Remerciement tardifs mais néanmoins sincère à Oniris pour la publication de ce texte et comme toujours évidement au CE. Merci aussi à tous les lecteurs qui se sont arrêtés et merci à vous qui avez pris du temps et de l’intérêt pour donner votre ressenti.

Un merci particulier donc à

Anje :
Merci Beaucoup pour votre appréciation positive, mais également et peut-être surtout pour votre conseil critique que j’apprécie et dont j’espère pouvoir me nourrir.

Castelmore :
Merci beaucoup, je suis heureux que mon « cinéma » vous aie plu, même si la porsodie n’értait finalement pas si bien maîtrisée que cela. Mais l’important n’est il pas de prendre du plaisir là où il est ?

Corto :
Merci pour votre commentaire franc et honnête. Certes, il ne m’enthousiasme pas mais s’il est possible de ne plaire à personne, il est très difficile de plaire à tout le monde. J’espère qu’une prochaine lecture pourra rencontrera votre sensibilité.

Queribus :
Merci beaucoup pour la chaleur de votre commentaire mais également pour les « pinailleries» que vous évoquez.  Et si , comme beaucoup, j’apprécie les compliments, je les aime accompagné d’un bon rouge plutôt qu’à l’eau fusse-elle de rose.

Papipoète :
Merci beaucoup également pour votre généreuse appréciation. Merci d’avoir remarquez la petite touche d’humour que j’aime dans mes textes.

Donaldo :
Merci beaucoup pour vous être embarqué dans ce vol de nuit et je suis trop heureux que le voyage vous aie plus.

Pizzicato :
Merci pour votre commentaire et d’être passé outre l’emphase des premiers vers . Je suis en tous les cas heureux de vous avoir intéressé.

Senglar :
Que d’éloge, merci beaucoup. Il est vrai que si le fond peut paraître intolérable, je voulais surtout mettre à jour le coté puéril. D’où le clin d’œil de la belle à la bête.

Davide :
Un sonnet « brisé », au départ une maladresse et puis à la réflexion je me suis dit pourquoi pas. J’ai trouvé que ce temps d’arrêt ajoutait un plus au coté jaloux du narrateur.
Vous vous êtes régalé et ce malgré son coté « un peu pompeux ». Je suis d’autant plus heureux qu’à ma surprise vous apprécier mes publications. Merci mille fois.

Hersen :
Merci beaucoup, beaucoup. Je suis également (évidement) friant de mots peu usités et des référence mythologique, mais à l’instar des sucreries peut-être ne devrais-je pas en abuser 

Miguel :
Merci à vous dont le commentaire fut modéré et quoi que silencieux n’en furent pas moins élogieux.