A nouveau, merci au CE et aux correcteurs, qui ont permis la mise en ligne de ce texte, aux lecteurs qui l'ont lu, et à ceux qui ont eu la patience d'un commentaire !

Plus particulièrement, ma gratitude va :

- à Marimay, qui cette fois encore a enduré patiemment mes repentirs de dernière minute, tout en les orientant ou les modérant par ses conseils !

- à AdeJardin, qui avez été modéré avant que je ne puisse vous lire - mais pourquoi pas un envoi en PM ?...

- à Socque, Pouet et Don, dont chaque commentaire littéralement "made my day", en me donnant le sentiment que je n'avais pas totalement perdu mon temps en composant ce texte - dont, c'est vrai, la gestation fut longue, difficile, au point d'envisager de l'interrompre à plusieurs reprises...

Chacun, à votre manière, vous m'avez aussi permis de voir le texte d'une façon inattendue (la vision sous-marine de Socque, la référence au rêve, qui nous unit et nous divise, de Pouet, le chaos organisé de Don - et combien m'a fait plaisir l'idée que vous puissiez trouver ça "carrément too much" :)) )

Et suivant vos remarques : pour clarifier un peu plus l'auto-dérision de la 2ème partie (Socque), car il n'y a jamais loin de 'cosmique' à 'comique', et insister sur le caractère individuel de chaque vision (Pouet), j'ai remplacé dans mes brouillons le B trop majuscule à "sentiment de Beauté" par un b plus minuscule...

Que cette journée soit donc aussi belle pour vous que chacun de mes jours ces derniers temps, quand j'ai pu lire vos remarques !

Bien à vous,
Etienne

Il vaut mieux que vous ne l'ayez pas lu ; j'avais juste raté une bonne occasion de la fermer
(j'en profite pour remercier le modérateur au passage).

Merci pour le retour EtienneNorvins.

Le rêve certes nous réunit et nous divise d'une certaine façon, mais je considère cela d'autant plus "pertinent" pour ce qui concerne le réel. Vivre la même chose signifie surtout ne pas la vivre de la même façon. Un seul monde collectif et autant de visions individuelles, donc. Sans doute fort banale réflexion, mais sentiment assez vertigineux, je trouve. En ce sens, l'existence comme un songe n'apparaît pas si absurde si on s'en tient aux mutation de l'expérience, au subjectif et aux réminiscences qui nous imposent son appréhension.

Au plaisir.

@AdeJardin : cela m'est déjà arrivé aussi, heureusement en effet que la modération est efficace :))

@Pouet : je souscris tout à fait, et à l'appui : certains anthropologues avancent que nous devons au rêve notre sentiment d'existence individuelle - nos compagnons domestiques chiens et chats rêvent mais n'en font rien. Nous primates sapiens, si... Et cela structure notre rapport au réel.

Bonne soirée.

Vaste et intéressant sujet.

Même si je l'ai lu il y'a longtemps, je conserve un marquant souvenir de l'ouvrage De quelques phénomènes du sommeil de Charles Nodier.