L’écriture de haïkus est un exercice particulier ; ainsi m’étais-je préparée au décalage, et même au refus. Après tout, nos esprits occidentaux sont quand même culturellement éloignés ce genre de littérature. C’est pourquoi je suis infiniment reconnaissante au comité éditorial d’avoir accepté de les faire paraître en l’absence de commentaires en espace lecture.

Merci à vous, Mokhtar, papipoete, Robot, Luz, Navire, Brume, de m’avoir fait l’amitié de passer me lire et d’avoir pris la peine de me faire part de vos ressentis.
La tâche a dû être d’autant plus malaisée que certains vers (dont les fameuses « deux lunes »)font directement référence à ce merveilleux roman de Murakami : 1Q84, évidemment nimbé des aspirations profondes et des traditions japonaises.
Et merci à Narco, qui semble familier des romans de Murakami, d’avoir si bien défini le haïku.

Enfin un remerciement tout particulier à Pizzicato : j’ai été sensible à ton regard qui me donne le sentiment d’être comprise dans ma démarche. Voir et ressentir le dessin. Et écrire...



myndie

@ Louis : merci pour ton merveilleux commentaire auquel je répondrai en mp.
Je voulais juste réparer cette omission qui ne t'a pas échappée et rendre justice à l'auteur de la toile : merci à Régis Loretti dont la sensibilité artistique nourrit ma poésie.