Bonjour,

Le moins que je puisse retirer des commentaires, c'est que ce texte a reçu un accueil moins que mitigé. Aussi bien pour sa forme, sa rédaction et son objet.

C’est vrai que j’aurais pu prendre un solen qui serait allé au-delà de la montée de la marée. Mais pour la métaphore, comparer un solen ou une astérie ou une crevette (ou tout autre animal marin) à une âme délogée ne me convenait pas.

Cependant pour beaucoup, donner du sentiment à une pierre ne semble pas avoir convaincu. Je comprends tout à fait les observations cartésiennes qui stipule que la métaphore poétique ne devrait pas s'affranchir d'un certain réalisme contrairement à mon sentiment que l'inanimé pouvait être pourvu de la poussière d'étoile.

Je retiens aussi l'avis pertinent selon lequel le dernier quatrain et surtout son dernier vers décrochent de l'ensemble du texte.

Merci donc à tous les commentateurs et lecteurs. Je vous prie de m'excuser si je n'envoie pas de remerciements individuels mais je suis un peu éloigné d'Oniris en ce moment et je passe épisodiquement et rapidement pendant quelques temps.

Je prends malgré tout le temps de lire les textes publiés, même si je ne commente pas tout.

A une prochaine fois peut-être sur vos écrits.

Citation :

Slt,

Ben pas si "moins que mitigé" que ça je trouve.

Sur 18 commentaires, y en a bien une bonne dizaine de plutôt positifs non?

Tout le monde n'est pas d'accord, certes.

Perso j'aime bien l'idée comme je le dis dans mon com, c'est assez original et en poésie c'est tout de même pas mal d'essayer d'être un peu original aussi.

Et pour ma part je ne vois pas bien au nom de quoi la métaphore poétique ne pourrait pas s'affranchir du réalisme, comme de ne pas s'en affranchir d'ailleurs.

Bonne continuation et au plaisir.