Tout d’abord merci aux correcteurs, au CE pour avoir publié ce sonnet peu poétique, j’en conviens.

@dom1
Ce poème retrace tout simplement le parcours d’un éleveur laitier à la veille de la retraite.

@PIZZICATO
Oui, la mécanisation a éloigné la pénibilité, mais elle ne fait pas tout, surtout en élevage. Et malgré le confort des machines actuelles, un tracteur ne sera jamais une voiture. La quasi-totalité des agriculteurs souffre du dos.

@Noran
Je suis ravi que vous partagiez mon point de vue.

@Robot
Je vous ai expliqué en MP le fond de cet écrit, j’aurais cru une réponse de votre part. Vous aurais-je blessé ? Là, n’était point mon intention.

@papipoète
Rassurez-vous, le paysan en question prend le temps de lire, par contre il n’est jamais allé à la pêche. Vous savez lire entre les lignes.

@Hananke
L’époque pas si lointaine n’est autre que celle de mon enfance. Justement je suis parti de cette époque pour retracer une carrière, car la mécanisation qui brille de tous ses feux devient un nouvel esclavage, non plus comme autrefois mais psychologique. J’ai un écrit à ce sujet mais je ne crois pas que je proposerais, il est trop engagé pour ce site.

@Alexandre
Merci pour tes vœux, tu sais bien que ce sonnet écrit en vitesse comme toujours chez moi est autobiographique. Eh ! oui, il va être temps de souffler. Je le pourrais déjà, mais pour raisons administratives, ce seront mes étrennes.

Bien à toi

@Vincendix
Détrompez-vous, l’élevage souffre plus des caprices du ciel que la céréaliculture. Les pertes sont semblables mais une sécheresse, c’est du fourrage qui faut aller chercher à prix d’or et le distribuer en peine chaleur alors qu’il doit couvrir les besoins hivernaux. Vous évoquez les retraités qui continuent le travail de la terre. Bien sûr, mais c’est souvent l’orgueil qui les pousse plus que l’amour, il faut s’assurer de l’avenir du patrimoine. Et j’en connais beaucoup qui ne savent pas s’occuper autrement.

@vendularge
Vous connaissez mon milieu comme je l’écris plus haut. Oui, excepté les céréaliers des grandes plaines à qui l’Europe a offert des fortunes que la plupart a investies dans l’immobilier, les retraites ne permettent pas de folies.

@Missneko
Vous dites que mes vers glissent. J’essaie toujours de construire des phrases sans trop de fioritures.

@Cristale
Avec un plume, vous avez un talent que j’admire, mais là je découvre vos pinceaux. Vous me rappelez que je les maniais plutôt bien quand j’étais au collège. J’ai tout oublié mais c’est une idée à creuser pour la retraite, mes enfants me la suggèrent.

@jfmoods
J’adore vous lire au bas d’un écrit. Rien ne vous échappe : en effet le titre n’est pas l’original, j’avais senti le double sens de « retraite » en vue de la chute. Idem pour le côté ironique de l’adjectif « libre », serai-je vraiment libre à la retraite car ce modeste écrit avec des mots tout simples est volontairement impersonnel? Je voulais voir les réactions concernant ma carrière. Je ne pense pas mon texte si rétrograde qu’il apparait aux yeux de certains lecteurs, j’ai vécu tout ce que j’ai proposé à l’écran.

Je sens chez vous une même passion dans votre domaine. Je crois que ça ralentit le décompte des ans.

@ plumette
Bravo ! Vous avez fait le rapprochement des sillons avec les rides, c’est l’image qui m’était venue.


Merci à toutes et tous pour vos lectures et commentaires.

Bien cordialement

Non vous ne m'avez pas blessé, j'ai pris connaissance de votre point de vue et simplement je n'ai rien à ajouter.