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Promenons-nous à la frange du volcan
Visiteur 
Un merci sincère et reconnaissant à tous ceux qui ont bien voulu se pencher sur mon texte. Soit en coulisses, avec l’abnégation que l’on vous connaît, soit comme passagers, commentateurs ou lecteurs, devant mes mots mis en lumière.

Même si toujours très honorée, prise à ce jour par d’autres émotions plus profondes, je n’ai pas ressenti l’habituel pincement au cœur en recevant le message d’Oniris, disant que ma nouvelle a été rajoutée à son Catalogue.

Le plaisir est venu maintenant, en lisant les quatre commentaires faits à l’aveugle, pour avoir été si bien comprise, et une fois rassurée sur la qualité de mon écriture, sur laquelle je doute si souvent.

Effectivement, Asrya et SQUENN, il n’y a pas d’histoire à proprement parler. Il s’agit juste d’une tranche de vie, plate, vue de l’extérieur, comme elle semble avoir été vécue en apparence. J’avais bien conscience de cela en l’écrivant et aussi que chaque Nouvelle vise son lectorat. Je ne suis donc pas étonnée, ni désolée, qu’elle trouve sur sa route des lecteurs peu tournés vers elle. Toutefois, vos appréciations sur mon écriture sont réconfortantes et très utiles. Que vous ayez pris le temps de commenter me touche d'autant plus.

Comme pour toi, Plumette et encore plus pour toi, Alexan qui a compris exactement la trame, le bouillonnement intérieur a été suffisant pour étoffer l’intérêt.

J’avoue, Plumette, immergée vive dans le souvenir, je n’ai nullement songé à écrire comme la fillette de douze ans. Juste à retranscrire la force des émotions ressenties. Je n’ai pas su le faire autrement.

Quant à la la profusion de mots et d’adjectifs qui t’a dérangé dans une partie du texte, Alexan, elle a été sciemment acceptée. Un peu pour que la fougue de ce paragraphe contrebalance la platitude et la retenue que je me suis appliquée à donner jusque là.

N’empêche, que tu aies compris la frustration de la fillette dans son milieu, la quête de l’étincelle, le cadre gothique, la symbolique de la fin, l’ambigüité du titre et de la première phrase… c’est particulièrement jubilatoire ! Cela contribue à mon bonheur d’écrivailleuse-rêveuse. C'est un bonheur intense de se retrouver sur une même longueur d'ondes.

Peut-être, pour ceux que cela intéresse, trouverez-vous dans la genèse de cette Nouvelle, quelques éclaircissements.

Savoir d’abord qu’elle était la deuxième partie d’une histoire. J’ai laissé tomber la première partie, du moins j’ai séparé les deux, suite à des conseils amicaux qui me suggéraient ce choix. Puis je les ai oubliées dans un coin.

Seulement voilà, les souvenirs tenaces faisaient resurgir régulièrement cette anecdote, jusqu’à une récente discussion et mon interlocuteur qui m’a dit que cela ferait une bonne idée de Nouvelle.

J’ai donc repris l’écriture de la deuxième partie. Elle s’est naturellement teintée de toute la retenue qui m’habite aujourd’hui à ce propos, comme une volonté d’amoindrir une réalité qui fut autrement plus explosive (si je puis dire ainsi :)). Craignant sans doute le débordement des émotions, j’ai pensé que de les juguler un maximum par le style d’écriture qui s'imposait tout seul, suffirait à me protéger de leurs projections. D’où le ton statique et impersonnel que tu relèves, Jean-Claude.

Contrairement à ce que tu me dis, l’écrire au présent a coulé de source, sans que je sache expliquer pourquoi. Quant à l’allusion au volcan, encore aujourd'hui, mais surtout mon adolescence est une période de ma vie qui me donnait souvent l'impression de me trouver en équilibre à la frange d'un magma bouillonnant prêt à exploser d'un instant à l'autre.

La première partie racontait la goutte d’eau qui aurait pu expliquer pourquoi la chapelle devenait refuge. Peut-être le point de vue qui t’a manqué, SQUEEN ?

Il faut savoir aussi que j’écris d’instinct, sans jamais tirer des plans, calculer une stratégie, adoptant le style qui s’impose tout seul, gardant seulement en ligne de mire le plaisir d'écrire et la musique des mots.

Cela, ajouté au fait que je ne suis pas « écrivain » ni de formation ni d'ambition, entraîne forcément des imperfections. Celles que vous avez pris la peine de relever et vont alimenter mon subconscient pour mon futur épistolaire.

J’insiste à vous redire, à tous, combien je suis touchée par l’attention et le temps que vous avez bien voulu me prêter.

