Bonjour à tous

un grand merci au C.E. d'Oniris d'avoir accepté
ce texte, merci aux correcteurs et aux lecteurs/commentateurs

Bonjour à tous

un grand merci au C.E. d'Oniris d'avoir accepté
ce texte, merci aux correcteurs et aux lecteurs/commentateurs

remarque : petit malentendu "la veuve qui vient me voir " n'est pas en catégorie CLASSIQUE


j'ai une autre version de ce texte :



La veuve qui vient me voir.


Je t'ai vu le premier, glissant dans l'herbe noire.
Ton ombre de défunte, se cachait dans la mienne.
Comme un poison violent qui coule dans les veines,
Tu marchais d'un pas sûr pour hâter notre histoire.

Veuve sans nom, tu nous viens de cythére ,
La mort est ton métier et la faux ton outil.
fossoyeuse alanguie, glabre adultère.
Sur Helhest chevauchant, de l’enfer alguazil

Ton œuvre, c'est détruire ce qui fut paradis
Tu as surpris mon père, et me veux pour mari.
Viens donc me prendre, je ne bouge pas
avance si tu l'ose, et embrasse moi,
dans l'aube claire allongeons nous
pour que de ma chaire, tu avale tout .

C'est sûr que si elle vous a fauché les jambes et qu'en plus elle mange votre chaise, il va falloir vous allonger.

Bonjour.
Votre texte était initialement bien proposé en catégorie classique d'où les commentaires sur le forme faits en espace lecture avant la classification en contemporain.
Votre deuxième version présentée ici n'aurait-elle pas dû suivre le chemin dessiné par Oniris pour toutes les reprises ?

La veuve qui vient me voir.


Je t'ai vu le premier, glissant dans l'herbe noire.
Ton ombre de défunte, se cachait dans la mienne.
Comme un poison violent qui coule dans les veines,
Tu marchais d'un pas sûr pour hâter notre histoire.

Veuve sans nom, tu nous viens de cythére ,
La mort est ton métier et la faux ton outil.
fossoyeuse alanguie, glabre adultère.
Sur Helhest chevauchant, de l’enfer alguazil

Ton œuvre, c'est détruire ce qui fut paradis
Tu as surpris mon père, et me veux pour mari.
Viens donc me prendre, je ne bouge pas
avance si tu l'ose, et embrasse moi,
dans l'aube claire allongeons nous
pour que de ma chair, tu avale tout .



(e) de chaire est une coquille, évidement.

c'est une version non officielle , pour voir si auprès de vous je suis sur une voie, ou si j'entends des voix ?

la présentation en classique était une grosse bévue de ma part ,
mea culpa mea maxima culpa

écrire un texte en forme classique est une gageure, car cela peut être comparé au code de la route ! rien ne peut déroger aux règles incontournables :

métrique
rimes riches/singulier et singulier/pluriel et pluriel/
césures à l'hémistiche sur un " e " muet et non sonore
pas d'écho avec la rime

ce qui ne veut pas dire que seule la technique compte, car la mélodie ne doit pas souffrir de ces contraintes !
Pas simple le " classique " !

Oui, j'ai vu, il faut lire et relire le Traité de Gilles Sorgel.
J'ai lu des choses tout autour du sujet, mais j'avais proposé le texte avant, depuis j'ai vu la complexité de la tache.

Le second texte n'est qu'une déclinaison du premier, pondu en quelques minutes, tâtonnant un terrain trop abrupte pour moi.

Les gardiens du temple, ont tôt fait de me tomber dessus !
Je sais le sujet délicat jusque dans les hautes sphères, le néo-classique dont " la veuve " pourrait, peut-être se réclamer, n'as pas bonne presse. Mon texte et plein de maladresses (au vu du genre classique ) je ne le nie pas .

J'espère que l'on ne m'y reprendra pas !

si, si on vous y reprendra !