Bonjour,
un grand merci à tous ceux qui ont pris du temps pour lire "La Deudeuche" et bien sûr à tous les commentateurs qui m'ont laissé leurs impressions et retours, quels qu'ils soient. Merci également à ceux qui ont permis qu'elle arrive jusqu'à vous.
J'ai relu tous vos commentaires ce matin et c'est bien d'avoir attendu un peu avant ce message, car au bout de quelques jours, ils ont muris (vous lirez j'ai muri) et ont pris d'autant plus de valeur/saveur...
C'est mon premier texte publié et vous m'avez aidé à me poser les bonnes questions, et surtout à m'imaginer à la place de celui qui le reçoit.
Ce qui me fait plaisir, c'est que dans l'ensemble vous le trouviez plutôt bien écrit. C'est sûrement le point qui me préoccupe le plus lorsque j'écris et donc vos retours m'encouragent.
Dans mon introduction d'avant texte, j'explique l'historique de cette nouvelle. Elle a été écrite pour une thématique : Une vie de machine, et donc mon idée était bien de la voir "naitre" (cette machine) entre les mains de "Momo" jusqu'à la dernière étape, dans son lit de ronces. Ensuite, qui sait, et je dis cela pour Alexandre, Mathilde n'a peut-être pas dit son dernier mot, c'est une aventurière et elle aura peut-être envie, dans quelques années, de continuer l'aventure.
Il me semblait que de simplement l'évoquer dans quelques moments choisis de cette famille, au travers des générations, devait suffire. Un peu comme l'a bien dit Tadiou dans son commentaire (Merci beaucoup). Un histoire simple, des plaisirs simples, des clins d'oeil, des sourires, la vie quoi ! Largement suffisant déjà...
Pour finir, ce texte était plus long au départ, surtout plus lourd et j'ai tranché dedans pour n'en garder que l'essentiel, la trame qui me semblait suffire. Pour moi cela se ressent surtout au début, dans les 2 premiers paragraphes, un peu bâclés me semble-t-il, après coup.
Pour finir encore, j'aurais peut-être du appeler ma nouvelle "une vie de machine" pour assumer jusqu'au bout l'idée de départ.
En tout cas, que du plaisir
Merci encore - Grifon