Merci à tous ceux qui ont permis la publication de cette nouvelle, déjà partie tracer sa route vers d’autres horizons en espérant qu’elle rencontre plus de succès qu’ici.

Merci pour « l’excellente idée » socque, en général l’imagination ne me manque pas. C’est vrai que j’ai insisté sur certaines situations mais il fallait bien que je trouve des péripéties, des mises en relief du don particulier de cette petite. De simples choses du quotidien n’auraient pas suffi à entretenir l’intérêt je pense.

La maman est au courant du don de sa fille Cherbiacuespe, mais ne veut pas l’accepter, ou n’y croit pas. Il est compliqué d’avoir un enfant à part.
L’introduction de Djibril à la fin n’a pour autre but que de délivrer un message humaniste, de fraternité entre les races, mais visiblement ça n’a pas été compris.

Vous aussi Pouet n’avez pas trop apprécié la rencontre humide avec Djibril, j’ai bel et bien raté mon coup ici. En fait je voulais adresser un pied de nez à la différence, du genre on peut s’aimer grâce à des qualités qui échappent à la couleur de la peau.

Pour votre remarque sur la fin du récit je vous renvoie sur mes explications précédentes, Raoul.
Les « commodités » oui, mais pour apporter des situations précises où s’expriment à fond le don de Lucie. Pas si évident que ça de trouver des circonstances en rapport.

Un grand merci à vous quatre !

Bonjour Malitorne,

Pour la maman, je comprends bien. C'est juste que cela ne m'apparaît pas clairement dans le texte. Après, c'est peut-être ma lecture qui est embuée. Ce ne serait pas la première fois que je suis pris en défaut sur des subtilités qui m'échappent ( nobody's perfect ).

Pour Djibril, je confirme : le message n'est pas passé comme vous l'entendiez. Comme je l'ai expliqué, ce passage donne l'impression d'un redit, ou de vouloir enfoncer le clou de la différence. Désolé, Malitorne, si trop peu l'on reçu ainsi que vous le vouliez.

Et bonne et heureuse année à vous et aux vôtres.

Ce n’est pas évident Cherbiacuespe (mais où êtes vous allé chercher ce pseudo ? ) de faire passer toutes les subtilités d’un texte. D’où l’intérêt des retours qui nous renvoient si ça a fonctionné ou pas. Heureuse année aussi à vous et à vos proches !

Merci Lari de ton passage sur cette nouvelle sans prétention qui est aussi un essai de langage pré ado, ce que je n’avais encore jamais tenté. Si j’en crois les remarques, je ne me suis pas trop mal débrouillé. Merci de ton passage qui sort un peu le texte de la déroute : émoticône qui pleure à chaudes larmes

Toi aussi tu trouves les ficelles un peu grosses Cat, c’était juste pour placer Lucie dans des situations qui exacerbaient son don. Les entraîneurs de sport prédateurs ça peut faire cliché mais malheureusement c’est une triste réalité. De plus en plus de sportifs sortent du silence.

Cherbi Acuéspè est un anagrame, Malitorne. Comme d'autres, appelez- moi Cherbi, ça ira très bien.

Je suis bien d'accord, la nouvelle est un exercice particulier. Quand j'y ai fait mon premier pas, je pensais bêtement que se serait facile. Erreur ! C'est un concentré ( attention, ne pas confondre avec un résumé ) d'histoire qui demande une précision d'orfèvre puisqu'on doit en dire un maximum avec un minimum de mots.

"Passionnément", c'est trop Donaldo ! En tout cas tu me vois ravi que ce texte t'ait conquis, le style et le sujet étant nouveaux chez moi. Comme quoi il ne faut jamais hésiter à prendre des risques.
(Dommage que tu n'ouvres plus de fil après tes textes, on peut même plus causer ! )

Allez, je vais t'écouter et ouvrir un fil de discussion sur ma dernière nouvelle publiée ici. Je suis un passionné.

Salut, si ce n'est la fin, je ne suis pas loin de partager l'enthousiasme de Donaldo. Je trouve que tant au niveau du fond que de la forme, cette nouvelle est une belle réussite. Cela sort agréablement des sentiers battus.

Bonne continuation.

Merci Pouet, j'apprécie. La fin d'une nouvelle n'est jamais facile à trouver, d'autant que par définition elle doit surprendre le lecteur. Parfois ça vient naturellement, parfois c'est trop forcé.

Merci de votre passage Sylbian. Ça fait plaisir de voir de nouveaux auteurs se mettre à commenter. Il y en a tellement qui ne jouent pas la réciprocité !
Concernant les mots et les sentiments, votre remarque est pertinente, je n'y avais pris garde. Il faudrait en effet que je retire cette phrase qui contredit les réflexions de la narratrice, même si on comprend que son don n'est pas intellectuel mais intuitif.

Merci de votre passage Manouche (original le pseudo). J'aurais pu en effet rester dans un registre poétique mais c'est mal me connaître. Je ramène quasiment toujours mes textes vers une réalité dure et brutale car ce sont les reflets de la vie, tout simplement. Et bienvenue sur Oniris !