Bonsoir,

Certains commentaires dévoilent la sensibilité d'une huître au mois d'août. D'autres réchauffent la plume et le cœur. Enfin certains font réfléchir. C'est beau la diversité sur Oniris.

En attendant d'autres commentaires (on croise les doigts...) et d'y répondre plus en détails, j'aimerais bien que Grange soit plus explicite. Quitte à être précis, Grange, autant y aller à fond, non?

Cit. de Grange:
"Enfin, bien qu'une "civile" puisse appeler un gradé "colonel" ou "général" dans la vie courante, de la part d'une femme engagée dans la vie militaire il convient de dire "mon colonel" et non "colonel" comme vous le lui faites dire."

Je ne suis on ne peut plus d'accord avec vous. Pourriez-vous me dire, cher Grange, exactement où, dans la nouvelle, Pantin s'adresse au colonel de la sorte... Y'a-t-il un monde parallèle dans lequel cette nouvelle serait très légèrement modifiée?


Bref, les plumes resteront une fois de plus au bercail. Mais si vous avez un instant, un commentaire, un mot, un beurk, un bof, un wouaw, me feraient grandement plaisir.

Sinon, bonne nuit à tous et en particulier aux militaires homosexuels.

Pierrick

Elle serra Degas dans ses bras et lui murmura « je suis désolée, colonel ».

Pas de monde parallèle, c'est dans le texte.


Grange
Huître sensible.

A ce moment, elle se permet un geste absolument inconvenant parce qu'elle sent qu'elle n'a plus face à elle qu'un homme aux abois, et non plus un militaire haut gradé. Alors oui, elle lâche "je suis désolée, colonel". Oui, c'est le seul endroit où le "mon colonel" a été enlevé pour un tellement chaleureux "colonel"... Merci de m'avoir répondu en tout cas, c'est bien aimable.

Pierrick, toujours plus affable durant les mois en 'bre'

Citation :

Grange

J'ai peut-être (sans doute) tout faux, mais peut-être (je dis bien peut-être) que cette soudaine (et unique) familiarité est volontaire puisqu'elle fait suivre à un geste lui-même exceptionnel (une étreinte)

Je dis ça...

W

Bonsoir PierrickBatello...

Je vous prie de m'excuser si je vous ai froissé car telle n'était pas mon intention mais, quitte à me répéter, je n'ai pas retrouvé dans votre nouvelle l'ambiance propre aux Armées.
Pour ce qui concerne l'intrigue j'avoue que je la trouve un peu mince et assez peu crédible...
Cela dit, je vous rassure, vous n'aurez plus l'occasion de lire un quelconque commentaire écrit de ma blanche main sous vos productions à venir. Chat échaudé craint l'eau froide !

Pour ce qui est des huitres, je ne sais pas quelle est leur sensibilité au mois d'Août mais je peux vous assurer qu'actuellement elles sont délicieuses...

Bonne soirée

Widjet,

Je salue et suis assez admiratif d'un tel niveau d'attention aux détails! Merci. Vraiment. Super bien vu, lu!

Je suis pour le moment assez étonné des commentaires car pour moi, ce texte est beaucoup plus fin et subtil que tout ce que j'ai pu écrire jusqu'ici. Mais la nuit porte conseil et j'y verrai sans doute plus clair demain.

Je dois déjà potasser sur ta remarque sur le développement de Pantin. J'ai hésité à vrai dire. Je voulais qu'elle reste juste un miroir pour Degas. Mais en même temps, je l'ai presque déjà trop développée pour cela.

P

Bonsoir Alexandre,

Peut-être devrais-je vous remercier d'avoir lu cette nouvelle à l'aune de votre grande expérience militaire. Mais, il me semble, cette nouvelle n'a pas vraiment l'intention de parler de l'armée, mais plus de l'évolution psychologique, de l'enfermement d'un homme dans un état mental où il se tétanise. Ni son père, ni l'armée ne lui reprochent son homosexualité. C'est lui tout seul qui s'en empêche. Car dès son adolescence il a décidé d'être, ce qu'il appelle, un "pur". Jusqu'à l'absurde.

Bonne dégustation. Avec ou sans Picpoul.

Pierrick

Citation :

Ouais. Ben comme j'ai pas envie de me faire traiter d'huître, je vais passer mon tour...

J'ai l'impression que les "beurk" et les "bof" c'est pas trop votre truc si? Enfin sur vos textes s'entend car quand vous commentez, vous êtes moins "sensible"...

Amusant. Mais pas un cas isolé toutefois.

Comprenez ce que vous voulez Pouet. Comme d'hab.

Cher auteur,

Depuis que je suis sur ce site j’ai expérimenté à deux reprises cette situation dans laquelle un auteur sollicite puis réfute systématiquement toute critique.
Le ton monte, de l’échange aigre-doux on passe à l’insulte à peine voilée, les « amis » se mêlent de défendre l’un ou l’autre des intervenants et le tout se termine par une mise en garde avant clôture du fil par les modos qui en ont marre des dérives.

Je suppose que vous allez nous asséner des explications de texte à chaque critique, du moins c’est ainsi que se profile les choses pour ce que j’en lis, donc je pense que tout comme Alexandre je vais éviter à l’avenir de critiquer vos textes et laisser cette tâche à des esprits mieux tournés que le mien.

Ceci s’adresse également par anticipation à tout auteur ne supportant pas la moindre critique.

A bon entendeur…salut !


Grange
Huître fermée.