24 06 2016

Un grand merci à Oniris d'avoir publié mon dernier poème, auquel je ne croyais guère, sortant du clos où s'ébattent habituellement mes vers, néo ou classiques, rentrant sagement en rang par 8, ou 12 . J'essaierai de m'y frotter à nouveau .
Robot ; tu as pratiquement pris mes yeux, tant ce que tu vois reflète ma vision infernale ! Merci
luciole : vous voyez en touches impressionnistes, le reflet d'un tableau évocateur, et me flattez ainsi, de savoir jouer d'une fameuse palette . Merci
Hananke ; serais-je plus adroit en « libre « qu'en « classique «, je ne suis pas certain, car les rimes me manquent, et les verbes, le c.o.d , mais vous avez apprécié ; merci
Marite : au classique, pourrais-je ajouter la corde « libre » à mon arc ? Ce fut un essai dont le rendu vous plut, même si sa présentation serait à revoir ; j'ai noté et m'appliquerai davantage ! merci
Miss Neko ; vous voyez à travers mon essai, un coup de maître, dans cette évocation de la furie des cieux ; vous m'en voyez ravi ! Merci
PIZZICATO ; vous avez vibré au milieu de la tourmente venteuse, et les images vous plurent ; merci
Leni ; mon épicéa aurait pu te tomber sur la tête, tant le réalisme du récit t'impressionna ! Merci
Pouet ; le petit côté « haïku « vous a entraîné dans cette tempête, sans déplaisir, et j'en suis heureux ; merci
jamesbebeart ; ma liberté d'écriture, desserrée du corset habituel de mes vers, vous a séduit, particulièrement les fins de strophes avec le poids de la sentence ; merci
hersen ; ce registre de moi, inconnu mais bon vous a ravi, même si des formules « toutes faites « sont à oublier au profit de mon propre ressenti ; j'y veillerai ; merci
Alexandre ; tu as traversé cette tempête ( loin de l'Atlantique ), vu cette houle sans écume dans mon Jura, et tu es content de mon essai . Oh Rê ( dieu du ciel) comme si je l'implorais, et « au sol gît «, j'ai voulu jouer les notes, ré, sol ...Bof ! Merci
Cristale ; vous avez fait l'effort de lire et commenter du « libre «, ce qui est déjà gentil de votre part, aussi je comprends que ces retours à la ligne de mots uniques, ( pour qui excelle en alexandrins ) vous aient lassée ! Mais je me suis évertué à ne pas construire de phrases, exprès et ce fut rude tâche ! Mais mon histoire vous a plu cependant ; merci
plumette ; même si l'ensemble vous plut, « le vent qui vampirise la cheminée « vous a fait hurler votre désaccord Pourtant, le vent lugubre qui descendait jusqu'au fourneau, nous fit tellement frémir lorsque nous étions enfants ! Et encore maintenant, lorsqu'il le fait la nuit ! Merci
Antinoos ; vous n'appréciez pas particulièrement, et pensez que mon choix est mauvais ? Ce fut un essai, et suis parfaitement néophyte en cette matière ! Merci de votre lecture
jfmoods ; votre analyse semble couler comme les rivières de mon Jura et vos remarques flottent comme un papillon sur leur onde naturelle ! Recevoir votre commentaire est pour moi, la touche magistrale qui me plaît énormément : merci
emilia ; vous semblez revenir de l'opéra où l'on jouait une oeuvre majeure, tellement prenante, que vous en êtes émerveillée ; je ne vous promet pas que mon prochain « libre » aura une telle « aura «!merci
Vincente ; mes vers très courts ont eu le bonheur de vous plaire, et vous le dîtes de si belle façon ! Vous me prêtez des « yeux de poète « pour peindre cette furie céleste si prenante, qu'on pourrait la toucher ; mais gare, les corbeaux ont déjà repéré l'endroit ! merci
papipoète