Bonjour oniriennes et oniriens de tout poil!

Un remerciement habituel mais sincère et nécessaire au CE et aux correcteurs pour le travail effectué et la publication de mon texte.

Voilà, rien à dire de particulier sur le texte, peut-être deux petites choses tout de même. Platon, peut-être un nom un peu particulier pour un chien, provient simplement de mon enfance. J'ai toujours dit que quand un jour j'aurai un chien je l’appellerai Platon, c'est tout, pas plus. Bon je n'ai toujours pas de chien pour le moment... Pour le "Platon m'écrit partout", j'ai simplement un peu transformé "Platon me suit partout" avec aussi l'idée que ce chien emportait une part du narrateur un peu partout avec lui.

Je remercie par ailleurs de façon collégiale les commentateurs de mon texte à savoir papipoete, Raoul, Bel13ver, LeopoldPartisan, Marie-Ange, Ananas, PIZZICATO, Widjet, Brume, archibald, Arielle, Cristale, Louison, jfmoods, framato, Cat

Au plaisir!

Merci leni pour ton passage et ce commentaire élogieux.

Merci Sebrutus pour votre passage.

Bjr et merci Queribus pour votre commentaire. Je prends bien évidemment en considération vos remarques et celles des précédents commentateurs.

Merci à vous Recanatese pour m'avoir laissé vos impressions. Heureux d'avoir pu vous toucher, au plaisir.

Bsr SQUEEN et merci beaucoup pour ce commentaire. Cordialement.

Bsr Terri_Peirton, bienvenue à vous sur le site et merci pour votre commentaire. Bah oui je vais continuer, avec plus ou moins de bonheur mais bon, tant que cela me fait plaisir, pourquoi s'en priver? Cordialement.

Bjr et merci beaucoup à Donaldo et à Wancrys pour leurs passages.

Merci Michel64 d'avoir lu et commenté mon texte.

Salut Pouet,

Je n’ai pas commenté ton texte, mais je pose une question : suivant tes explications, j’ai compris que Platon est un chien imaginaire, et d’autre part que tu n’as pas de chien et n’en a jamais eu.
Est-ce exact ?

Si je la pose, cette question, c’est qu’elle en recouvre une autre, plus générale : en effet, sur des sujets que je connais de l’intérieur, si je puis dire, d’une part les écrits m’intéressent (autrement que pour des sujets plus impersonnels), et d’autre part j’ai un peu de mal ((et sans doute à tort (littérairement parlant)) d’adhérer à la démarche, je veux dire d'une certaine distanciation.

Bien, entendu j'ai déjà écrit, un peu, sur des sujets 'non vécus'...ou essayé, ce qui ne m'empêche pas de me poser la question de la 'validité' de la démarche : d'écrire hors l'expérience du sujet en quelque sorte.

Comme si certains intellectuels purs et durs, parlaient du travail à la chaîne...et y'en a d'ailleurs que j'apprécie...je me pose quand même la question de la valeur, ou de ce qui manquerait dans leurs discours ? Ou bien, il ne manque rien...et l'essentiel est ailleurs ?