Salut l'Onirie!

Un remerciement habituel, mais toujours sincère, au CE et autres correcteurs ayant permis la publication de ce texte.

J'avoue ne pas être un champion de l'explication de texte, ni des "justifications" en tout genre.

Que dire?

Le poème n'est en aucun cas autobiographique, mais certainement pas fictionnel non plus.

En ce qui concerne mon écriture, les pronoms personnels ne sont là que pour donner un angle, l'auteur pouvant tout aussi bien (mieux) se planquer derrière un "il" que derrière un "je" à mon sens.

Après bien sûr que mes "idées" ou ma "vision du monde" (le grand mot) se retrouvent en partie au fil des lignes.

Le texte est peut-être une "intime généralisation", ou un universalisme ego centré...

Il ne s'agissait pas tant de faire dans le philosophique que dans le métaphorique, de "jouer" sur les contradictions, les clichés, les "faits"...

Voilà ce que je peux en dire, j'ai lu avec attention vos commentaires que j'ai trouvé fort pertinents, parfois touchants.

Je peux enfin répondre à une question qui se pose dans deux commentaires concernant mon âge: j'ai poussé mon premier cri gris un matin strident de l'été 81. (je laisse aux matheux le soin de faire le calcul...)

Merci beaucoup à Queribus, Bellini, Arsinor, Angieblue, Luz, Dugenou, Eclaircie, eskisse, Lulu, Provencao, Corto, Vincente, dream, Cat de m'avoir laissé vos impressions.

Je sais plus qui a dit une connerie du genre :
« Je suis jeune il est vrai, mais aux âmes bien nées,
La valeur n’attend point le nombre des années »
En plus, je l’ai encore joué l’année dernière.

J’ai affiché votre poème dans mon bureau, je l’ai là, en face des yeux. Des fois, il me donne envie de me flinguer, puis dès que je bois trois Pastis et que ma femme m’appelle pour préparer le repas, je me dis que ça vaut pas la peine de tomber dans l’escalier.
Quarante balais
Pfffff… On est des vrais gamins, tous les deux !
Bellini

39, Bellini, 39...

Le flingue ce sera pour le cap, que dis-je la péninsule de la quarantaine!

Heureux hommes qui avez encore presque trois vies devant vous!

Lebarde au cinq sixième de la sienne, et encore si tout va bien!

Bonjour Bellini... "la connerie" à laquelle vous faites allusion est de Pierre Corneille. Mais je pense que vous le saviez déjà depuis lurette...

Eh ben, ça respire la joie par ici !


Citation :
139 ans a priori, c'est vrai que c'est plus tout jeune... ben oui, faut préciser le siècle, j'hésite entre 1781 et 1881. T'es soit un hobbit soit une tortue géante des Galapagos. Compliqué les maths...

Meuh non, m'enfin, il voulait venir serrer la paluche à Mitterrand ! (Dont je viens de voir que son nom comportait deux R.)

Pff... bellini, pouet, vous n'êtes que des d'jeunz... moi le flingue je le réserve pour la cinquantaine ! (Encore six ans à tenir)

je ne sais pas ce que je viens faire dans votre bac à sable.!
Je retourne définitivement dans mon fauteuil.
Pour me consoler je me dis que ce qui est fait n'est plus à faire!

Lebarde résigné

Coucou Pouet,

Tu mets en général combien de temps pour écrire un texte?
Tu y reviens plusieurs fois? Tu laisses mijoter? Tu t'arraches les cheveux (apparemment, tu dois encore en avoir... ), tu te lèves la nuit?
Et l'inspiration, comment surgit-elle et à quelle fréquence?
En gros quel est ton processus créatif?
Bien sûr, tu n'es pas obligé de me répondre. Je suis peut-être indiscrète, et tu as évidemment le droit de garder le secret concernant ta relation avec ta muse .