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1 Utilisateur(s) anonymes
Merci pour l'usine qui n'usine plus |
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Maître Onirien
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28/12/2008 17:33 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Primé concours Groupe de Lecture Post(s):
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Bonsoir,
Merci à tous pour vos commentaires sur ce poème. Je suis vraiment content qu'il y ait eu 3 commentaires en espace lecture, et puis tous les autres après bien sûr. Heureusement il y a encore pas mal d'entreprises d'usinage de métaux, mais c'est un métier (la mécanique en général) peu prisé par les étudiants. Pourtant il y a des débouchés importants à tous les niveaux. Les étaux-limeurs n'existent plus je pense, et l'on utilise que rarement les fraiseuses classiques ; maintenant les tours et les fraiseuses sont à commandes numériques (on programme, on ferme la machine, et l'usinage d'une série de pièces démarre). C'est à peu près ça je crois (moi je me suis arrêté à la fraiseuse Alcéra aux beaux yeux vert jade...) Merci encore. Luz
Contribution du : 05/04/2018 20:46
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Re : Merci pour l'usine qui n'usine plus |
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Visiteur
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Ah, j'ai adoré votre poésie, j'ai malheureusement pas eu le temps de commenter mais bravo, vous m'avez scotchée !
Contribution du : 05/04/2018 23:26
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Re : Merci pour l'usine qui n'usine plus |
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Maître Onirien
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28/12/2008 17:33 Groupe :
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Merci Ananas et Pouet.
Je me suis amusé avec des mots pas très utilisés, et parfois retravaillés. Par exemple "Ils chantournent l’égoïne des lames à l’éclair de leurs yeux" (les chats). En fait cela vient de la scie à chantourner (utilisée pour scier en suivant une courbe) et de la scie égoïne. Et les yeux des chats ont suivi... Dans un poème quand on utilise un seul mot peu connu ou inconnu, cela fait très bizarre, mais lorsqu'il y en a dans chaque vers cela passe mieux, à mon avis. Luz
Contribution du : 07/04/2018 13:34
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