Bonjour à tous

Et comme de coutumes, un grand merci au C.E. du site pour avoir
accepté la parution de ce texte.

Comme je tiens beaucoup compte des avis des commentateurs,
je ferai quelques changements dans la prosodie de ce poème :

Le vers 4 deviendra :

D'immobiles vapeurs sans nébulosité, pour signifier ce ciel
empli de nuages d'altitude qui lui donnent une couleur pâle
tamisant les rayons du soleil, propre à notre région à cette époque
de l'année.

Le vers 14 :

Qu'elles suivaient sans doute avec fidélité, doute et anxiété faisant
pléonasme.

Le quatrain 5 sera beaucoup changé, également, je le reposte
en entier :

Énigme de la Vie ou secret naturel
Que ces oiseaux volant vers la terre promise
Au mépris des climats à l’humeur indécise
Pour faire tous les ans le même rituel ?

Pour signifier que, malgré le changement climatique, les grues,
invariablement, partent et reviennent aux mêmes saisons.

Par contre, je garde le trottoir de mes rues car c'est une vérité :
tous les jours j'arpente mes rues, mes sentiers, ma campagne
ou ma ville en recherche de l'inspiration.
Et je n'y peux rien si rues riment avec grues.

Voilà, comme souvent, des lecteurs ont aimé et d'autres moins
mais je les remercie tous d'avoir pris de leur temps pour commenter
ce texte et surtout de m'avoir aidé à le rendre meilleur.

Bonne journée.

H

Bonjour et merci Myo de votre passage devant mes grues.

Elles descendent bien moins loin que dans le temps et dans
les grandes étendues céréalières du Cher, on en voit encore plein
qui picorent les restes de graines.

Cordialement.

H