Comme je ne me sentais pas le courage de répondre à chacun, je viens ici remercier, outre le comité, tous les commentateurs qui ont laissé leur petit mot sous ce conte.
Je vois que dans l’ensemble vous avez aimé, ce qui me touche beaucoup, vu les difficultés, et le temps, que j’ai éprouvées, et passé, à construire ce texte.

Je voudrais surtout revenir sur un passage qui a intrigué plus d’un, celui de la « demoiselle ».
La demoiselle est une libellule d’une sorte légèrement différente (plus frêle), mais tellement voisine qu’elle a, dans les dictionnaires, la valeur de synonyme. Ma phrase cherchait une balance entre deux possibilités : chasseur/galant – poursuit/désire – proie/demoiselle, vu que les libellules peuvent aussi bien copuler que se manger entre elles (eh oui !), et que le crapaud en est aussi un prédateur.

Je devrais sans doute faire une note de bas de page. Comme quoi, on trouve toujours un enseignement dans les bonnes remarques.

Merci encore à tous pour l’expression de vos sentiments, que j'ai reçue avec, croyez-le bien, toute la mesure nécessaire.