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1 Utilisateur(s) anonymes
la robe de toc au pressing |
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Maître Onirien
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Bonjour à toutes et tous,
Voilà longtemps que je n’avais rien publié et la perspective de faire un débrief a presque un goût de nouveauté ! Un vent de fraîcheur souffle sur mes rides (c’est une image bien entendu, je viens de naître), c’est très agréable. Blague à part, 15 commentaires, je trouve ça très bien pour un texte qui, je le reconnais volontiers, n’a pas une grande portée littéraire et n’en avait d’ailleurs pas l’ambition. Je vous en remercie donc très sincèrement. Moi qui lis beaucoup de textes sans laisser généralement d’avis, je suis toujours un peu épaté que vous preniez la peine de vous arrêter sur une lecture et de faire part de vos impressions. Donc merci encore pour ça. Si je fais un bilan rapide, je constate que l’accueil est mitigé. Si, dans l’ensemble, la sobriété, voire la simplicité, de l’écriture ont plutôt convaincu, beaucoup ont regretté dans le même temps une certaine distance ou un manque d’empathie vis-à-vis du personnage principal. Bien sûr, quelques-uns ont reproché le caractère tire-larmes du texte, mais ce genre de reproches accompagne presque inévitablement les sujets de cet ordre donc je ne jouerai pas l’étonnement sur ce point. Je vous dirai un peu plus tard quelle était mon intention première en rédigeant ce court récit mais je vais revenir sur ce qui a provoqué mon propre étonnement à la lecture de certains de vos avis. La réaction ou plutôt le manque de réaction de la gamine a déplu. Quelle attitude peut-on espérer d’une gamine de 12 ans toute heureuse de se trouver jolie, qui va faire un tour avec des garçons qu’elle croit être des amis ou au moins bienveillants envers elle et découvre accablée leur vraie nature ? Oui mais c’est bon quoi, elle devait s’en douter, à mettre cette robe et à accepter de les suivre, elle n’a opposé aucune résistance, elle l’aurait pas un peu cherché quand même, vous êtes bien sûr que c’est pas ce qu’elle voulait ? Waouh… finalement, je me dis qu’entre la robe des années 30 et la mini-jupe, les mentalités n’ont pas tant évolué que ça. J’avoue que je suis resté bête en lisant ces remarques parce que je ne m’y attendais pas du tout. Je n’ai personne parmi mes connaissances qui ait été victime de viol, je ne vais pas prétendre parler pour les victimes, ce serait indécent mais au regard de ces remarques dont je suis en plus tout à fait sûr que leurs auteurs n’avaient pas de mauvaises intentions (c’est peut-être ça le plus terrible, justement), je mesure la force qu’il faut aux victimes d’un viol pour assumer le regard de la société, pour peu qu’en plus elles n’aient pas eu la réaction attendue au bon moment. De même, je reste perplexe quand on regrette que la nouvelle relate des faits où le comportement de la femme va à l’encontre du combat de tant d’autres qui ont refusé la soumission et se sont battues contre leur sort alors que celle-ci, tout comme sa mère, s’est laissée conduire à l’abattoir sans réagir. En gros, si je résume l’argument, est-il vraiment intéressant de raconter le destin d’une femme qui ne porte pas en elle le combat de toutes les autres et, d’une certaine manière, l’entâche de par sa passivité ? Eh ben dis donc… la win est partout de nos jours, il ne fait décidément pas bon être une victime. Je vous explique maintenant pourquoi j’ai écrit ce texte. Voici quelques mois, je suis tombé par hasard sur un documentaire, un soir tard. Le reportage était consacré à une femme connue aux USA, pas du tout chez nous et se partageait entre des archives sur sa vie professionnelle et des séquences interviews dans plusieurs endroits marquants de sa vie. Sa vie privée n’était qu’un corollaire du documentaire et