Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes



(1) 2 3 4 »


Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 11692
Hors Ligne
Merci au CE et merci à tous ceux qui ont lu ou commenté ce texte : je sais bien le temps et la disponibilité que cela nécessite.
J’espère apporter un peu de lumière pour vous éclairer dans cet apocalypse.

Ce poème a trois sources d’inspiration.
Il aurait pu être un écrit (un de plus!) sur le confinement car j’ai d’abord composé le dernier quatrain au printemps dernier, portée par le sentiment étrange de ne plus reconnaître mon quartier, rues mortes, jardins assoupis, un saisissant contraste avec la sereine, placide indifférence des chats que je regardais vivre.
Le reste est venu ensuite.
D’abord d’un tableau, un de ces pastel/fusain que j’affectionne particulièrement, un joli tableau d’atmosphère, qui ne dit rien et titille l’imagination.
Enfin de cette excellente série française post-apocalyptique, mystérieuse, dystopique : « l’effondrement ».
D’où l’exergue, d’où le titre, lui-même étant aussi, comme l’a finement relevé Bellini, un clin d’oeil cinéphile à Coppola et à cette fable délirante sur la guerre du Vietnam qui ne fait rien de moins que dépeindre un monde où personne ne se retrouve.

Et pour aller un peu plus loin, ce vers :
« Le monde ainsi tapi présage l’imminence »
c’est ce qu’il veut traduire aussi. Cette impression de se sentir piégés, tapis comme des animaux apeurés qui pressentent un danger, impuissants face à ce truc inimaginable auquel on n’aurait donné aucun crédit seulement quelques mois en amont.

Que vient faire la sinsemilla dans tout ça ? Pour rester dans l'univers de Coppola et la remontée halluciné d'un fleuve ? Pas sûr que j’y aie pensé. Ce mot, je le voulais, c'est tout. J'adore ce mot, son signifiant, son « image acoustique » comme dit F. de Saussure. Il chante et il enchante ; dans un ciel au couchant, c'est une soleà à lui tout seul. Pour le reste, son sens, son signifié, c'est vous qui voyez, ça n'engage que vous!^^
Quant à « l'inconnu » du v. 8, faut-il préciser qu'il ne s'agit nullement d'un être humain mais bien de cet obscur, énigmatique et angoissant temps à venir.

Pour en finir avec les généralités, je reconnais que
« sur le parquet glissent des ombres languissantes » est le plus mauvais vers du poème. Après coup, je le trouve raté.

Gemini : vous avez « un peu » aimé, c'est déjà ça et c'est bien de le dire. Vous avez trouvé le titre racoleur et sans rien de commun avec le reste, peut-être que mes explications vous auront un peu plus éclairé ? Idem pour « sinsemilla ».

papipoete : comment ça un bordel ma piaule ? Quelles jolies choses bien psychédéliques tout cela vous a donc inspirées ! On sent la babacoolie d'époque là-derrière ! Ceci dit, vous m'avez fait regretter de ne pas y avoir associé Pink Floyd aussi. Faudra que j'y pense !

BlaseSaintLuc : « C'est l'ultra poétique à l'oméga d'un monde en métamorphe ». Merci pour cette définition. J'adore la phrase. Elle me donne le sentiment d'être sérieuse. Ce que je suis, évidemment, vous n'en doutez pas j'espère . Vous avez senti que la dernière strophe se détachait des deux autres. Comme je le disais, c'est celle qui a été écrite en premier, avec un intervalle de plusieurs mois, plus un déconfinement et un reconfinement.. Ceci explique sans doute cela.

Angieblue : Je te remercie pour ton passage Angieblue. Nous avons sans doute en commun une façon de sentir les choses car franchement c'est avec une vraie finesse que tu t'es approchée de mon poème. Tu en as capté l'atmosphère telle que je souhaitais l'exprimer. Et de plus,évoquer le côté cinématographique et le mouvement ralenti de la caméra...un plaisir !

Au passage Angieblue : je sais que c’est un sujet qui te préoccupe : les plumes. Vois-tu que je n’en ai aucune malgré les quelques « passionnément » qui m’ont été attribués? Je dirais même plus : j’en ai eu une qui depuis a disparu ! Je ne focalise pas ; les commentaires n’importent-ils pas plus que les plumes ?

Robot :
Merci pour votre passage. Pour le dernier vers que vous évoquez, j'espère que mes explications ci-dessus vous ont paru claires. Sinon, on en discute, pas de souci.

