Un grand merci à tous les godets qui viennent alimenter Oniris, même ceux qui sont là depuis longtemps !
Et de façon bien plus sympathique, merci à tous ceux qui passent du temps à commenter, alors qu’on n’arrête pas de leur taper dessus en forum.
Par contre, ceux qui ne commentent quasiment pas…

Bon, revenons à nos oignons dans le champ de Mateus.

Je pense que tous ou presque ont compris que c’est l’histoire d’une rencontre entre deux mondes différents. C’est le point qui m’intéressait, même si certains trouvent que le texte devait continuer, je ne le pense pas, quant à moi.
J’écris souvent sur des instants.
Peut-être parce que j’aime plus capter un départ de quelque chose plutôt que m’étaler sur l’après.

J’ai des Mateus plein autour de chez moi, à des degrés divers d’entêtement. Et il y a aussi des projets malvenus...
Je suis étrangère deux fois : pas du pays, pas du village non plus. Il a fallu un certain temps pour qu’on se comprenne, au-delà de la langue. Mais j’ai découvert des gens modestes, à qui c’est pas la peine de raconter des salades, et qui sont d’une grande générosité quand ils se sentent respectés pour ce qu’il sont, pour ce qui fait leur vie. Des gens pas bousculés non plus, ils ne cherchent pas à « trafiquer » le rythme de leur vie.

Merci à tous ceux qui sont venus lire/commenter, c'est un plaisir toujours renouvelé :
Plumette, Animal, Cherbiacuespe, Marité, Sympa, Stéphane, Luz, Corto, Ours, maria, Donald, Plumedeplomb, in-flight, tundrol, et pour finir en beauté, Papipoète !

À une prochaine à tous !

Ouais, ça parle de vrais sentiments - ou de sentiments vrais - là où vous êtes, et les gens ne trafiquent pas les valeurs - ni d'ailleurs les salades. Merci hersen pour ce commentaire plein d'humour, ce que j'apprécie chez vous. Faut se battre pour les causes justes, quoi ! Allons-y à Bruxelles, et plantons-leurs des choux !

Bonjour Hersen,

La godette ( 2 ans d'ancienneté) vous remercie de votre retour sur commentaires.

Bonne soirée

Oui, Sympa, entre godets(tes)on se comprend tout de suite mieux

Le plus marrant, surtout pour Stéphane qui veut aller planter des choux à Bruxelles et qui, donc, voit plus grand, c'est que Mateus habite un pays de norias (nora dans sa langue).
Alors les godets, c'est pas ça qui va déboussoler notre Mateus sur ce fil. Pour tout dire, il se sent même comme chez lui (et j'ai bien peur qu'il en tire une certaine vanité).

On est pas bien, là ?

Quoi? Ce sont deux mondes qui se rencontrent? Aussi, on me dit rien à moi, alors je découvre...

Blague à part, ces confrontations amènent aussi des situations ubuesques ou violentes. Les points d'ententes n'étant pas toujours très nombreux, ni évidents.

@Cherb, oui, tu as tout à fait raison, ça se passe quelquefois... très mal !

ou très bien...
J'avais 12ans quand nous avons emménagé dans un village aveyronnais.
Notre Matheus à nous était marié. Au début (très peu de temps car ils avaient autre chose à faire que de nous bouder !) ils se sont comportés comme dans ton histoire. Et comme dans ton histoire, ils nous ont très vite acceptés dans leur vie.
Une belle et solide amitié est née entre Mme Matheus et ma mère beaucoup plus jeune qu'elle. Elles ont beaucoup appris l'une de l'autre. Leurs échanges n'avaient pas de prix. L'une cousait pendant que l'autre plumait le poulet qu'elle allait lui donner...

Pardon, je m'éloigne trop de Fracture. Mais je voulais te dire, hersen, que ton texte m'a fait revivre des moments forts et plutôt heureux. Merci.

Citation :




Oui, j'ai vu le topic de l' "autre" sur la noria et les godets, les plumes et les "passionnément" ; sympa, surtout quand on sait qu'il est pas mal plumé grâce aux passionnément qu'il a reçu

@thierry,

Rhôôô, nous sommes dans un cas avéré de copinage

Donc, tu n'as pas aimé que le texte fasse 1950 ? Tu n'en vois pas l'utilité, ceux qui vont à la campagne sont forcément des bobos ?
Le ton de la fracturation hydraulique ne cadre pas ici ?
J'ai déjà ici aussi écrit sur un projet pétrolifère. Il me reste le mining et les cultures hyper-intensives d'avocatiers qui pompent l'eau des nappes d'un coin voué à l'aridité d'ici peu.
là, du coup, ça ferait Steinbeck 1930 avec des travailleurs gagnant à peine de quoi se nourrir.
Finalement, bien peu de changements dans un monde gouverné par nos politiques hilarants !

Nous faillons (pour rester dans un langage désuet) l'un et l'autre par nos oeuvres respectives du moment : ouvrir l'autre à son monde.

à une prochaine ?

Nous n'y verrons bien sûr qu'une insigne coincidence.




Pouet qui ne sait faire les trémas qu'en juillet...