Merci au Comité Editorial d'avoir permis la publication de cette composition au catalogue d'Oniris.

Un grand merci à chacun d'entre vous qui avez exprimé votre sensibilité sur ma composition, dans l'ordre : Eclaircie, Cristale, Izabouille, Brume, Papipoète, Pizzicato, Mokhtar, Donaldo75, Provencao, Emilia.

Actuellement empêché pour des raisons de santé, je ne peux pas répondre aujourd'hui en profondeur à chacun de vos commentaires.

Mokhtar, vous posez les questions essentielles. Il y a en moi une dialectique entre le sacré et le profane. Il y a un parallèle entre le saule, les osmondes, l'aulne et le coeur, l'âme (dans l'acte de contrition oui) et l'esprit ou plutôt le mental en état d'hypnose à l'écoute de l'Adagio.
Cette version de l'Adagio est une création humaine mais elle est Dei, d'inspiration divine, je crois. Je n'ai pas la prétention de dire que mon texte est d'inspiration divine mais il prend ses sources dans ce qu'il reste de mon éducation religieuse.
Quand j'écoute les chants de Soeur Marie Keyrouz, je suis transporté tellement ils sont "habités".
Vous remarquerez que j'invoque "les cieux" et non "le ciel".

J'essaierai plus tard de revenir vers chacun d'entre vous, la richesse de vos commentaires m'a particulièrement touché.

À bientôt,
Damy

Nous vous souhaitons un prompt rétablissement.
A très bientôt

Prenez soin de vous.
Au plaisir de vous lire.

Désolée de ne pas avoir encore commenté votre poème, Damy, mais je tiens à vous souhaiter un bon et prompt rétablissement.
Revenez-nous vite !
Amitiés.

Oui, rétablissez-vous bien Damy… A très bientôt !