Bonjour et un grand merci aux commentateurs de ce texte.

Je suis particulièrement content, parce que les réactions des lecteurs correspondent exactement à l'effet recherché, et pourtant il s'agissait d'un laborinis, jeu entre dialogue direct, indirect et indirect libre.

Le texte a été facile à écrire, c'est tout simplement n'importe laquelle de mes journées d'enseignant et la rretransciption des questions idiotes qui ne servent à rien mais qui me taraudent le cerveau à longueur de journée

Un grand merci donc à Vendularge, Hersen et Jean Meneault.

Et l'expression, tout de même d'une petite frustration.... Un seul commentaire en post-publi, quand en parallèle, il y a 15 commentaires sur la poésie publiée le même jour, c'est peu ! Ce n'est pas pour chouiner, en réalité c'est hélas le lot de beaucoup de texte en prose. Oniris devient-elle un site exclusivement de poésie? À suivre.

Bonjour Charivari,

Je me suis fait la même remarque que vous : j'ai été surpris d'être le seul à commenter votre texte une fois celui-ci publié (et j'incite les lecteurs de ce sujet, non du haut de ma toute petite expérience sur Oniris mais plutôt de mon estime pour votre texte, à aller le lire et le commenter si le cœur leur en dit ;) ).

Je ne savais pas que vous étiez enseignant mais je me le suis demandé en lisant car cette histoire et ses détails, notamment le comportement des élèves, leurs dires (tout cela décrit avec humour et sans condescendance, ça n'est pas si facile) transpiraient le vécu.

En tout cas bravo pour votre nouvelle et j'aurai plaisir à lire vos prochaines publications (ainsi que les anciennes d'ailleurs).

Bonjour,

Après vous avoir lu ici-même le peu de retours sur votre texte, toute penaude de n'avoir pas cliqué - en cause en effet, une présentation un peu trop complexe pour mes petits neurones et un rien rébarbative - je l'ai lu et m'en vais réparer ma grossière erreur en le commentant de ce pas...

Merci !!!!

Après avoir profité de la remarque de Jean_Meneault, sur le peu de commentaires de votre nouvelle, j'ai fait comme JulieM, je m'en suis vite allé en rattrapage de(à) votre court métrage ! (cf. mon commentaire tardif).

Du coup, cela qui m'a fait réfléchir à cette problématique du temps disponible que l'on accorde plus volontiers pour plonger dans les textes courts, en rebond d'ailleurs d'échanges sur le forum. Adepte de poésie, je ne crache pas du tout sur une bonne nouvelle (littéraire, je ne cherchais pas le jeu de mots, mais puisqu'il est là,...!). Dans ces deux registres, on est sur un temps court en tant que lecteur, et même très court pour la poésie. Pour cette dernière, la consommation régulière offre une excitation toute particulière où se conjuguent le rythme et la densité des lectures. La cadence possible assez soutenue et la concrétion de la matière littéraire présentent une consistance riche pour l'esprit.

Or, en ce début de siècle, l'avidité de l'individu pour densifier ses émotions et "remplir sa vie" est en constante augmentation. On voit ainsi la poésie gagner "des parts de marchés" au détriment des autres littératures plus lentes à déguster. La profusion des diffusions sur les réseaux sociaux procède également de ce phénomène, avec un rapport temps dépensé/émotion éprouvée très performant ! Heureusement que l’excès quantitatif lisse les pics émotionnels et transforme une dégustation en ingurgitation, merci à la mère nature de produire l’écœurement !

Sur les réseaux, l'on peut en vigilance tenir quelques freins grâce à la technologie et à notre volonté ; concernant la lecture de ces nouvelles et notre attention à les commenter, seule notre bonne volonté sera sollicitée. Pour ma courte et humble expérience, je peux affirmer que j'ai très rarement regretté la petite inflexion qui m'a fait cliqué sur des nouvelles.