Merci aux membres du CE, j’espérais la parution de ce poème en mémoire de mon oncle Raymond.
C’était un homme solide physiquement et moralement, vif d’esprit, actif et altruiste, la disparition de son épouse Alice l’avait anéanti, il était devenu méconnaissable et nous avons souffert de le voir dans cet état. Il faut dire qu’ils se connaissaient depuis l’enfance, qu’ils travaillaient ensemble.
Un grand merci à toutes et à tous, vous avez compris ma démarche, vos commentaires sont ceux que je souhaitais sur ce récit.
Il est vrai, comme tu l’écris Alexandre, que chaque veuvage est un cas particulier, je pense surtout que l’âge est déterminant, à 60 ou même 70 ans, il faut continuer la route que le destin a tracé, à 85 ans, c’est différent.
En effet Hananke, lors de cette période de « sursis » vécue par mon oncle, je ne pouvais m’empêcher de penser à mon avenir et j’espère ne pas vivre un tel calvaire.
Leni, le mot « insipide » correspond assez à la situation, sans saveur au sens propre, mais aussi par extension, accablant, pénible.
Personne, mon style d’écriture est celui que j’emploie depuis plus de vingt ans dans la rédaction d’articles pour un quotidien régional, une écriture que l’ensemble du lectorat doit comprendre aisément.
Jfmoods, je suis toujours bluffé de lire vos analyses détaillées, véritables disséquassions de la forme et du fond, bravo pour vos interventions pertinentes.
Cristale, j’ai pensé aussi au célèbre sonnet de Gérard de Nerval, un texte que j’ai pastiché à plusieurs reprises.
Andrejalex, vivre cette situation comme « spectateur » et se sentir incapable d’y remédier, c’est pénible.
Curwwod, j’avoue que je ne comprends pas votre reproche, mais chacune et chacun son ressenti.

Message erroné. Désolé !

Bonjour Grange,
J'aurais du préciser que le titre du texte est LE VEUF!
Bon dimanche
Vincent

Oui en effet ! J'ai fait une confusion du fait d'un autre texte qui parlait d'un monsieur prénommé Raymond et que j'avais commenté il y a peu.

Merci de la précision


Grange