Arsinor : Merci à vous aussi. Je vous fais à peu près la même réponse qu'à Robot sur le choix de l' « apocalypse ».

Animal : Comme pour papipoete : quelle extrapolation ! Mais pourquoi pas après tout ? C'est d'ailleurs bien ainsi que je vois les choses : j'écris, à vous d'y voir ce que vous voulez y voir. On ne devrait jamais avoir à s'expliquer en tant qu'auteur de poésie, mettre à nu ses méninges et ses émotions. C'est juste un partage et après, le texte vit sa vie tout seul et le lecteur en tire ce que bon lui semble. Mais voilà, c'est ainsi...

Bellini : Eh bien, j’espère que vos biscottes n’ont pas attendu trop longtemps ! Venant de vous, ces éloges sur mon écriture m’impressionnent. (Et désolée pour la cacophonie chuintante...) De plus, quel plaisir de partager une discussion cinéphile avec un connaisseur ! Vous ne vous trompez pas, c’est bien au colonel Kurtz de Coppola que je fais allusion. Pas seulement en fait. J’ai surtout voulu écrire une atmosphère et ce qui m’est venu spontanément à l’esprit c’est celle qui plane sur tout le film, collante, étouffante, angoissante parce que pleine d’incertitude sur ce qui peut advenir à tout instant et parce que notre vie est devenue un voyage hasardeux sur un petit bateau vulnérable… De là à comparer mes chats avec le tigre (« Un tigre, c’est un putain de tigre ! »), c’est un pas qu’il ne faut pas franchir quand même !
Pour le reste, le Nirvana now^^, je vous laisse libre d’imaginer ce que vous voulez, à l’instar de papipoete...mais peut-être les heures sépia qui me font planer ne touchent-elles d’autre sens que la vue ?
En tout cas, soyez rassuré Bellini, j’essaierai de ne plus venir vous hypnotiser, ni de perturber votre petit-déjeuner.

Cristale : Merci de ton passage ! Toi aussi tu trouves de l’exagération dans le titre ? Je suis peut-être excessive mais dans mes moments de pessimisme à l’extrême, il m’arrive de penser que voilà, c’est arrivé, la terre se débarrasse de ses hôtes de peu de reconnaissance, des toxiques que nous sommes devenus. Ça n’est pas politiquement correct de dire ça sur Oniris ?
Je te laisse encore un peu sur ton nuage, Cristale, et sache que ton ramage est aussi magnifique et délicieux que celui de Bellini.

Quidonc 
: J’apprécie énormément votre interprétation et le sentiment que vous me faites partager. Oui, bien sûr, qui aime les chats sait très bien qu’ils sont le yin et le yang de l’espèce animale, tout ce qui s’oppose et se complète, tout qui interagit en permanence et crée le principe de la vie, le grand principe du Tao. De là à penser qu’après...ça n’engage que moi !
Merci infiniment Quidonc.

Cat : Cat, chère Cat, toi qui me comprends si bien ! Bien d’accord avec toi : que de musique, que de couleurs, que de voyages dans ces deux mots : sépia et sinsemilla ! Ils font partie de ces mots dont je suis amoureuse, moins en tant que vocable que pour leur puissance phonique d’évocation. « Canopée » par exemple est de ceux-là, de ceux qui m’enchantent. Mon univers, oui je sais que tu le partages et ce que j’aime particulièrement, c’est de savoir que pour toi peu importe de connaître la vraie histoire. Le vrai partage, il est là. Dans ce que tu me dis ressentir d’émotions en me lisant. C’est le vrai bonheur pour moi.
Mais qu’est-ce que vous avez toutes avec Bellini ? Je t’assure, ton commentaire regorge de richesse et de sensibilité, autant que le sien !

Castelmore : Un passionnément vous aussi ! Merci infiniment. Et vous êtes bien trop modeste en parlant de différence poétique. Votre écriture ne manque ni de musique, ni de belles envolées. Quant à la dystopie, il semble que les définitions divergent à son sujet. Moi, je l’envisage comme le contraire de l’âge d’or. Comme quelque chose qui peut se dérouler dans un monde post-apocalyptique (cf. « L’effondrement »), après que l’humanité a été malmenée par une catastrophe. Cela ne devrait-il pas nous amener à réfléchir sur les menaces que nous faisons peser sur notre environnement et par-delà, sur nous mêmes ?

