Je viens une fois de plus remercier tous ceux qui ont participé au chemin parcouru par ce texte.
Outre les remerciements habituels, mais à chaque fois sincères, envers tous ceux qui font tourner la machine derrière le rideau, je remercie les lecteurs, et les commentateurs.
Plumette, Don, Isad, placebo, maria, pouet, papipoète, ours, Babefaon, sympa, Corto, Yannblev, Alfin, Solo.

Je ne vois pas quoi ajouter, c’est un thème qui ne demande pas grand-chose de plus et vous m’avez fait la sympathie de commentaires beaux, touchants.

Après coup, je me dis que, si j’avais connu le thème du prochain concours, j’aurais gardé ce texte pour illustrer « Demande à la poussière » !
Je vais essayer de trouver autre chose.

À bientôt vous tous !

Merci pour ce retour, chère hersen !


Et bonne chance pour le concours...


solo

Solo, ah ah ah, ne mets pas les mots avant l'encre, je n'ai encore rien comme idée... ou à un stade tellement larvaire !

Lulu,

Oh, ben ça, t'es enfin revenue !
Bien contente de te retrouver parmi nous !
Et merci pour ton commentaire, tout à fait en accord avec mon idée d'écriture.

à tout bientôt de te lire ?

Salut Cat !

Une belle surprise que ta lecture assortie d'un com sur "Folie douce" !

C'est un pétage de plomb en douceur, un réagencement de ses nuits.
La résilience, en quelque sorte, en regardant du côté positif, puisque le bleu soleil revient chaque matin.

Merci d'avoir dit que la lecture t'a touchée !

des chocolats ? fait trop chaud, c'est tout fondu.

Alors des fleurs ? Oui, mais c'est périssable. :(

Alors un cadeau ? Oui, c'est ça, c'est bien , un cadeau

Coucou, hersen !

Désolée de ne pas t'avoir répondu plus tôt. Je suis nettement moins assidue qu'au temps jadis, sans parler de mes petits-enfants qui accaparent beaucoup de mon temps d'été.

Je n'ai jamais très bien compris ce qu'était la résilience, en fait. ;)

Tu me diras, c'est bête, je n'ai qu'à consulter les sages qui savent, mais j'aime à penser que le mot vient de résilier. Comme résilier le contrat qui nous tiendrait accolé à la souffrance dans son merveilleux malheur.^^

Vas savoir s'il serait d'accord avec ça, Boris (?)

Pour le chocolat, tu as raison, il fait trop chaud. il va se barrer en cacahuète...
Quant aux fleurs, si tu le veux bien, laissons-les vivre leur vie de fleur là où elles sont nées. (en vrai, j'aime pas les couper, ça les rend encore plus vite périssables).
Alors va pour le cadeau. Même si je ne suis pas très à l'aise avec les cadeaux.
Ou bien le cadeau de te relire encore...


Cat

NB : chouette, j'avais tout bien compris ton histoire !

Epitaph,

Bonjour et bienvenu sur le site (tu peux aller te présenter au salon d'accueil)
Merci beaucoup d'avoir été sensible à "Folie douce". tes mots me vont droit au coeur !

Je suppose qu'on aura bientôt l'occasion de te lire ?

Plumette,

merci de ton com et de ta lecture.

Je comprends que tu n'as pas tellement aimé, je n'ai rien à dire pour me défendre :)))
Je suis par contre d'un avis différent en ce qui concerne la dispute au tél. Il me semble que chacun est excédé de son côté (Michèle est aussi très occupée ce soir-là) par trop de choses à gérer. C'est pour moi plutôt dans ces moments que ça pète, plutôt que des moments où tout roule (si je puis dire !)

le dialogue intégré : je l'appelle... le dialogue intégré. Je pense que d'une certaine façon, ça peut être très déroutant pour un lecteur peu habitué, car on va de la narration de l'histoire aux pensées et questions du narrateur. Cela fait faire une gymnastique au niveau des temps, forcément.
J'aime beaucoup écrire de cette façon, quand ça colle bien avec le rythme que je veux donner.

Oui pour la "sortie de route". Chacun sort comme il peut, complètement, à moitié avec des tonnes de compromis, ou simplement laisse pousser une graine qui saura lui dire, le moment venu, qu'il est temps. (cela explique qu'on en soit déjà à 137 sur ce tronçon )

En tout cas, merci pour ton passage !

hello Hersen,

Merci pour ta réponse à mon commentaire.

Mais il me semble que ce n'est pas le bon fil!

Oups, j'ai bugué

Je transfère ma réponse sur le bon fil !

salut Widjet, re.
Décidément, tu visites de la cave au grenier ! C'est ça que j'aime bien sur oniris, c'est facile de trouver les auteurs et d'aller lire leurs écrits plus anciens.
j'ai un gros faible pour ce texte-là, et j'apprécie ta remarque qui me fait cogiter. Est-il vrai qu'un mec taiseux ne serait pas capable de dire : C'est pour ça que je t'aime ?
je ne sais pas, l'instant, la soirée, ont une gravité qui peut-être pourrait le faire sortir de sa coquille, forçant un instant de vérité ?
Un grand merci !