Déjà un grand Merci pour vos interventions ! Car chaque intention positive ou non, mérite plus de la considération que les affres de l’indifférence.
Je pense qu’il n’y a pas vraiment de poésies si hermétiques qu’on veut bien l’entendre. Parfois, et j’imagine que j’ne suis pas le seul, il m’est arrivé de lire un poète où j’n’étais pas en accord en termes de sensibilité, puis avec de la patience, les contingences ainsi que l’expérience, j’comprenais… saisissais dans l’infime silence de mon cœur les mots étalés dudit poète comme une pure évidence.
Là où la poésie se fait l’instrument d’Apollon, j’la donne tel un vin sacré à Dionysos dans l’espoir qu’elle se bonifie dans le cœur des hommes.
Ô, mes chers amis, j’ai choisi de ne plus faire de la poésie à l’époque de mes premiers élans, mais d’inscrire des cris… que des cris avec l’espoir qu’il y ait des ponts d’humanité au-delà de tout horizon ! Le poète, en plus de se faire voyant, se doit d’être à sa façon un prêcheur du désert sur la multitude de la condition humaine.
Sur ce, j’vous souhaite de bonnes fêtes !