elle n’a évoqué les faits que je relate que de manière très rapide, en deux ou trois phrases succinctes qui regroupaient l’essentiel, à savoir la confection de la robe, la balade en voiture, le viol collectif par quatre garçons et l’abus du beau-père. Mais ce qui m’a frappé, c’est le ton très neutre, sans le moindre affect mais très fataliste aussi, dont elle a usé. J’avoue que ça m’a fasciné, moins la succession des faits pourtant sordides que la façon très détachée dont elle en parlait. Elle avait près de 90 ans au moment du reportage, donc j’imagine que la distanciation venait en partie de là mais toujours est-il que j’ai gardé dans un coin de ma tête le souvenir de ce documentaire et quand j’ai décidé d’en faire un texte, c’est ce ton-là, très sobre, très linéaire, que j’ai cherché à restituer parce que c’est ce qui m’avait marqué. Donc, l’essentiel de ce que je raconte est vrai. Ce qui, j’en suis conscient, ne me dédouane pas de n’avoir pas forcément su le rendre crédible. Au vu des réactions, je me dis que ce qui a manqué, c’est peut-être le contexte, ce que je savais de la vie future du personnage et qui pouvait expliquer ce ton, mais si j’avais dû développer, cela m’aurait entraîné dans un récit beaucoup plus long (elle a eu une vie absolument incroyable). Je n’en avais pas l’envie et j’avais l’impression que ça aurait dilué ce sentiment très particulier que j’avais éprouvé en écoutant cette femme. À l’évidence, je n’ai pas su vous faire partager ce ressenti, tant pis ! Pour finir, j’ai décidé de m’amuser un peu – tout ça n’est quand même pas bien sérieux et j’espère que vous ne m’en voudrez pas – en établissant un petit palmarès des commentaires qui m’ont le plus distrait ou amusé. J’espère que leurs auteurs ne seront pas vexés, ça n’est pas le but, c’est juste histoire de finir sur une note plus amusante, n’y voyez aucune méchanceté. en 3ème position : le commentaire de PierrickBatello. Moi aussi, j’aime beaucoup ponctuer mes commentaires de petites références sympathiques et évocatrices. Mais j’essaie de bien les choisir sinon ça tombe à l’eau. Là, vous évoquez « la petite maison dans la prairie ». Déjà, on ne se situe pas à la même époque mais je vous accorde qu’on l’emploie généralement pour désigner quelque chose qu’on trouve, passez-moi l’expression, « cul-cul la praline ». Sauf que là, franchement, un viol collectif et un abus sexuel familial, ça ne me semble pas vraiment rentrer dans le cadre, si ? En 2ème position : le commentaire de socque Là, j’avoue que j’adore votre com parce que je me suis reconnu ! si, si, quand dès les premières lignes, le texte me déplaît, que je crois sentir l’intention de l’auteur et que je me dis, toi mon gars, tu peux toujours t’accrocher, tu m’auras pas, je vais en faire de la purée, de ton p… de texte ! Et souvent dans ces cas-là, comme vous l’avouez vous-même, ben, on tape sur tout ce qui bouge, quitte à tomber un peu à côté. Donc, si je reprends : - L’attribution des bourses. Je n’ai aucune idée de comment ça se passait aux USA dans les années 30, et plus particulièrement dans l’Illinois. Vous le savez, vous ? Si oui, bravo. Je me suis juste fié à ce que je savais du système au Royaume-Uni au début de 20e siècle, à savoir qu’il était possible aux élèves méritants d’obtenir une bourse dès l’entrée au collège. Je me suis dit (de façon très arbitraire je vous l’accorde) qu’il était plausible que ça se fasse aussi aux USA. - L’âge des jumeaux. Alors là, trop drôle. Puisqu’on ne dit pas qu’ils sont plus vieux, c’est qu’ils ont forcément le même âge. Ben oui, en plus ils se connaissent des moissons et ça tout le monde le sait, aux USA, les moissons se font exclusivement entre personnes du même âge ! - L’impossibilité pour une gamine d’échapper à la surveillance de sa mère. Tiens donc, c’est vrai qu’on sait bien que les adolescents font toujours ce que disent