Contribution du : 15/11/2017 16:11
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Visiteur 
Asrya, pas de problème, je prends en compte ton édit. Le temps d’un souffle, j’ai cru que tu revenais sur tes impressions. :))

Plumette, pour ce qui est du vocabulaire de la fillette, il faut savoir qu’à la même époque, mon autre refuge c’était la bibliothèque du village, où je dévorais tout ce qui me tombait sous la main, bien loin de la collection Rouge & Or. C’est là où j’ai fait mes classes d’hypokhâgne et khâgne en quelque sorte, sans le latin ni le grec, sans dieu ni maître, seule entre les pages.
Alors, bien sûr, je ne me rappelle pas quelle était mon expression naturelle à l’âge de la Chapelle, mais je me souviens très bien des regards goguenards que j’ai suscité à mon entrée dans le monde du travail, à peine une poignée d’années plus tard. J’ai vite compris qu’il fallait que je réajuste mon langage si je voulais me faire comprendre, et surtout ne pas me faire remarquer pour pouvoir ainsi me couler dans le moule et me faire accepter. J’ai eu la vive conscience que faire le deuil de mon langage particulier était le prix à payer pour mon intégration dans la vie de tous les jours.

Hersen, cela répond peut-être à tes doutes sur l’emploi de ce « je n’ai eu cesse » par la fillette que j’étais, fort plausible quand même.
Parce que ton avis m’est cher, je suis désolée que tu n’adhères pas à l’histoire ainsi racontée. Cependant ici, il s’agit moins de la jubilation d’avoir enfreint un interdit que de la jubilation de jouer à tue-tête et de maîtriser un instrument magique répondant à mon seul désir. La mère du curé joue le rôle de l’ordre établi, celui qu’il m’a fallu braver pour accéder à mon droit d’exister telle que je suis (ta dernière possibilité, donc !).

Jean-Claude, je te dois quelques explications. La précision du curé ‘’saint homme de l’avis unanime’’, car je ne crois pas que tous les curés soient des saints hommes, loin s’en faut, mais celui là l’était assurément. Quant au gardien du temple, il y a bien un semblant d’ironie derrière ce temple grandiloquent devenu pour un temps ‘’mon temple’’.
Pour la ‘’première demande non gardée en mémoire’’, c’est par déduction logique : je ne me souviens pas avoir demandé, mais le fait est que j’ai bien eu la clé en mains.
Merci pour la reformulation que tu proposes, même si la réécriture n’est pas à l’ordre du jour, car pour moi, jusqu’à présent, la page donnée se tourne sans regret.

Vincendix, c’est un vrai bonheur, Vincent, de rencontrer quelqu’un qui a connu pareilles émotions. Ainsi nous savons vraiment de quoi on parle ici. Un vrai souvenir d’enfance. L’église m’aurait certainement davantage intimidée. Plus impressionnante, imposante… la chapelle l’était déjà beaucoup, mais je pouvais mieux appréhender ce lieu où j’étais seule à me retrouver.
Je complète plus bas, dans ma réponse à Louison

Mokhtar, combien j’aurais aimé me lâcher davantage encore ! Ici, mon envol a été freiné par des réflexions amicales qui me disaient être estomaquées par ma façon d’envoyer tout de go dans mes écrits en général. J’ai pensé que c’était un appel à la modération, une façon de me dire d’être moins excessive. Du coup, par crainte de heurter, dans ce dernier texte je l’ai joué piano, me laissant emporter seulement vers la fin. Je suis heureuse, car tu as su voir mon paradis, si non artificiel, du moins inaccessible…

Thimul, merci Thierry, d’avoir su lire la passion de la fillette. Il ne s’agit que de cela, en fait. L’envol final c’est juste du ''chassez le naturel il revient au galop''. :))

Louison, avec Vincent, nous sommes trois ici à avoir connu ces petits frissons procurés par les notes de musiques qui s’égrènent dans des sanctuaires. Je suis heureuse de partager avec toi cette connotation qui teinte mes souvenirs d’une aura très particulière. Il n’y a pas d’histoire à proprement parler, juste une tranche de vie prélevée dans une histoire plus complexe.

