Bonjour à tous

Et comme d'habitude, un grand merci au C.E. d'Oniris pour avoir
accepté la publication de ce texte après 2 refus. Un merci aux
correcteurs pour une virgule intempestive.

Nous partîmes, un matin, avec mon voisin de l'époque, pour récolter
de jeunes bouleaux dans une forêt voisine.
Je revins avec 14 arbres à replanter dans 700 m2. Il paraît qu'il
faut les planter par nombre impair, je fis donc 3 groupes de 3
et 1 groupe de 5. C'est dans ce dernier qu'un vent violent m'en
abattit 1, un jour de printemps d'où le dernier vers du texte.


PAPIPOETE : pas d'erreur cette fois-ci. Je sais que vous aimez les
arbres.

MOKHTAR : merci de votre passage. Voir plus haut pour le vers ultime.

LUCILIUS : N'étant pas un grand spécialiste de la voile, il peut y avoir
quelques approximations dans mes métaphores navales.

GEMINI : merci de votre passage et bien vu pour le fût.

SYMPA : merci de votre passage : votre commentaire a bien résumé
l'ensemble du texte sans se perdre dans les détails.

PIZZICATO : De voir un arbre abattu, que ce soit par l'homme
ou le vent m'a toujours rendu triste. Peut-être cela
vient-il du fait qu'ils se tiennent toujours debout.

LENI : merci de ton passage en attendant une petit chanson.

SENGLAR : merci de votre commentaire. Certainement quelques
approximations dans mes métaphores marines.
Mes arbres me faisaient ( à l'époque) penser à la voilure
des vieilles caravelles de nos livres d'Histoire.

DAVIDE : ne pas trop chercher le détail, il faut lire le texte avec
une certaine globalité : j'ai pris mes 5 bouleaux réunis
pour une caravelle voguant vers un pays imaginaire.

THEDREAMER : merci de ton passage, c'est un sonnet qui se lit
tout d'un bloc.

ANJE : bravo, écrire un texte sur un mûrier avec des vers à soi
est un beau calembour et une belle gageure.

CRISTALE : ce mot déchirure m'a posé quelques soucis. Au départ,
le vers était : il sentit pour toujours sa misaine s'abattre. Mais je sentais trop la cheville avec ce toujours, ce pourquoi je l'ai changé.

JFMOODS : merci de vos analyses toujours très détaillées.

MIGUEL : merci de votre passage et commentaire en attendant
de vous lire.

Bonne fin de journée.

H

Merci Hananké pour ce retour sur commentaires.

Je vous confirme que le mot "déchirure" à brûle pourpoint en début de vers est vraiment celui qui correspond le mieux à l'image et au bruit de la cassure puis de la chute de l'arbre. Votre choix est judicieux.

Bonne soirée à vous,
Cristale