Un grand merci à tous ceux qui ont pris le temps de commenter mon poème « L’arbre ».

A la lecture des commentaires on voit que ce poème peut être lu selon deux approches.
La première où c’est l’arbre qui parle, décrit sa vie et ses comportements.
La seconde où c’est l’homme qui entre dans la personnalité de l’arbre et y projette sa vie, ses envies, ses attitudes.

La clef est dans l’exergue. L’homme y vient en premier et c’est bien lui qui parle lorsqu’il dit « Je suis un arbre ». Il s’identifie à son ami de toujours : l’arbre avec ses multiples attributs si appréciés par l’homme.

L’exergue aurait-il dû être plus explicite ? Peut-être oui, peut-être non.

Laisser le lecteur pénétrer dans un texte selon sa propre démarche me semble être aussi une bonne attitude.

Merci encore à tous ceux qui durant un instant ont accompagné cet Arbre un peu mystérieux. Et un grand merci à Oniris d’avoir permis sa publication.

Avec mon meilleur clin d’œil poétique.
Corto

En effet Corto, deux approches qui finalement se soutiennent l'une et l'autre.
Personnellement, je pense que votre exergue était juste suffisant.

J'aime souvent lire le poème puis ensuite découvrir l'exergue. Juste pour appuyer mon ressenti où avoir un autre angle de vue que le mien.
Personnellement, j'ai senti que vous parliez de l'homme à travers leurs similitudes. J'ai trouvé l'idée très intéressante et vous l'avez très bien travaillé.

Merci Rosaura

Ce diable d'arbre planté il y a plusieurs années est venu vous apporter fraîcheur et douceur. J'en suis ravi.

Moi qui suis inconditionnel de JMG Le Clézio je vais me précipiter pour participer à sa promenade au pays des arbres.

Bien à vous.

Corto