Miguel : Je suis désolée si mes vers n’ont pas été assez explicites. Je reconnais que j’ai une tendance à être parfois un peu hermétique. C’est sans doute un défaut pour qui aime tout comprendre. Mais je suis ainsi et comme je l’ai dit plus haut, c’est ma façon de privilégier l’essentiel, le ressenti et le libre cours à l’imagination. Je vous remercie d’avoir pris la peine de me commenter.

Provencao : Merci à vous également d’être passé ici. Je dois vous avouer que je ne comprends pas bien ce passage : « J’ai bien aimé ce quatrain où, en -deça de l’instance, « le jour qui renaît » ne semble pas être assimilé à un mouvement des sens mais en lien d’un existant avec lui-même ». Je serais heureuse que vous m’éclairiez sur ce point.

Merci à vous tous pour tous ces mots posés sur un poème somme toute pas très gai mais qui s’est imposé à moi après un long temps de non écriture.

myndie

Contribution du : 27/01/2021 16:23
_________________
"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Expert Onirien
Inscrit:
21/06/2020 15:07
De Béthune
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Groupe de Lecture
Post(s): 3604
Hors Ligne
Coucou myndie,

Oui, j'ai bien compris que les plumes révèlent plus le ressenti général sur un texte, la manière dont il va être appréhendé et compris par le plus grand nombre que sa réelle valeur artistique.
C'est pourquoi les textes trop subtils, trop complexes ou qui sortent un peu trop du moule risquent de se retrouver plus facilement sans plume.
Il suffit parfois d'un seul "pas" pour que toute la notation bascule.
Enfin, je trouve que c'est profondément injuste car ton texte pour sa qualité artistique, ses procédés stylistiques et son essence poétique méritait au moins 4 plumes.
J'ai conscience de tout cela, je m'amuse avec cette histoire de plumes, mais je n'aime pas quand c'est injuste, et ça m'agace!

Contribution du : 27/01/2021 16:46
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Maître Onirien
Inscrit:
09/07/2007 19:16
De par le fait
Groupe :
Responsables Oniropédia
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Activités extérieures
Comité Editorial
Groupe de Lecture
Post(s): 21763
Hors Ligne
"De là à comparer mes chats avec le tigre (« Un tigre, c’est un putain de tigre ! »), c’est un pas qu’il ne faut pas franchir quand même !"

Je vois très bien ce passage dans l'apocalypse Now de coppola, qui est vrai chef d'oeuvre.

Peut être pour ça (la barres est mise haute!), je n'ai pas ressenti une réelle filiation avec le film ou même avec l'oeuvre de Conrad que cite avec raison Bellini dans son commentaire.

En relisant, j'avoue que je trouve ce texte muni de belles évocations.

En tous cas, merci du partage, comme dirait un célèbre onirien ^^

Contribution du : 27/01/2021 16:55
_________________
...  "En dehors du chien, le livre est le meilleur ami de l'homme. En dedans, il fait trop noir pour y lire"

Groucho Marx.
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Visiteur 
Chère Myndie,
J’avais remarqué que vous étiez cinéphile, et comme j’aime faire plaisir aux auteurs :)) je me suis embarqué sur le rafiot qui remonte le fleuve, à moitié shooté par la sinsemilla gratuite fournie par le capitaine Willard (Martin Sheen) et par vos vers. En tout cas, j’ai commencé ma lecture dans cette direction, le premier quatrain ne la contredisant pas. Ensuite, comme Larivière, j’ai perdu cette filiation et je me suis laissé aller dans votre tableau d’atmosphère au fusain. Le kif était pas mal non plus, croyez-moi, j’ai dû laisser une semaine la fenêtre ouverte avant que ma femme consente à me reparler. Si je lui avais parlé de vous, c’était le drame.
Quant à la cacophonie chuintante, c’était vraiment un compliment. D’autres me comprendront :
« La brume du couchant chiffonne l’horizon »
Ça c’est pas de l’harmonie imitative de bazar !

J’espère, Myndie, que la prochaine attente sera moins longue. Ça vous dirait, Voyage au bout de l’enfer ? Vers décembre, ça devrait le faire…
Bellini

Contribution du : 27/01/2021 18:16
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Organiris
Inscrit:
03/05/2015 18:24
De Algarve
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Responsables Edition
C.A. ASBL
Onirateurs
Onimodérateurs
Équipe de publication
Organiris
Correcteurs
Primé concours
Comité Editorial
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 37310
Hors Ligne
Bon, je viens de commenter ton poème en me disant, je vais la ramener avec la sinsemilla, histoire de me faire remarquer; pour changer des champignons, aussi.
Et paf, je tombe sur un cinéfil, avec plumes à gogo pour Coppola.
Alors je remballe mon matos, c'est pas grave, et j'aime bien ton fil.


