Surtout, gens d’Oniris, petits et éminents personnages, restez là encore longtemps ! Cela me fait tant plaisir de vous voir déposer dans votre album mes humbles poèmes !
En outre, vous lire chaque jour me permet de « sortir de chez moi « sans mettre le nez dehors, surtout quand il bruine ou fait froid ! Grand merci !
Le plumage au-dessus de mes textes est aussi garni que la tête de Yul Brynner en cheveux, mais que chacune et chacun vienne faire un tour et laisser quelques mots sous « papipoète « , est la parure la plus belle, que vous puissiez à m’attribuer ! Je la porte tel Geronimo avec grande fierté !

Brume ; un peu déçue par le manque de parfum, de bruits, de couleurs ; certes, mais il fait nuit après que le soleil ait disparu de la ligne d’horizon ! Ma ponctuation aléatoire ; j’en connais qui doivent bien rire me voyant là, tel l’arroseur arrosé de Méliès ! Merci à Vous

Robot ; content de voir l’ » humanoïde/poète « , réapparaître ici ! Tu vois un tableau qui procure une lecture apaisante, propice à l’endormissement . « Cingler « me sembla pourtant approprié pour « naviguer « vers Morphée, plus que pagayer ( je rigole ) . Sénanque vaut plus que le détour, on aurait presque envie de se faire moine, pour l’avoir à soi tout seul ! Merci à toi

Lulu ; je vois votre retour après une si longue absence, et j’en suis heureux ! A Sénanque, vous étiez à travers mes lignes, contemplative aussi de ces moments chéris ; installée dans ce hamac tout près de l’abbaye, répétant complies au pied du lit des prieurs, aimant ce poème épuré ; merci à Vous

PIZZICATO ; vous avez goûté la sérénité, dans le hamac à la belle-étoile, et vous êtes endormi rassuré alors que l’abbaye prenait son tour de garde ; merci à Vous

Navire ; je ne suis pas arrivé à vous mener en bateau, même en cinglant pour Morphée ; mes multiples redondances vous ont ennuyé, j’en suis bien désolé ! Mais vos propositions d’autres constructions me sont utiles, et ne sont nullement « leçons « , au contraire je m’en servirai à l’avenir ; je n’ai pas « écopé « d’une mauvaise note ; merci à Vous

Donaldo75 ; je t’étonne, mais favorablement, c’est donc une bonne surprise que mes vers « non bridés de césures et autres métriques « évoquant un ensemble bucolique ; merci à toi

Mokhtar ; vous avez bien aimé ce « tiré de rideau provençal «, montrant la « mise en veille de l’abbaye « ; mes doigts « compteurs de pieds « prirent selon vous un repos salvateur ; merci à Vous

Cristale ; mes touches de couleurs, comme pour économiser l’aquarelle afin de ne montrer que l’essentiel, firent à vos yeux une « poésie libre bien tenue en liberté surveillée ! De Vous et d’autres maîtres des vers classiques, j’apprécie particulièrement la lecture attentive et bienveillante ; merci à Vous

leni ; toi le Belge qui sais la France sur le bout des doigts, t’es reposé dans mon hamac pour un heureux farniente, sur ces traces ( connues ) de Sénanque ; merci à toi

eskisse ; vous avez vu dans mes vers libres comme le Mistralet, un agréable florilège de douces sensations provençales ; j’en suis ravi ! Merci à Vous

kreivi ; mon poème vous déçut par son tableau bien trop pâle ; comme des souvenirs oubliés que j’aurais péniblement regroupés ( j’avoue qu’il y a fort longtemps que je visitai cet endroit, oh combien merveilleux!) ! Des erreurs aussi ( le Mistral n’est pas doux, et glace plutôt ! ) je le sais depuis une ballade frigorifiante en août à Séguret ), c’est pour cela que je l’ai appelé « Mistralet « petit Mistral sympa … Vous ne me passez pas de pommade, car vous m’aimez bien , et ce que j’écris d’ordinaire ) Vous avez raison ! On ne fait pas cela sur Oniris ! A une autre fois cher poète !

Alexandre ; il y a bien longtemps que tu n’es pas venu sous ma plume ; j’en étais peiné ! Je t’ai promené agréablement en Provence, et tu apprécias de voir mon encre se promener au pays des vers pas très classiques ; merci à toi

emilia ; vous avez beaucoup aimé cette contemplation provençale ; et Sénanque se prête bien à la méditation, quand les cigales rangent leurs cymbales, et que l’on croit entendre au pied du lit des orants, la dernière prière du soir ! Je suis content de vous avoir fait passer ce bon moment ; merci à Vous

jfmoods ; et le maître es/lecture passa par là ; et les images, les couleurs, les senteurs rendirent à son esprit un cadre si propice au recueillement ! Quel régal de vous lire … merci à Vous

MioModus ; « l’on devine la divine langueur d’un soir dans cette douce Provence « ; comme c’est bien dit, et tout est dit dans cette phrase qui pourrait commencer un poème … merci à Vous

Marie-Ange ; rien, tant le rendu sur cette " douce Provence " était aseptisé, ne vous toucha ; d'autre part je livrai à travers mes mots un " piètre aperçu " d'un paysage ! dur, dur de vous séduire cher poète ! merci pour votre lecture

troupi ; c'est un peu court pour évoquer ce pays que vous connaissez bien ; les cigales avec leurs cymbales marquent un point pourtant ! Je précise une fois encore, que parle de la douceur d'un soir, et que le tableau bientôt sera tout noir ... merci à Vous

Provencao ; vous qui aimez tant ce bel endroit de France ( votre pseudonyme s'y apparente peut-être ), étiez emplie d'une douce quiétude, je vous avais cédé mon hamac le temps de me lire ... Le ciel éternel vous engloutit alors, charmée par ce tableau de couleurs, senteurs, prières au pied lu lit et le Mistralet gentille caresse ... grand merci à Vous

Quidonc
Chaque région de France a son charme, et davantage à nos yeux lorsqu'on en est natif ! Mais certaines marquent l'esprit comme la Provence, avec sa lavande, ses " carrières de lumière " aux Baux, ( le Mistral peut devenir exécrable par contre ! ) et l'abbaye de Sénanque entre autres !
Rien que pour elle, faites un détour par là et vous serez sous le charme ; en fermant les yeux, vous verrez les moines faucher " lavandula augustifolia " aux abords de ce fabuleux témoin du temps ( aujourd'hui, la communauté est plus dégarnie que leur tonsure ! )
Vous vous êtes noyé avec douceur dans mon poème, et la plénitude de l'endroit vous fit " vous sentir bien " ; j'en suis très heureux !
papipoète