Eccar, cher Eccar, ayant beaucoup bridé ma poésie dans ce récit, je me suis demandé si cette histoire t’emporterait ou pas. Me voilà renseignée et heureuse.
Heureuse aussi pour les questions que tu poses.
Si tu as lu ce qui précède, tu sais déjà qu’il s’agit d’un véritable souvenir. La mère du curé est telle que je m’en souviens. Il aurait seulement fallu, pour que le portrait soit complet, que j’explique qu’elle n’était dupe de rien, comme je n’étais pas dupe, non plus. Son non péremptoire qui me faisait repartir les couettes basses, suffisait à asseoir son autorité. Car bien sûr, personne dans le quartier ne pouvait ne pas entendre les sons, surtout les jours d’été où je jouais fenêtre ouverte. Et comme personne ne disait rien, je m’enhardissais de jour en jour à faire de plus en plus de bruit, imaginant partager ma joie avec le monde entier. L’image que j’avais en tête, c’était Richard Wagner et ses Walkyries. Tout pareil. :))
Les seules notions musicales que j’avais étaient celles du solfège basique appris au collège avec les leçons du fameux pipeau.
Je ‘’composais’’ donc des petites histoires à mon gré, ou reproduisais à l’oreille les airs pops de l’époque, et cela suffisait à mon bonheur… Secrètement, j’aspirais à suivre les cours particuliers de Mademoiselle Elise, l’organiste qui jouait à l’église, sachant pertinemment que, à cette époque, seuls les ‘’fils de’’ pouvaient y prétendre. Je n’en parlais à personne, espérant juste que l’on me devine. Ce qui ne fut jamais le cas…

Merci à vous tous, encore une fois du fond du cœur...
Et merci encore à Alexan de m'avoir si bien comprise (même et surtout en aveugle :))

Contribution du : 16/11/2017 12:28
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Organiris
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@Cat,

Oui oui, j'ai bien compris tout ça, "avoir de cesse" était représentatif de ce que je voulais dire du style du texte, mais naturellement, il t'appartient de le savoir mieux que moi.
Si tu veux, ce n'est pas que je n'ai ps aimé le texte, c'est que je l'aurais aimé plus léger pour paradoxalement mieux croire en cette petite fille; Elle aurait dû me toucher plus et c'est cela que je regrette;

Alors comme ça tu sais jouer de l'harmonium ?

hersen

Contribution du : 16/11/2017 20:27
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Maître Onirien
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Bonjour Cat,
Ce chapitre de ma vie a connu un épilogue, dès que j’ai eu les moyens, j’ai acheté un premier clavier et, sans avoir appris la musique, je me suis régalé, jouant à « l’oreille ». J’en suis à mon troisième synthé et je vais bientôt changer, peut-être me décider à apprendre le solfège.
Bonne journée
Vincent

Contribution du : 17/11/2017 09:43
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Visiteur 

Bonjour Cat.
Pourquoi, mais pourquoi ne pas avoir dit tout cela dans ta nouvelle ?
La réalité est bien souvent bien plus riche que la fiction. Tu aurais raconté ta vie, et alors ? S'il est belle, pleine de souvenirs émouvants et drôles, elle aurait ainsi enjolivé un instant la nôtre, ta nouvelle n'en aurait été que mieux comprise et admise. Débride toi, chère Cat, laisse aller ta folle poésie raconter tes délicieux souvenirs. La vie, après tout, est digne d'être vécue, non, et de toutes les manières possibles. Raconter, raconter tout, voilà notre ch'tit pouvoir sur cette ch'tite planète, alors faisons-le, bien ou mal, mais faisons-le.
Gros bisous, ma belle. Et à bientôt de te relire.

Contribution du : 17/11/2017 10:52
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Visiteur 
Citation :

hersen a écrit :
Si tu veux, ce n'est pas que je n'ai ps aimé le texte, c'est que je l'aurais aimé plus léger pour paradoxalement mieux croire en cette petite fille; Elle aurait dû me toucher plus et c'est cela que je regrette;

Alors comme ça tu sais jouer de l'harmonium ?
hersen


Hersen, d’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais rien su faire de léger dans ma vie. J’ai toujours tout pris au sérieux de la lettre. Petite, c’était encore pire. :))
Seule la poésie a le pouvoir de m’envoler et encore… elle m’emmitoufle souvent dans le lourd de notre condition. C’est très certainement pourquoi j’aime autant rire et m’amuser d’une broutille.

Mais voui, je taquine l’harmonium, la guitare et le piano, le pipeau aussi, d’ailleurs… lol !...

… A l’oreille, tout comme toi, Vincent. Je pense que si tu as le courage d’apprendre le Solfège, tu vas franchir un cap supplémentaire qui t’apportera beaucoup beaucoup de plaisir.
Courage !
Tiens moi au courant…

Mon cher Eccar. Avec des si on mettrait Paris en bouteille et je saurais tenir sur la distance les détails de ma petite vie pour en faire une histoire autrement palpitante.