Contribution du : 27/01/2021 19:59
_________________
Personne n'est Étranger sur Terre.
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 11692
Hors Ligne
Hersen!

Non ne remballe pas ton matos! J'ai adoré ton commentaire rigolo qui m'a remonté le moral d'un cran!
C'est ça, tu as bien compris que mon truc c'était de faire flipper tout le monde
Sauf que jusqu'à ton arrivée, c'est moi qui commençais à flipper, me disant que c'est dingue quand même, personne ne m'a encore traitée d'oiseau de malheur et menacée de me clouer au pilori!
Aaah! me voilà soulagée!

Contribution du : 28/01/2021 14:42
_________________
"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 11692
Hors Ligne
Citation :

Angieblue a écrit :

J'ai conscience de tout cela, je m'amuse avec cette histoire de plumes, mais je n'aime pas quand c'est injuste, et ça m'agace!


Surtout reste calme! Pas de vagues! Nous ne sommes pas seuls...

Contribution du : 28/01/2021 14:44
_________________
"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 11692
Hors Ligne
Citation :

Lariviere a écrit :
"De là à comparer mes chats avec le tigre (« Un tigre, c’est un putain de tigre ! »), c’est un pas qu’il ne faut pas franchir quand même !"

Je vois très bien ce passage dans l'apocalypse Now de coppola, qui est vrai chef d'oeuvre.




Bonjour Larivière,

entièrement d'accord avec vous un chef d'œuvre que je n'ai jamais considéré vraiment comme un film de guerre. Il y aurait trop à dire, ce n'est pas le sujet. Et en plus, des répliques comme celle du tigre, ça ne manque pas : "Les Viets ont pas de surf" dit Killgore avant d'ordonner à la force aérienne de venir lui nettoyer la plage pour son sport favori.
Ou bien "J'adore l'odeur du Napalm au petit matin!"
Bon j'arrête

merci d'être passé vous aussi.!

Contribution du : 28/01/2021 14:51
_________________
"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Organiris
Inscrit:
03/05/2015 18:24
De Algarve
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Responsables Edition
C.A. ASBL
Onirateurs
Onimodérateurs
Équipe de publication
Organiris
Correcteurs
Primé concours
Comité Editorial
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 37310
Hors Ligne
Myndie, sais-tu que j'ai un gros rêve ? C'est pouvoir faire des commentaires à l'aspect taré sous tous les textes que je lis, commentaires qui pourtant contiendraient l'essence de ce que je croirais important à dire sur le texte + déborder, sagement ou non.
Alors bon, tu es la proie parfaite qui marche à fond. (j'en ai quelques autres sur ma liste*, mais pas beaucoup)
ça fait du bien.

à te relire, histoire de te commenter



* non, tu ne sauras rien : je ne transmets jamais les données qu'il m'a fallu des années à rassembler.
Inutile d'insister. (sauf si c'est très poliment)

tout est consigné ici.

Contribution du : 28/01/2021 14:58
_________________
Personne n'est Étranger sur Terre.
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciements et discussion sur l'Apocalypse
Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 11692
Hors Ligne
Citation :

Bellini a écrit :
Chère Myndie,

je me suis laissé aller dans votre tableau d’atmosphère au fusain. Le kif était pas mal non plus, croyez-moi, j’ai dû laisser une semaine la fenêtre ouverte avant que ma femme consente à me reparler. Si je lui avais parlé de vous, c’était le drame.
!






Cher Bellini,
Attendez de voir le tableau alors! Il sera bientôt dans le diaponiris (pour l'instant j'ai 2 mains gauches). Du coup, vous m'en ouvrez une interprétation à laquelle je n'avais pas pensé...


J’espère, Myndie, que la prochaine attente sera moins longue. Ça vous dirait, Voyage au bout de l’enfer ? Vers décembre, ça devrait le faire…

Une commande pour décembre? Je vais voir ce que je peux faire. Je sais, j'écris lentement. C'est ce qu'on me reproche chez Gallimard et Au Diable Vauvert.
Je ferai une exception pour vous.
Du rose bonbon à la place du Vietnam, ça vous irait?

Contribution du : 28/01/2021 15:09
_________________
"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant
(1) 2 3 4 »





Oniris Copyright © 2007-2023