le poëme en lui-même (merci à david pour la suggestion du lien):
http://www.oniris.be/modules/poesies/article.php?storyid=1605

Citation :

en réponse à notrac (réponse déjà formulée sur le poëme en lui-même, merci à Pattie de m'avoir averti quant à cette rubrique qui m'avait échappée):

je suis assez d'accord sur le manque d'originalité de ce poëme, et sur la fin bancale, mais je pense que le poëme doit en premier refléter ce que l'auteur veut y faire passer... une mort n'a rien d'original, ou du moins elle est commune et naturelle, mais elle est un peu brutale, elle doit laisser un manque, elle n'est pas franchement agréable et déboussole un peu... je dois avouer que même pour moi cette fin n'est pas agréable, j'ai toujours envie d'y ajouter des mots, mais ça devient personnel, j'aimerais (j'imagine que personne aura ce réflexe en le lisant pour la première fois... mais bon, c'est pas grave) que chacun y ajoute les mots qui lui plaisent, qui sonnent juste pour lui, parceque j'ai l'impression dans ce dernier vers (voire dernier demi-vers), qu'on a pas mal de liberté (sinon de thème, de texte) pour parvenir à quelque chose qui soit autre...

bon, j'ai pas mis mon «autre» alors je vais le dire, quand je le lis, j'entends plutôt: «on s'en va c'est la fin»

ps: vu que c'est la fin, c'est visible, y'a pas besoin de le dire... lol

Bonjour Phlaurian,

Si je peux me permettre une suggestion en préambule, tu pourrais copier/coller le lien dans la barre du haut au dessus de ton poême (http...etc)jusqu'ici afin de l'ajouter à ton message initial. Pour pouvoir passer directement du forum au poême.

J'avais lu ton "obscur..." sans trouver à redire sur le coup, la fin ne me dérange pas, mais si tu alignes tout à la suite, ça donne un texte trés court, c'est difficile de faire passer quelque chose en trés peu de mot.

Il y a aussi "-contre mon corps défunt" je n'avais pas compris ce que tu dis ici sur ton poême, j'ai pris ce passage pour une image, je pensais que le poême parlait du mal de vivre ou d'idées noires mais pas d'un décés.

d'un décès ou d'un mal de vivre, la manière dont tu le comprends m'intéresse et je cherche pour cela assez peu de fioritures, (en fait, c'est une excuse à ma fainéantise aussi ça)

quand je l'ai écrit, je n'ai pas songé directement à la mort, mais quand je l'ai relu je me suis aperçu que je la sentais clairement (j'imagine qu'on sent toujours différement ses poëmes propres...) et du coup je sais pas comment me placer par rapport à ça, c'est les mots que je voulais y mettre, mais il font sortir quelque chose dont je n'avais pas conscience (là, après on peut aussi s'axer sur la problématique du langage, qui pour moi, a un rôle essentiel dans la compréhension de la vérité, si tu préfères, je vais à l'encontre de bergson qui pense que le langage ne peut pas exprimer une idée ou un concept pur, en arguant que le langage revêt un sens différent pour chaque personne et occupe une importance plus ou moins grande dans leur vie, ainsi dans la mienne je réalise certaines seulement en les exprimant...)

enfin voilà quoi...