Remerciements pour « insomnie »

Bonjour,
Tout d'abord comme il se doit je remercie le C.E d'avoir inclus mon poème dans le catalogue onirien.
Merci à

Gemini : mon exergue voulait tout simplement expliquer l'origine de l'inspiration de ce poème ; pas autobiographique car, si des douleurs désagréables me tiennent souvent éveillé, je ne suis en aucune manière un »être décharné, une momie païenne ! »
L'omission de l'article et le terme argali permettaient bien entendu de garder la métrique et le respect de la rime tout en restant dans le sujet,



Queribus : j'avais en effet qualifié mon poème de « classique », mais un retour du comité de lecture me l'a rétrogradé en « contemporain »ce qui est juste et corrobore vos observations faites en E,L, le changement de catégorie vous poussera peut-être à revenir sur la « note » de votre commentaire,
J'ai beaucoup,travaillé ce sonnet, lu et relu, le pensant (presque) parfait (!) mais les remarques du CE et les vôtres, me prouvent qu'il me reste beaucoup, beaucoup de travail à faire !
Merci pour vos commentaires constructifs,



Donaldo75 : merci pour vos commentaires bienveillants, vous avez bien saisi le sens que j'ai voulu donner à mon poème,
Merci,


Cat ; vous trouvez mon récit manque un peu « preuves de la souffrance du personnage »je n'ai voulu que la suggérer sans trop noircir le tableau et faire pleurer dans les chaumières, d'autre part, le format du sonnet quatorze vers limite beaucoup les descriptions,
Je suis content que la lecture de mon poème vous ait paru fluide,
Cat , vous n'avez pas de chance, mon « héros » est le dernier à dormir sous un drap en laine...LOL !


Miguel : je ne connaît pas cette « insomnie du malade » chez Proust (ah mes lacunes littéraires!), mais la comparaison est flatteuse,
. L'absence de l'article est bien due au problème de métrique.
Merci pour vos commentaires.


Papipoete : j'ai essayé de décrire un contexte où la douleur ajoutée à l'obscurité créent une situation d'angoisse auxquelles s'ajoute le chant du grand duc..
La ponctuation ! Mon éternelle hésitation, dans plus d'un poème on m'a reprochè virgules, points etc, j'ai cru comprendre que la poésie moderne se passait dans une certaine mesure de la ponctuation...
J'avais édité mon poème en catégorie classique, tellement fier des « e » élidés, des hiatus évités, des rimes masculines/féminines/singuliers/pluriels, diérèse, mais le retour de CE m'a fait descendre de mon nuage et requalifier le tout en contemporain, j'aurai quand à moi plutôt pensé en néo classique. Pour le « classique » il me reste beaucoup de travail à faire.


Robot : comme je l'explique dans l'exergue, c'est une situation vécue (toute proportion gardée) l'être décharné, la momie et le hibou en moins...LOL, Mais c'est vrai, que lorsqu'on souffre, la nuit paraît longue.§



Virou64 : vous avez bien ressenti le sens que je voulais donner à mon poème.
L'enjambement, j'ai beaucoup réfléchi à cette tournure, mais sauf à changer complètement l'histoire je n'ai pas su trouver la parade. Vous êtes le seul à le relever et cela m'a surpris, je pensais que d'autres le feraient, c'est le mystère des ressentis de chacun.
Merci pour votre commentaire.