leurs parents, que l’idée de désobéir ne leur viendrait jamais… Alors moi, Pierrick m’a dit que dans « la petite maison dans la prairie », la petite Laura, elle faisait à peu près tout ce qu’elle voulait en échappant à la surveillance de ses parents (comment ça, c’est n’importe quoi ?) - La barque trop chargée : ben en fait, je l’ai allégée un peu. Sur les 4 violeurs, j’en ai éliminé un. À vrai dire, je savais pas où le mettre dans le pick-up ! - La sobriété de l’écriture : alors oui, c’est vrai, elle est sobre cette écriture, mais on vous la fait pas à vous, vous savez trop bien ce qu’elle cache cette sobriété, la volonté de l’auteur d’arriver coûte que coûte à ses fins : vous faire pleurer ! Mais ça, foi de lectrice, ça n’arrivera jamais, ja-mais ! Je vous taquine un peu, socque, parce que c’est ma nature comme dirait l’autre, mais j’apprécie vraiment le caractère toujours très cash de vos commentaires, dans vos enthousiasmes comme dans vos désintérêts, un premier degré sans ironie sous-jacente que j’aime beaucoup. En pôle position : le commentaire de stony Alors là, j’ai carrément éclaté de rire en découvrant votre commentaire. Ne le prenez pas mal, hein, mais avouez que c’est drôle. La meuf se fait violer par 3 mecs, puis abuser par son beau-père et vous, tout ce que vous retenez, c’est que l’image des hommes est abîmée ? Non, là franchement, respect, des commentaires comme ça, j’en redemande ! Voilà, je crois que j’ai mis plus de temps à écrire ce débrief que le texte lui-même ! Merci à ceux qui ont tout lu, aux autres aussi (comme dirait un pote de centrale, ça ne mange pas de pain). Un mot particulier à ceux qui en coulisses ont repassé ma robe et l’ont rendue aussi jolie que possible. Bonne continuation à tous !
Contribution du : 03/09/2017 12:46
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Re : la robe de toc au pressing |
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Chevalier d'Oniris
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Bonjour Toc-art,
Je vous approuve à 100 % dans le fait de défendre votre texte comme vous le faites. Ca ne change rien à mon appréciation mais je trouve cela sympathique. Au sujet de la Petite maison... détrompez-vous: il y a bien eu une sordide histoire de viol dans cette série que, je le confesse, j'ai beaucoup regardée dans ma prime jeunesse. Cela m'avait assez marqué pour que je m'en souvienne encore aujourd'hui. Du coup, j'ai été vérifié, histoire de voir si ma mémoire me jouait des tours. Et voici ce que j'ai trouvé (on trouve vraiment tout sur internet, j'en reste coi!): Episode 17 de la saison 7: Le jeune Albert Ingalls tombe amoureux de Sylvia, une jeune fille de quatorze ans. Lorsque l'adolescente est violée peu de temps après, l'incident déclenche certains commentaires parmi les habitants de Walnut Grove. On prétend qu' Albert serait le violeur. Je ne sais pas pourquoi votre nouvelle m'y a fait penser mais c'est une association d'idées qui m'est venue. Peut-être la robe blanche? le côté à la campagne? allez savoir, l'esprit est tortueux. Pour les nostalgiques, ça se passe ici http://littlehouse.kif.fr/-7x17-a669168 Et puis quelle idée de mettre une robe blanche, tout le monde sait que c'est salissant. Pierrick
Contribution du : 03/09/2017 13:04
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Re : la robe de toc au pressing |
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Maître Onirien
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Bonjour Pierrick,
Ah ben là, je m'incline. Si même la petite maison dans la prairie traite du viol, où va-t-on ?
Contribution du : 03/09/2017 13:13
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Re : la robe de toc au pressing |
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Chevalier d'Oniris
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Droit dans le mur du sordide.
