Bonjour à tous

Tout d'abord et comme de coutumes, un grand merci au C.E. d'Oniris
pour avoir accepté la publication de mon texte.
Un autre merci aux correcteurs et commentateurs.

La Nature commet des erreurs que l'homme ne sait (pas encore)
réparer.

Mais l'amour qui se cache au jardin de ses yeux
Est plus ensorcelant qu'un bouquet merveilleux
Car il vient d'une fleur qui sent bon l'innocence.


CORTO : je ne suis que le grand-père mais la douleur reste forte.

PAPIPOETE : Désolé encore une fois mais le classique n'était pas
parfait.

DOMI : merci de votre commentaire.

DAVIDE : mourir seul dans un centre spécialisé sera certainement
son unique fin de vie.

ROBOT : Oui les institutions existent mais manquent vraiment
de moyens et personnels qualifiés.

THE DREAMER : merci de ton commentaire.

LENI: La Nature commet des erreurs que l'entourage d'un enfant
paye au prix fort.

VINCENTE : merci de votre commentaire.

CASTELMORE : merci de votre commentaire. Mon coeur de
grand-père est une fois de plus touché par les aléas
de la vie.

PIZZICATO : Il demeure le plus jeune mais ne restera-t-il pas seul
dans sa vieillesse.

STEPHANIE90 : merci de votre commentaire.

CRISTALE : L'adversité me suit depuis que je suis né
Et de lâches desseins ma vie est coutumière.
L'aurore s'est éteinte en ce matin damné :
Un chagrin sans issue étouffe ma lumière.

CHVLU : merci de votre commentaire mais c'est le genre de texte
qu'on ne devrait pas avoir à écrire.

HIREATH : J'adopte votre suggestion pour le premier vers
du second quatrain et je remplace quand par lorsqu'
à la fin du premier quatrain.

SYMPA : merci de votre com. Il finira peut-être comme tant d'autres
seul dans un centre spécialisé. Ma fille s'est jurée de le
garder le plus longtemps possible près d'elle mais...

AMELIE : merci de votre commentaire.

QUIDONC : merci de votre commentaire.

ANJE : on peut toujours croire ou espérer qu'un enfant normal
finisse entouré par sa famille.

LEBARDE : ce sont des vers du coeur et rien d'autres.

SENGLAR : il a 3 ans et demi et ses parents sont déjà séparés.
Que peut-il penser, quelles sont les limites de son esprit
même si l'on ressent chez lui une très grande sensibilité.

EMILIA : merci d'avoir fait le lien avec le premier poème que je lui
ai dédié. Les kinés ne désespèrent pas de le voir marcher
un jour mais la parole ne viendra jamais.

MIGUEL : merci de votre commentaire. C'est hélas du vécu et je
m'en serais bien passé, croyez-moi.

JFMOODS : merci de votre com toujours très détaillé. C'est bien
l'immensité abyssale d'une douleur.

LHIRONDELLE : s'il n'était pas si attachant ce petit bonhomme
peut-être que son handicap passerait mieux ?

Merci à tous d'avoir partagé un peu de cette douleur qui me hante.


Bonne journée.

H

bonjour Hananke
Je ne propose plus de textes en " classique ", car la fourbe faute peut se cacher là où je ne la vois pas !
En l'ocurence, pouvez-vous me dire quelle est l'erreur dans votre poème ?
à vous lire

Bonjour papipoete

En classique, lorsque le nom et son adjectif sont séparés par l'hémistiche, on doit toujours trouver une préposition derrière
l'adjectif.

Exemple :

Toi qu'un égarement génétique a puni

aurait dû être pour acceptation :

Toi qu'un égarement génétique du père (éventuellement).

Ou comme je l'avais mis en premier abord :

Toi que les accidents de la Vie ont puni.

Comme dans le texte de The Dreamer : Rien ne pousse ici :

Sinon la dune au dos musculeux. Oh néant !

aurait dû être pour acceptation :

Sinon la dune au dos musculeux d'éléphant (éventuellement).

A vouloir cent fois remettre sur le métier nous fait faire des erreurs.

Voilà, c'est très simple mais on oublie quelques fois.

H

merci ; oui, le " classique " est un peu compliqué !