Merci à toutes et tous pour ce temps passé à me lire et commenter. – Il m’est toujours difficile d’extraire un poème plutôt qu’un autre sur les 500 écrits depuis 2014 l’année de mon entrée dans la poésie. Essayant de varier un minimum les thèmes des textes que je présente sur le site, j’ai choisi ce sonnet « philosophique ». –

Anje,

Oui, beaucoup écrivent en poésie la larme à l’œil. Pourquoi pas, mais, point trop n’en faut. Je peux aussi bien écrire avec le sourire et l’espérance. Les deux me conviennent.

Gabrielle,

Ce poème n’évoque pas nécessairement le temps contemporain et peut s’appliquer à toutes les époques. Traverser l’existence en tachant de faire de son mieux pour garder le cap sans nuire à quiconque. Je ne peux rien écrire que je ne pense foncièrement.

Hananke,

Oui, positif ! Alerte, vif. Oui, également. Je tente toujours de jouer sur la musicalité des vers (sachant qu’à trop jouer sur ce point l’on peut en poésie, trébucher).

Sympa,

Merci ! C’est ainsi qu’il faut essayer de vivre.

Bonjour Papipoete,

Merci. Oui, garder une certaine sérénité face à l’existence.

Hiraeth,

Je conçois que l’on puisse vouloir entendre un autre ton pour exprimer une idée. La palette des tons que j’emploie lorsque j’écris, je le crois, est assez variée. J’essaie d’éviter la monotonie dans mes poèmes, tant par le travail sur les thèmes que sur la musicalité et le lexique. Cette fois, le ton ne vous a pas plu. Lisez d’autres poèmes…

Provencao,

Ne soyez pas désolée, il faut parfois si peu pour apprécier ou ne pas apprécier un texte.

Bonjour Eclaircie,

Le texte faisant appel la plupart du temps à l’exclamative et l’interpellation du lecteur, il m’était assez difficile de ne pas utiliser justement le point d’exclamation ou d’interrogation. Pour ce qui est de la scansion, j’avoue l’aimer en poésie. Briser le rythme linéaire de l’alexandrin comme il est écrit par beaucoup m’amuse et j’y prends un plaisir coupable.

Miguel,

Merci. Oui, c’est vrai « le lyrisme est très souvent larmoyant ! » (trop souvent). J’avoue m’ennuyer devant une poésie qui ne voit que le mauvais côté des choses et singe le spleen de certains auteurs passés.