaisir charnel que d’amour « fleur bleue ».
Merci Gilbert, vous communiquer les coordonnées d’Alice, ce ne serait pas un cadeau !
Merci Papipoete, la chair est faible cher ami ! Un oubli dans le vers 7 en effet, j’avais demandé une modification c’était trop tard, vous étiez déjà passé, mea culpa.
Merci Fredo, très heureux que mes écrits vous plaisent.
Merci Alexandre, vilain hiatus, je pensais y échapper mais il se glisse insidieusement et même au milieu des parfums. Sois rassuré l’’ami, à l’époque de cette aventure, je ne connaissais pas encore la future madame Vincendix.
Merci Gemini, ce n’était pas une pro…pro… Le titre est bien un jeu de mots, il m’a été « soufflé » par Bourvil ; dans la Grande Vadrouille, en montant dans un planeur, il dit à son compère de Funès : il n’y a pas d’hélice, hélas !
Merci Troupi, la référence à Georges Brassens m’agrée.
Merci Arielle, après Brassens, Mallarmé, je signe. Quant à l’adresse de la belle Alice ? Je suppose qu’elle a déménagé depuis !
Merci Madawaza, vive les Alice, même les sybarites.
Merci Ayeur, Sybalice, un néologisme intéressant.
Merci Lala, je vais essayer de réduire les auxiliaires dans mes prochains textes, vous avez raison.
Merci Pieds-en-VERS, très heureux de vous avoir procuré du plaisir virtuel, il a l’avantage d’être répétitif et durable…
Merci PIZZICATO, souvenir, souvenir ! En effet, il ne fallait pas être rouillé pour satisfaire la belle Alice !
Merci Teneris, on pourrait dire dans ce cas que le cœur a des raisons que la déraison ne veut pas connaitre.
Bon week-end
Vincent

Merci Francis, il vaut mieux éviter la mante religieuse mais il faut savoir prendre des risques dans la vie.

Je remercie aussi tous les lecteurs, environ 200 pour le moment, ce n’est pas rien !
Qu’importe le plumage,
Ce n’est qu’un apparat,
Pourvu que le ramage,
Draine le lectorat.

Bon dimanche
Vincent

Merci Curwood, vous avez raison, malgré le tempérament d’Alice et ses exigences, elle avait des élans de tendresse, elle savait se faire regretter…