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1 Utilisateur(s) anonymes
Maurice vous remercie |
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Maître Onirien
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16/05/2013 09:00 Groupe :
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Je remercie ici les décideurs, lecteurs et commentateurs qui se sont intéressés à ce texte.
Je ne prenais pas trop de risques avec ce sujet où le brave coq, symbole des traditions rurales, n’avait que le tort d’être un coq. Difficile de le lui reprocher. D’un autre côté, c’est à tort qu’on a cru les plaignants citadins. C’était un couple d’agriculteurs. Comme relevé par Bellini, et Mokhtar le vers « Qu’en fut-il s’il eut perdu » est faux dans sa concordance des temps. Merci pour la rectification. Je reconnais aussi que la fin est bâclée. En fait, je voulais faire valoir la double personnalité typiquement française : le coq avec sa fierté cocardière qui nous représente parfaitement, et l’impénitent râleur que nous sommes tous. Je n’ai pas trouvé les bons mots pour en faire une sorte de morale ou une fin plaisante. Pour l’histoire, je vais parfois rendre visite à mon frère qui habite dans un petit village juste en face de l’église. Quelle joie de visiter la France profonde ! L’horloge sonne les heures, cela s’admet, mais elle sonne aussi les quarts d’heure ce qui fait ronchonner les gênes de Gaulois qui somnolent en moi. Pour avoir vécu dans une maison entourée de coqs (pile sous la fenêtre au rez-de-chaussée), je suis papipoète sur le chant aléatoire de la bête. Un phare de voiture suffit. J’attends désormais une plainte qui fasse le buzz pour faire une fable sur les aboiements des chiens. Encore merci à tous pour vos retours.
Contribution du : 09/11/2020 20:15
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