Seulement voilà, je suis pétrie de doutes en tous genres, et en même temps d’envie dévorante. Oui, un chouïa compliquée, tu peux le dire ! lol

Sois cependant rassuré (si besoin est), car je me soigne. Surtout grâce à des conseils aussi amicaux que les tiens qui viennent régulièrement fleurir mes fenêtres.

Je ne sais pas, franchement, si la vie vaut la peine d'être vécue - on m'a posée sur Terre sans me demander mon avis - mais tant qu'à être obligée, autant lui trouver de l'intérêt et la vivre en essayant de se poser le moins de questions possible...
Nos échanges, ici, font partie des bons moments à vivre à bras ouverts.

Merci.

Contribution du : 17/11/2017 11:31
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Organiris
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Le pipeau ?

Contribution du : 17/11/2017 13:42
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Onirien Confirmé
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27/06/2017 19:37
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Bonjour Cat !
Merci pour toutes ces précieuses infos et précisions.
Eh oui, à l’aveugle comme tu dis😊 je n’avais effectivement pas pensé à toi ; mais je suis à présent tout sauf surpris d’apprendre que cette confession enivrante, originale et créative est ton œuvre ! Surtout, en effet, ce ton si intuitif qui semble bien t’être propre ; des pulsions instinctives, j’oserai dire. C’est peut-être pour cela que l’on peut y trouver tant de profondeur, de sentiments aussi simples que complexes, sans pour autant, je trouve, passer à côté de la beauté et même de la poésie.
Oui, c’est vrai que la profusion de mots m’a un peu dérangé. C’est tellement riche, que parfois j’ai l’impression que le texte pourrait autrement gagner en clarté (c’est d’ailleurs une critique que je pense souvent à appliquer à moi-même !).
Cela dit, peut-être que sans cela le charme et le suspense de cette petite histoire mystérieuse et intrigante en seraient amoindris… Il est souvent dur de gagner quelque chose sans perdre autre chose.
En tout cas, je suis content d’être tombé plutôt juste sur le sens de cette nouvelle si particulière.

Oui, on se reçoit cinq sur cinq ! 😉

PS: ...l’harmonium, la guitare et le piano, le pipeau... Genial !
Quant à moi : la clarinette, la guitare, et surtout : le triangle ! lol

Contribution du : 17/11/2017 21:09
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Visiteur 
Quand je vois tes smileys, hersen, se bidonner et se rouler par terre, je me demande avec appréhension quelle définition tu as donné à mon « pipeau » ?

Alors, hersen, tu peux répondre à cette question, steuplêt ? :))


Et toi, Alexan, qui rajoutes un lol en précisant que tu pratiques le triangle...

Du coup je reste dubitative...

Heureusement, nous nous recevons cinq sur cinq, et nous savons de quoi nous parlons vraiment, n'est-ce-pas ?!
Ouf !!!

Sans oublier qu'à nous deux, nous allons pouvoir monter un véritable petit orchestre.

Tu chantes aussi ?
Dis, oui ! Il ne manque que ça à mon bonheur...

Plus sérieusement, merci pour ton passage ici. J'aime beaucoup ces échanges post-partum.

Contribution du : 20/11/2017 14:42
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Re : Promenons-nous à la frange du volcan
Visiteur 
Un merci infini Louis, pour ton analyse au cordeau. Toujours aussi précise, aussi fine, aussi près de tout ce qui vit entre les lignes.

Je suis toujours époustouflée, émerveillée, devant ton extrême empathie et l'art de l'écriture que tu manies avec une rare maîtrise pour l'expliquer.

Tu as le pouvoir de donner un relief incroyable à la plus petite des histoires. Celle ci même, dont certains ont relevé la platitude.

Tu as dit tout ce que j'avais dans le cœur en l'écrivant. Tout ce qui l'habillait et que j'ai eu plaisir à poser noir sur blanc ! Je l'ai revécue en te lisant. Tu n'as loupé aucun détail. C'est magique !

Ton passage sous mes mots m'aurait manqué.



Bienvenu, sur mon volcan, kreivi ! Il vaut tous les Kilimandjaro, tous les Puy-de-Dôme du monde. :))

Et non, il ne s'agissait pas uniquement de dépoussiérer mes souvenirs, mais bien d'un élan qui a puisé au-delà, dans un but inavoué que Louis, j'en suis certaine, serait capable de décrypter bien mieux que je ne saurais jamais le faire.


Merci à vous deux d'avoir pris le temps de déposer vos ressentis.

Au fait, moi c'est Cat. Pat, c'est une amie...

Contribution du : 20/11/2017 15:27
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