Merci aux lecteurs, merci aux membres d'Oniris qui ont permis de mettre ce texte au catalogue.


réponse général à mes lecteurs et petite mise au point sur le dernier vers:
c'est évidement une allusion à La femme de Lot ou la statue de sel voir

http://www.interbible.org/interBible/source/feminin/2018/feminin_20180903.html

La référence biblique votre serviteur étant un athée notoire, peut surprendre, c'est que le texte parle du goût très fort de la passion et de ce qu'elle a de furtif ou (d'éternelle), tel le goût du havane et des volutes de fumée qu'il dégage. L'hérésie, c'est d'y croire , de donner à l'amour un (seul) visage alors que l'amour est universel, les premiers vers sont maritimes (l'herbe bleue, l'écume, l'air vagabonds) le sel qui pique certains sur la fin est pourtant une évidence, c'est aussi l'air de rien un poème qui tout en parlant de l'amour rêvé, parle de féminisme La femme ici est libre et espérée, comme une paix intérieure, un lys qui se cueille, dans les espaces divins des rêves, dans l'éther, introuvable et pourtant, son visage et là, dans les nuages .

merci pour vos lectures