Bonjour à tous,

Merci infiniment pour chacun de vos retours. Ils me sont précieux.
Et un immense merci à toutes les divines forces qui font tourner ce site et ont permis le partage de ce poème. Vous êtes des héros.

Anje :
En effet, faire prétendre ce poème à la catégorie classique, c'est un peu comme un genou qui se tombe : ça ne veut pas dire grand-chose, et ça ne prendra pas.
Merci de l'accueil que vous faites à cet avant-dernier vers, je craignais qu'il n'en rebute certains ou ne soit mal compris. Vous avez - au moins partiellement - écarté ces deux frayeurs.

Lebarde :
Je rhabillerai mes "il y a" pour la prochaine fois.
Un grand merci à vous.

Loledane :
Pour les 6ème, 9ème et 10ème vers, les alternatives que vous proposez m'avaient effleuré, je leur avais préféré cette version avec plus ou moins de conviction.
La tournure "que l'on garde à la gorge" me semble justement trop élégante (mais si), trop fluide pour un vers qui doit racler un petit peu tout de même.
À nouveau, l'ego de cet avant-dernier vers est réconforté. Il vous en remercie.

Papipoete :
Comme il est agréable de s'imaginer avoir inspiré ces trois premières lignes que vous m'écrivez ! Les poèmmentaires de Monsieur Papi en disent long sur ce que peut susciter un texte !
Le 8ème vers a longtemps été "Étouffer malgré nous ce qu'on a de rancœur". Peut-être est-ce plus clair ?
Vos remarques sur les 10ème et 12ème vers ne m'arrangent pas du tout, moi qui pensais être fixé !
Ravi que mes mots soient passés par votre balance !


L'idée de mettre ce texte en chanson m'est venu pendant son écriture et a grandement transformé la seconde partie du poème.
Je serais évidemment enchanté de profiter de vos avis de mélomanes et je laisse ici un enregistrement, assez minimaliste ma foi (mixer, c'est tricher), de cette chanson.

https://drive.google.com/file/d/1C--jczzuER0N89Tatok5rg5RwGK8a8t-/view?usp=sharing

Cordialement,
Basile

en chanson, c'est encore mieux avec les mots susurrés, et ceux qu'avec talent vous criez !