Je me rabats sur Maya l'abeille les jours de cafard.
Contribution du : 03/09/2017 13:43
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Re : la robe de toc au pressing |
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Maître W
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Je ne trouve pas que toc-art ait écrit un texte mièvre ou cul-cul la praline.
Pour ma part, et comme je l'ai écrit, le souci éventuel se situerait peut-être sur le fait que ça se démarque pas trop, que ça manque peut-être de percussion, de force, mais là encore j'hésite. Il m'a manqué un truc (sans que je sache définir quoi précisément) qui me mette une gifle (encore une fois, il suffit pas de grand chose, un mot, une phrase, mais qui marque la rétine et surtout me donne de l'émotion). W
Contribution du : 03/09/2017 13:44
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Re : la robe de toc au pressing |
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Chevalier d'Oniris
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Moi non plus Widjet. Ce n'est pas la teneur de mon commentaire. Mais je trouve que toc à brillamment expliqué ce qui pour moi pèche dans ce texte: le ton, le manque de contexte, le côté tellement ramassé que la crédibilité en pâtit.
C'est très difficile de transmettre une histoire vraie sans la travestir. Je pense qu'il est plus facile de partir d'un fait réel et de le transformer parfois jusqu'à l'excès.
Contribution du : 03/09/2017 14:21
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Re : la robe de toc au pressing |
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Visiteur
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Bonjour, Toc-Art,
J’ai beaucoup de choses à vous dire, mais je le ferai en plusieurs fois car cela me prendra du temps dont je ne dispose pas aujourd’hui. Tout d’abord, je suis heureux que mon commentaire vous ait distrait et suis flatté de me trouver tout en haut de votre podium. Plus sérieusement, je considère que le jugement du fond n’a pas sa place en commentaire de textes, mais uniquement ici, en forum, si l’auteur ouvre un fil à son sujet. D’une part, parce que le commentateur peut se fourvoyer quant aux intentions de l’auteur et, d’autre part, parce que l’auteur ne peut pas s’y défendre. Je suis donc ici au bon endroit. J’ai trouvé votre texte bien écrit, l’ai noté en conséquence (« Bien », je crois, avant de supprimer la note comme je le fais pour tous les textes). La sobriété de l’écriture convient bien au propos et j’ai trouvé le développement satisfaisant. Je suis convaincu que la sobriété est ce qui convient le mieux pour ce sujet, et peut-être n’y a-t-il qu’elle qui convienne. J’ai aimé cette sobriété. Dans mon commentaire, j’ai fait une parenthèse pour évoquer le fond, mais en signalant que cette parenthèse en est bien une et qu’elle n’influe pas sur ma note ni, plus globalement, sur le jugement de votre texte. Au passage, je signale que j’ai été choqué, comme vous, par ce que j’ai trouvé dans d’autres commentaires, en particulier sur le fait que la victime pourrait presque être considérée comme coupable pour avoir eu de prétendues attitudes encourageant le sort qui lui est fait, ce qui fait uniquement d’une victime une victime à double titre. Nous avons déjà eu une discussion (si tant est que l’on puisse appeler cela une discussion) il y a plusieurs années, à l’occasion de la sortie de l’un de mes textes qui fut massacré, sur un sujet qui n’est pas le même, mais qui est tout de même voisin. Widjet me charrie régulièrement sur le fait que j’ai quitté Oniris pour y revenir sous une autre identité. J’aurai l’occasion, par le biais de votre fil, d’expliquer la vraie raison de mon départ. Lorsque je m’étais retrouvé dans cette pseudo discussion avec vous, et surtout avec Charivari, qui fut pour lui l’occasion d’un jeu de massacre il y a quelques années, je n’avais eu d’autre choix que de m’embarquer dans une révélation intime ou bien de partir. J’avais choisi de partir. Aujourd’hui, je fais le choix de parler. Et tant pis pour l’impudeur ! Si elle devait gêner quelqu’un, ce ne serait pas moi. La vulnérabilité que je connaissais