Bonjour,
Un grand merci à l'équipe d'Oniris, d'avoir donné sa chance à ce texte, et également pour son accompagnement.

* Miss Neko, un remerciement particulier à votre adresse. Pour votre très généreux commentaire, en espace lecture.
Merci de tout cœur.

* Rain, comment dire... Ce n'est pas comme si je ne l'avais pas relu, ce texte ne date pas d'hier . Chapelet ne rimait pas, et je tenais à "familier", donc le chandelier devait prendre sa place et ardent le précéder. J'ai lu votre commentaire, et me suis dit : qu'est-ce qu'il me raconte ? Puis j'ai éclaté de rire. C'est une jolie coquille :) Merci de votre intervention. Le sens, est celui que je lui ai donné alors je vais avoir du mal à repérer les soucis... Pour la mélodie, je vais le relire et essayer de voir ce qui ne sonne pas bien à l'oreille.
Merci beaucoup

* Cox, vous auriez pu passer votre route en vous disant : c'est quoi ce truc qui ne veut rien dire ? Mais vous avez pris le temps de me donner votre avis avec bienveillance et je vous assure que c'est très important. J'ai beaucoup de progrès à faire et notamment dans la restitution de mes idées, de mes images, afin qu'elles soient plus claires.
Ici je parle de mort, de croyances, de la chute des corps, de la pesée des âmes, et de réincarnation. Peu atteignent le Nirvana : " d'existence plus noble, aurais-je survécu ? ". Bien que je sois plus une adepte de la ré-atomisation en fait :)
Merci à vous

* Alphekka, c'est très gentil à vous et je vous remercie de vous être arrêtée sur ce texte. J'essaie d'associer les sons, mais de façon instinctive, car je n'ai pas encore vraiment abordé le chapitre sur le sujet, l'apprentissage est long quand on part de zéro :)
Éparse est venu comme une évidence et comparse convenait très bien au sens, dans la mesure où nous sommes faits dans la même veine.
C'est voulu pour le dernier quatrain, je devais trancher pour marquer le retour à la réalité, enfin à la vie. Mais j'avoue qu'il mériterait d'être travaillé, j'ai du fatiguer sur la fin.
Merci pour votre intervention

* Pizzicato, il s'agit effectivement de renouveau, d'une autre vie, après la mort. Une âme qui se lie à un corps, le temps d'une vie. Dérive sans escale : errance dans un flot continue jusqu’au moment du jugement.
Dans le dernier quatrain on peut se poser la question de qui est ce "je" et "suis" = être ou suivre... :)
Merci beaucoup

* Bonjour Vincente,
L'exergue, c'est le truc qu'on met avant et qui vient après ? :)
Oui, je suis joueuse, mais pendant les heures de pause ! Sinon je suis aussi très sérieuse :)
Vous avez saisi tout le fond du texte, vous lisez dans ma tête ?
Hier matin, en allant au travail, je me disais qu'il serait très rigolo de découvrir un jour que tel auteur, sous son pseudo est une personne que l'on côtoie et connait.
En parlant de ça, il faut que je file...
Un grand merci pour votre lecture et votre commentaire touchant.

* Je n’oublierai personne, je reviendrai remercier chacun.
Bonne journée à tous

* Bonjour LENI
Alors vous arrivez en retard (passe encore), en me renommant José (oh !), vous vous moquez de ma démarche (je souffre d'un genou) et voudriez que je le prenne avec humour ???
Pierre Dac dites-vous ? Connais pas... Il publie beaucoup sur Oniris ? :)
Merci LENI, c'est gentil à vous d'être venu, d'avoir lu et commenté.
A bientôt chez vous, je suis très en retard, j'ai du mal trouver des temps de pause ces derniers temps.

* Alcirion,
J'ai cherché et trouvé ceci :
https://fr.wikisource.org/wiki/La_Jeune_Parque
C'est un poème magnifique que j'ai dévoré, et je vous remercie beaucoup de me l'avoir fait découvrir.
Je suis touchée, vos mots sont, toutes proportions gardées, un très joli cadeau.
Merci beaucoup

* Morgan,
La contrainte de la forme, je ne l'ai pas vécue, tout est venu assez simplement, j'étais dedans de l'intérieur, juste à travailler une fois fini. Mais peut-être que ça ne se ressent pas. Je manque de confiance et parfois, le doute me fait revenir en arrière ça peut expliquer l'impression que vous évoquez, de retenue mêlée de lâcher-prise, mais dans le sens inverse du coup.
Merci beaucoup

* Gemini,
J'ai de la chance mais je dois beaucoup travailler, car je viens de loin et le chemin est long...
Je vous remercie infiniment pour votre bienveillance, votre ouverture d'esprit et les conseils avisés que vous m'offrez.

Essai de corrections :
Dérive sans escale au gré de l'eau séant
Aux bras de mer ballants bousculés par la houle ;
L'abîme œuvre au relent d'un amer bain de foule,
L’Âme en ressac échoue à l’Être bienséant...
---
A l'Homme que je suis remontant ses balises :
" Mortel hère où vas-tu ? - Vers des feux diluviens,
Et toi, que fais-tu là ? - Je crois que j'en reviens ;
- Et si pour une vie on posait nos valises ? "
---
PS : je déteste le "h" aspiré qui m'empêche cet " Étrange hère " :)
Merci encore

* Cristale,
Je pars à l'aventure quand j'écris, rangers, sac à dos et coupe-coupe :)
Merci de tout cœur, Vous êtes unique ;)

A bientôt chez vous, je ne suis pas très loin de la Bretagne et je vais avoir enfin un peu de temps pour voyager ici.
Belle journée

* Personne,
La mort, le détachement du corps, la vie chaotique, la renaissance et le pacte d'alliance. Oui, cela aurait pu être une petite mort. Vous avez posé sur ce texte un très joli regard.
Merci beaucoup pour votre sensibilité

* Fabio,
En fait, je pense que nous sommes portés par une onde quand nous écrivons, si le lecteur ne capte pas la fréquence, il ne reçoit pas l’émission. Pourquoi pas une autre fois, dans un autre style.
Merci, d'avoir laissé ses mots.

J'espère n'avoir oublié personne. Je suis touchée par tous vos commentaires, j'ai pu retravailler mon texte et le faire évoluer dans le bons sens, enfin j'espère :)
Un grand merci !