Je viens remercier Oniris d'avoir sélectionné et mis en ligne mon poème.
De même les lecteurs(trices). Certains se sont fait connaître en laissant leurs commentaires.
- Gabrielle, merci à vous. Je retiens "intimité" et "émotions" qui sont, en effet, des mots clé de mon poème.
- merci sympa. Vous avez bien reconnu les circonstances : ce sont les fêtes de Bayonne. Ravi de vous avoir été, l'instant d'une lecture, "agréable".
- merci Marite! Je suis content que vous ayez été sensible à l'effet de "fading" que j'ai tenté de mettre dans les 2 derniers quatrains.Pour retourner, en effet, mais en douceur vers la réalité d'aujourd'hui.
- merci Pizzicato. Bien sûr, venant de toi, j'aime bien lire les deux mots commençant par "a"de ta dernière phrase!
- merci papipoete. Oui, j'ai la même conviction que vous: chacun a rendez vous avec son enfant intérieur. En revanche vous portez une attention bien plus pointilleuse que moi sur la conformité de mes poèmes avec du néo ou du pas-néo.J'ai l'impression que c'est un peu votre spécialité (?) )
- merci Leni! ayayaï.."du rêve et de la tendresse" dis tu ? ha coquin ! tu m'as percé à jour !
- merci Recanetese, pour conserver le suspense je ne vous dirai pas si le "petit devenu grand a tenu sa promesse". Ce qui me plaît, c'est votre rajout "en tous cas (...) ainsi". Cela me laisse espérer que j'ai suffisamment construit mon écrit pour que le lecteur soit dans cet état après lecture.
- merci jfmoods. Là, je dépose le destrier, l'armure, la lance et le bouclier.Après votre passage, on se retrouve à nu
- merci Eclaircie! une personne bien réaliste à ce que je vois! ( cf: "seul un enfant pouvait y croire").Et oui, mais on se promène de nombreuses années avec ce petit enfant dans le coeur.Je suis sûr que le votre est, également, ainsi fait!
- merci Pandelle, Oui, du haut du pont St Esprit !on sent que vous auriez aimé écrire vous même ce poème . J'espère que mes points de suspension ne vous ont pas rappelé des points de suture( ça arrive parfois quand on est festayre).
- merci Cat,toujours autant dans la proximité émotionnelle, que ce soit en lecture ou en audition! Oui,la tendresse enfantine, comme mince rempart vulnérable, mais, quand c'est possible, ne s'y sent -on pas bien?? Ne dis rien, je connais ta réponse...
- merci Provençao"on est pris par l'histoire(...)produit" ! Bigre, quel compliment, vous m'obligez à faire au moins aussi bien la prochaine fois!

Encore Merci à toutes(tous)!

Ithaque

bonjour Ithaque
Je posais cette question de " forme " sur le fait que le " contemporain " ( qui peut être excellent ) est un grade en-dessous du néo-classique, tout comme le néo-classique est un grade en-dessous du classique .
Si je décide d'écrire " contemporain ", je mettrai de côté les rimes alternées et surtout la métrique régulière .
Si je décide d'écrire " néo-classique ", je devrai avoir des vers de même longueur .
Si je décide d'écrire " classique ", j'aurai des vers réguliers avec césure à l'hémistiche, des rimes parfaites .
Ainsi, selon la forme choisie, le degré de difficulté technique grandira ( mais la beauté en rien n'augmentera ! ) ; aussi, si votre poème " contemporain " ne tenait qu'à une rime défaillante, je trouverais dommage de ne pas l'avoir affiné, pour qu'il passa à la catégorie supérieure !
NB j'avais proposé il y a longtemps un poème néo-classique qui fut publié en néo-classique or, il se trouva qu'un lecteur vit ( avec justesse ) un rime fausse ; Oniris me signala ce problème, me priant de trouver une parade ; hélas, pendant des heures je cherchai, en vain ce à quoi Oniris " ne put que " déclasser " mon texte en " contemporain " .
j'avoue ne pas chercher à écrire dans cette forme, et me forcer à suivre un canevas précis .
mais je répète qu'il vaut mieux un bon " contemporain ", qu'un mauvais " classique " !

le poème en question est " matin obscur ", que MIGUEL fort justement lut avec stupéfaction, voyant " ma " faute technique !

merci @papipoète

je m'incline devant une pertinence que, personnellement, je ne possède pas .
En tous cas je vous remercie d'avoir pris le temps de me répondre. Cela prouve que nos commentaires de remerciements sont lus . J'apprécie qu'un commentaire débouche sur un dialogue ensuite .

Si vous avez 2.01 mn ces jours-cis, je vous suggère de venir entendre du Prévert, à partir de ce soir, en Vocathèque.

Aimez-vous Prévert, papipoète ?

Amicalement

Ithaque

j'aime tout ce qui est beau ; musique, poésie tant que la vulgarité ne vient pas l'entacher .
je hais le laid ; dans les paroles, les images et les postures .
je ne ferme aucune porte et l'entrouvre à ce que je ne connais pas, que je redoute ...

"Oui, du haut du pont St Esprit !"
Vous avez raison, je l'ai joué petits bras; plutôt que de s'adresser à St Pansart et sa petite rivière mieux vaut s'adresser au St Esprit et son fleuve( je vous épargne le jeu de mot avec Adour, bien que j'en crève d'envie)Mais l'océan reste au dessus de tout ça!
Les points de suture? Certainement, nos origines ne nous lâchent pas comme ça...
Sinon, pour répondre à une question qui ne m'était pas posée et bien que je ne ne mette pas Prévert sur le pinacle, je considère "Les feuilles mortes" comme une des plus belles choses jamais écrite; il y a tout là-dedans.
Ça paraît simple mais c'est difficile à simplement égaler.

Bonjour @Pandelle, Ongi ethorri !

et merci d'avoir donné suite . Je comprends que vous puissiez ne pas être fan de Prévert, ou de tout(e) autre d'ailleurs.
Ce clin d'oeil était une invitation à passer en Vocathèque pour un moment d'écoute, de divertissement, d'échange et de participation le cas échéant.
C'est un espace d'expression créé en son temps par "un 64" (Michel64), autant dire "un de chez nous !".
Si cela vous tente un jour, c'est open H24.
Amicalement
Ithaque