encore sans doute sur ce sujet il y a quelques années n’existe plus, et l’écriture n’y est très certainement pas pour rien. La genèse de votre texte repose sur un documentaire que vous avez vu et que vous avez choisi de transposer en texte. C’est un exercice d’écriture intéressant et je trouve que vous l’avez bien mené. Moi, je ne vous parlerai pas d’un reportage, mais de ce que j’ai vécu dans ma chair, qui a meurtri toute mon enfance, toute mon adolescence et qui me poursuivra peut-être jusqu’à la fin de ma vie. Ce sujet est d’ailleurs à l’origine de ma petite aventure littéraire qui trouvera des développements inattendus. A suivre…
Contribution du : 03/09/2017 14:32
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Re : la robe de toc au pressing |
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Maître Onirien
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Bonjour stony,
ma petite plaisanterie ne visait qu'à souligner le fait que votre parenthèse sur la misandrie supposée du texte est à mon sens totalement hors de propos. Ce qui n'est pas grave en soi, juste amusant. C'est un peu comme si vous vous plaigniez devant moi d'une pomme dans laquelle vous auriez croqué sans savoir qu'elle était pourrie et que je vous réponde ah d'accord, en fait vous n'aimez pas les pommes, vous êtes un pommophobe. Avouez que le raccourci vous semblerait saugrenu, non ? Et le fait que dans ma petite enfance, ma mère m'aurait seriné jusqu'à l'écoeurement que les pommes étaient le fruit du péché ne rendrait pas ma conclusion plus pertinente.
Contribution du : 03/09/2017 16:36
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Re : la robe de toc au pressing |
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Visiteur
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Bonjour toc-art
J'ai lu votre texte - que j'ai trouvé vraiment bon - d'une traite ; pour des raisons quelconques je n'ai pas eu le temps de déposer un avis et en revenant sur Oniris, je trouve ce fil de conversation autour de votre nouvelle. Enfin, lorsque je dis autour de votre nouvelle il serait plus convenable de dire autour des commentaires que vous prenez plaisir à classer en un top-trois que je trouve personnellement de très mauvais goût. Le genre de plaisanterie qui vous classe d'emblée dans la catégorie de ceux pour qui on se demande si on doit hasarder un avis des fois que [des fois que ça nous retombe sur le coin du nez] C'est vraiment dommage de ternir le succès de cette publication avec cette attitude en surplomb décourageante, parce que je trouve que le fil de votre écriture est plutôt agréable et je ne comprends pas bien ce que cette manière de faire vis-à-vis de critiques dont on peut dire [au moins pour celle de stony] qu'elles sont loin d'être déplaisantes vous apporte comme satisfaction. En guise de conclusion provisoire, vous aurez compris que mon ambition n'étant pas de figurer à quelque place que ce soit dans votre classement, j'éviterai soigneusement pour cet écrit et vos écrits futurs d'y porter la moindre appréciation. Bravo tout de même pour votre plume alerte ( je parle de la plume de la nouvelle bien entendu ) Grange
Contribution du : 03/09/2017 17:14
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Re : la robe de toc au pressing |
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Maître Onirien
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Bonjour Grange,
vous avez parfaitement le droit de ne pas goûter mon sens de l'humour. Vos craintes de figurer dans un quelconque classement ne vous ont pas empêché, et c'est heureux, de donner votre avis sur la nouvelle comme sur ce post. Le mal n'était donc pas bien grand, qui vous a permis de plus d'exprimer publiquement votre désaccord, ce qui est toujours valorisant, non ? Merci pour votre passage. édit : oups, je viens d'apercevoir un commentaire de Perle sur mon texte. Bon là, j'avoue, elle remporte haut la main le top trois du com de complaisance, ça m'a coûté 3 avis positifs en centrale et un pot de confiture de figues (corses les figues, bien entendu).
Contribution du : 03/09/2017 17:37
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