Après les orgas, le CE d'Oniris qui m'ont fait l'honneur de lui ouvrir leur catalogue, je veux adresser un grand et chaleureux merci à toutes celles et ceux qui m'ont accompagné au bord de l'Etang s'éteint. J'ai été très sensible au bel écho que vous lui avez fait. Et pour ne pas laisser s'épancher ma joie née d'un déluge inattendu, je resterai bref et ne reprendrai que les lignes principales de vos commentaires.

La dernière strophe a paru de trop pour certains et pas pour d'autres. A la lumière de vos observations, et d'une nouvelle lecture, je conviens que le quatrième vers de la quatrième strophe (la scène aura tiré son lourd voilage noir) peut clôturer le poème puisqu'il n'appelle pas vraiment de suite.

Il me semble que le classique appelle souvent des remarques sur le vocubulaire employé. Ce poème ne fait pas exception. Je n'ai pas le sentiment d'avoir eu le verbe inaccessible ni vieille France si ce n'est "dandiner" qui, pourtant, s'emploie toujours à la pêche pour attirer le poisson en dandinant l'appât. Quant à la chevelure d'ors, elle est effectivement de plusieurs blonds. Quand je voyais cette copine avec ses papillons de papier alu...

Merci d'avoir plussoyé ce texte, merci pour vos encouragements. La barre est soudainement très haute pour mes petits bras mais je vais continuer à apprendre pour tenter de garder le cap avec le même plaisir d'écrire.