Bonjour,

Je remercie le comité éditorial d’avoir permis la publication de ce sonnet, ainsi que les commentatrices et commentateurs de l’Espace Lecture pour avoir passé du temps et laissé leur empreinte, enfin celles et ceux qui ont commenté après la publication.

Je constate deux types de commentaires :
• Ceux qui prennent le sujet à la lettre et m’expliquent que la psychiatrie ce n’est pas ça ni le test de Rorschach ni la folie ou que sais-je encore, comme s’il fallait être psychiatre ou atteint de troubles mentaux pour écrire sur le sujet.
• Ceux qui regardent le poème sans analyser la justesse du propos par rapport à la réalité de la discipline.

Que dire de plus ? Pas grand-chose, à part peut-être ceci : j’écris de la poésie en accord avec la perception que j’en ai et qui est si bien exprimée dans ce texte de Mintaka publié récemment : http://www.oniris.be/nouvelle/mintaka-breve-meditation-sur-la-creation-poetique-5027.html

Merci encore, avec une mention spéciale pour celles et ceux qui passent du temps en Espace Lecture ; leur contribution est bien plus importante qu’on pourrait le croire et j’encourage tout le monde à revenir commenter à ce moment spécial qu’est celui de la sélection parce que ça sert les auteurs, que les textes commentés soient publiés ou non. En tout cas, moi ça me sert à chaque fois pour les prochains.

Bye

Don

Je m'en excuse humblement alors

J'ai particulièrement aimé ce poème, ne voyant ni à rajouter, ni à retrancher...cela me rafraîchit la mémoire, au cas où j'oublierais !
je voudrais bien lire davantage en " aveugle ", mais ma tête pourrait " défaillir ! "
papipoète