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Un grand Merci au Comité éditorial d’Oniris pour avoir accepté les déambulations de ce petit animal que j’ai découvert un jour à deux encablures de chez moi.

Merci également à ceux du Groupe de Lecteurs, tels que :

@Iolédane : Aïe ! Aïe ! Aïe ! « À l’heu-RE….ulule ». Il y a des moments où je me mettrais bien des baffes, moi ! Quant à votre proposition : « Il fouille du museau ». Je vais de ce pas l’adopter. Bravo pour ce trait d’humour... « qui ne manque pas de piquants ».

@Miguel : bien d’accord avec vous à propos de la note négative du dernier vers qui n’était là que pour finaliser ce poème car je n’avais rien d’autre à me mettre sous la dent… Erreur suprême de ma part, dont pourtant j’avais bien conscience en l’écrivant. Suis bête !

@papipoete : toujours à propos de ce « tremblement » je constate que –tout comme Miguel- vous êtes un spécialiste du hérisson et ça me plaît bien que tous deux m’ayez souligné cette balourdise.

Merci aussi à tous les lecteurs et aussi aux commentateurs :

@Hananke : « Ah ! si c’était moi qui avaiS 2 inversions pour la rime dès le premier quatrain qu’est-ce que j’aurais pris ! ». Mille Mercis pour ce trait courroucé qui m’a fait partir d’un bon rire bien franc et auquel, si j’osais, vous proposerais bien d’ajouter un NA !… Surtout très cher, ne changez rien, car vous pourriez gâter votre délicieuse âme d’éternel enfant bougon patenté… qui, d’emblée, m’a rappelé l’amphi de Mat..ernelle Sup… érieure dans lequel nous aimions tous à chahuter.

@Donaldo75 : pour ce qui est des Palmes Académiques, il est vrai que ce n’était pas le but recherché. Merci pour cette constatation de votre part, tellement vraie et pleine d’humour. J’aime écrire simplement, sans m’encombrer de fioritures ni ampoulatures (Ah ! Bon, ça ne se dit pas ???).

@sympa : Oui, les chiens en sont curieux, j’ai pu observer cela aussi ; mais, piquants obligent, n’en sont heureusement pas friands. Merci d’avoir trouvé la lecture « agréable, originale et intéressante ».

@Cristale : Merci pour votre « dodelinage » et pour cet admirable jeux de maux/mots à propos des vers/vers.

@Ange : « bébérisson »… J’adore cette expression. Bravo ! pour cette belle trouvaille… et aussi pour la ressemblance avec la « Bogue de Châtaigne »…

@Robot : votre « beaucoup » pour ce petit animal que vous semblez vous-même adorer, m’est allé droit au cœur. Un grand grand Merci !

@Luz : un grand Merci également pour « géniale l’image » Quant à votre hérisson, il se pourrait bien qu’il ait élu domicile du côté de la maison voisine…

@Lebarde : votre élogieux commentaire, tout comme l’histoire à rebondissements à propos du hérisson de votre petit/grand dernier, me ravissent. Je constate, une fois de plus, que vous faites partie de ces randonneurs soucieux d’apprécier la nature et pas occupés uniquement à contempler leurs pieds.

@Provencao : vous avez trouvé ma poésie merveilleuse par sa justesse et sa simplicité… N’en jetez plus… vous êtes parvenu à me faire rougir. (Mais entendre cela de votre part.. encore et encore, ne serait point pour me déplaire).

@Blase-SaintLuc : Blase, mon bon Blase, si je vous ai gardé pour la fin, c’est que j’aurais, si j’osais, -mais je vais oser quand même car je vous trouve beaucoup de fiel- à mon endroit, deux trois mots à vous dire. Je vous cite :

-« Lorsque le ciel obscur noircit le potager »

Mouais ! Mouais quoi ? Si vous n’aviez pas été inspiré par des commentaires susdits… j’ai dans l’idée que vous n’auriez pas fait ce Mouais de mépris ! Eh bien, figurez-vous que tout compte fait, je vais le garder tel quel ce vers-là, car il me plaît bien… à moi.

« Les saisons sont bien vite envoyées » : Je vous signale quand même que ce n’est pas un poème sur les saisons que j’ai fait là, mais un poème sur un petit animal qui, dans le cas contraire aurait demandé une rallonge de plusieurs quatrains, et dont vous n’auriez pas manqué, à tous les coups, de me reprocher la longueur…

« …si ce n’est la sympathie pour l’animal, je me sentais la plume plus sévère ». (Bonjour la concordance de temps !). Ben dites-donc, que voilà une langue bien acérée que la vôtre. Que vous ai-je donc fait pour mériter autant de bile ? Eh ! bien, je vous répondrai ceci : puisque vous n’êtes pas plus sympa que cela, je sens que ma plume sera FRANCHEMENT plus sévère que la vôtre, surtout lorsque je vois de quelle façon vous martyrisez la conjugaison et la grammaire françaises (que je vais de ce pas corriger, ne vous déplaise !).

« Que voilà un gentil hérisson qui s’esbaudiT… baladant Ses piquants… ». (Et encore, je ne parle pas de la ponctuation… la virgule b…. )

CQFD. Il faut balayer devant sa porte avant de l’ouvrir…

NB. Pour tous. Si j’ai tant tardé à faire paraître « mes remerciements à propos du « bébénérisson », c’est parce que des miennes et miens très bons amis ont sollicité ma participation à la confection de masques en tissu, et destinés à nos amis soignants de l’hôpital de ma région… de VRAIS HUMANITAIRES, envers lesquels j’ai une immense reconnaissance, pour le dévouement sans mélange dont ils ont fait preuve il n’y a pas si longtemps envers un très proche de ma famille que j’adorais, tout ça pour un dénouement fatal, malheureusement. Je suis inconsolable, bien entendu, mais je me dis aussi qu’ils ont vraiment fait tout ce qu’ils ont pu.

PS. J’en suis à mon vingtième masque, mais je ne vais pas m’arrêter là, même si la crampe du couturier se fait déjà sentir.

Le copier coller ne me réussi pas en ce moment , mais j'accepte volontiers le retour de " bâton" . Sans doute un jour de rédaction plutôt réac , jamais aussi accide d'ordinaire, rien contre vous en tout cas.ne le prenez donc pas de travers , encore un hérisson victime d'un chauffard.

PS: l'appréciation est : bien- ce qui n'est pas si mal vu la moyenne des commentaires le (-) devais ce justifier dans le commentaire voilà tout.

Bon si la correction ne prend pas , forcément !

Devait se ...